jeudi 1 février 2024

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À propos d'Helion, par Philippe Lançon, 



" C'est dans Stalker que la trajectoire à la fois errante et désirante conduit trois voyageurs au cœur de l'énigme de la zone, où la grâce se révèle dans le tendre et puissant ruissellement de la pluie. La question de l'icône se situe au seuil d'une zone dont l'apparition quasi spectrale n'a pourtant rien d'irréel". 

>> Et "C'est sur cet imperceptible tranchant, qui explore la lumière bien plus que les objets qu'elle éclaire, que les artistes ici se mettent et nous mettent à l'épreuve de l'invisible et de sa puissante vitalité. Incarner ce n'est pas prendre corps, c'est devenir icône". Marie-José Mondzain in le livre Icônes, collection Pinault.


>> on ne peut comprendre entièrement le dernier Sokourov  je me dis, sans avoir vu, (que par rapport à) Francofonia; Et aussi c'est assez fou comme ce film semble sous influence Godardienne on se dit, 



"J'ai changé la phrase, je me demandais combien de films d’Ozu commencent par le plan d'une gare ou d'un train, on ne fait pas forcément attention, mais presque tous, une des raisons est que ses personnages habitent en banlieue, dans "Printemps tardif" c'est à 50 km environ de Tokyo,
- Setsuko Hara dans trois films d'Ozu porte le même prénom (Noriko), dans "Printemps tardif", " Été précoce" et" Voyage à Tokyo",
- Dans les films d’Ozu, lorsqu’ils rentrent le soir, nous n’avons aucune idée de l’heure, cela peut être aussi bien 20h00 que 22 ou plus,
- Ce n'est pas la première fois que j'entends le nom de famille Miwa dans un film d'Ozu,
- Étrange comme ses travelling sont toujours moches,
- J'avais écris que dans Printemps tardif il y a deux références très claires à Edward Hopper, puis je l'avais supprimé, j'ai regardé sur internet, son influence sur Ozu est de notoriété publique, par exemple cette article de Lançon dans Libé, ( https://next.liberation.fr/.../l-art-a-part-d-edward...),
- Si je dis, dans "Printemps précoce", c'est la femme qui drague le type, et c'est elle qui prends l'initiative de l'embrasser, quel intérêt ? Le seul intérêt serait par rapport aux autres films d'Ozu, c'est la comparaison,
- chez Ozu on passe un temps infini à s'habiller et à se déshabiller, se pomponner même, ( tout au moins dans Printemps précoce),
- Il y a aussi la belle-mère du type qui fume... Je ne me souviens pas de cela dans un autre film,
- Le type rentre, et à un moment embrasse sa femme, c’est aussi la première fois que je vois cela,
- Je repense très souvent à "Crépuscule à Tokyo", non pour l'histoire ou autre mais pour cette façon qu'il a de filmer les rues ou les bâtiments dans ce film, toujours je le dis mal, en biais, ou de côté, dans ce film ça atteint le sublime",


Spirales de Louise Bourgeois

recherche Google images de Beverly Buchanan via James Benning,

"Car cette interminable histoire n'avait aucun sens", in Rêveurs de Knut Hamsun, phrase donnée comme celle d'un personnage, mais qui pourrait être celle et du narrateur et de l'écrivain, (le narrateur n'étant pas l'écrivain), (...), phrase méta donc, (de façon éventuelle), si je repense à la phrase j'ai envie d'ajouter "du texte même",  d'un autre narrateur,  (presque d'un lecteur anoyme), je me demande aussi s'il y a un narrateur dans ce roman, à priori non, 

film Mother Vera, à l'esthétique inspirée des photos d'Alys Tomlinson, (film d'ailleurs co-réalisée par elle)  >> page qui lui est consacrée avec bande-annonce du festival Vision du réel, , une fois je suis tombé sur le livre à un prix normal,  c'est à dire 50 euros, je ne l'ai pas acheté et je le regrette un peu, mais c'est selon moi une photographe un peu copiste, maligne et copiste, comme ses photos actuelles qui sont une sorte de copie noir et blancs de celles de Freger, il y a les cinéastes de festival, il y a les photographes aussi de festival, ceux qui ont une notoriété immédiate et très  vite énorme et sans que l'on en comprenne les raisons, il y a presque un côté pyramide de Ponzi dans ça, on sait que ça ne repose sur rien mais c'est leur assurance absolue je me dis, ou une sorte de cohérence ou évidence, un côté entrisme à la Rachida Dati ou Bannier, des gens dont l'entrisme est toujours dirigé vers les vieux, il y a un côté Netflix dans leurs photos on se dit, et étrange comme les films du festival semble tous basés sur un pitch disons racoleur, je me demande si les autres festivals ce n'est pas ça non plus, des pitch intrigants, et publicitaires en gros,

respiration encore, et toujours chez Ozu, , issue d'un vieux post d'il y a trois ans et souvenir Facebook du jour, (extrait " il y a ce plan très étrange sur le garçon, après qu'elle l'ait giflé et soit sortie et alors que l'on a entendu un klaxon, il se rend compte qu'il n'est qu'une merde, et peut-être que ce plan, presque religieux sinon mystique le sauve, je ne sais pas"), j'avais ajouté une capture d'écran qui n'avait rien à voir avec l'extrait vidéo, le film c'était Crépuscule à Tokyo, j'avais aussi ajouté que dans ses films il semblait que ce n'était jamais les garçons qu'on cherchait à marier, >> la respiration chez Ozu je me dis c'est toujours une prise de conscience, et c'est toujours synonyme de transformation,



"La comédie de dieu" de Joao César Monteiro, ( avec sous-titres français optionnels),  

et à propos de procession et de tête d'animal en carton pâte, extrait d'un concert de The do,

toute personne bien née se doit de connaître au moins le trailler de la série The peripheral, , (je crois avoir vu la série déjà mais je n'en ai pas vraiment de souvenirs, le générique est plus que sublime, enfin à mesure que j'avance dans la série je me souviens de chaque séquence, la question est pourquoi ça fonctionne ça ne devrait pas fonctionner, 

sublime et très étrange séquence lors d'un mariage orthodoxe , pour comprendre la chose il faut suivre le hashtag, (), 

ce clip de Nirvana qu'on dirait filmé par Jeff Wall, (), 

fabuleux film de propagande (December 7th) de John Ford, , à se demander si ses meilleurs films ne sont pas ces films là ...

ce qui intéresse Laura Henno je me dis c'est le cadre, l'image de la photo plus exactement, (au sens l’image qu’on en a), (l’image qu’elle en a ou veut donner), expo chez Obadia, il y a tout de même quelques photos qui me touchent, celle avec le gosse et le masque par exemple, un bon quart me plaisent, sentiment tout de même d'une forme de paresse chez elle, presque paresse paradoxale, puisque bon il n'y a pas beaucoup de photographes qui vont au bout du monde comme elle, (en gros), une fois qu'elle y est on dirait qu'elle n'ose plus, qu'elle est dans une sorte de timidité sinon un renoncement, elle reste à la lisière je me dis, ce qui est beau c'est que cela reste de la photo, qu'elle ne cherche pas à faire Art, enfin elle cherche quelque chose ayant à voir avec l'art, elle cherche quelque chose ayant à voir avec la pensée, sinon la beauté ou le sensible, mais elle n'a pas comme Ito Barrada ou Bustamante cherché à sortir de la photo car celle-ci n'ayant pas assez selon eux le vernis de l'art je me dis, et il y a une sorte d'humilité là-dedans pour Henno, elle est dans le monde et elle ne le commente pas, Bustamante et Barrada au fond ont choisis le commentaire, c’est assez beau aussi cette volonté qu’elle a de les magnifier, étrangement je me dis elle leur accorde une individualité, et son échec relatif est qu’ils ne la possède pas réellement, ils sont des individus mais représentent le groupe et le propos dans le même temps, c’est pour ça, exactement pour ça, ou en partie pour ça que je disais plus haut qu’elle s’arrêtait à la lisière, elle ne va pas beaucoup plus loin que le propos, elle ne dépasse pas cela je me dis, (sauf dans quelques photos), en même temps je me dis, rajout, il peut y avoir quelque chose de beau à ce que cela ne soit pas fixé, (cela n’empêche que je n’aime pas les 3/4 des photos), et c'est aussi très beau cette obstination à rester dans la photographie, presque on se dit comme un acte de résistance, cette obstination à rester dans le portrait, presque à être hors-mode,  elle s'entête elle est têtue on se dit, position presque morale, l'idée de ne pas trahir quelque chose je me dis, j'ajoute la photo comme rugosité, 

expo Valerie Jouve horrible chez Xippas, 

cette grosse merde d'Olivennes , où , pour mémoire, 

quelques liens sur James Benning, , ,  (à noter que Libération et autres machins cinéphiliques n'ont pas écrit une ligne sur sa rétrospective), 

 

remake que je ne connaissais pas de la photo de Walker Evans... ( est-ce vraiment un remake?) étrange sentiment de dissociation, (on est obligé de vérifier s'il n'y a pas une erreur), recherche Google images de la photo ,  recherche Google images sur Industrial Landscape des Becher , étrange comme cette photo fait partie de leur travail et en est absolument étrangère il me semble, puisque là il s'agit d'une sorte de formalisme ou maniérisme, photo hantée, je ne sais pas si l'expression est exacte,  ils vont 



sur les deux sortes de netteté (et/ou profondeur de champs) en photographie, celle de Thomas Struth, poétique, matérialiste, au sens presque Marxiste, philosophique, esthétique, au sens général, de morale et qui contient tous les autres termes, et la netteté horrible de Mathieu Gafsou, dont je ne devrai même pas citer le nom, et dont j'ai acheté le livre Sacré il y a très longtemps, enfin il y a un an ou deux, netteté et profondeur de champs disons de petit maître viril, netteté sournoise, qui n'est là que pour affirmer un sorte de supériorité technique, mes photos sont parfaites techniquement donc sublimes, (en écrivant je repense à ce que disais justement Susan Sontag de cette perfection technique des photographes), netteté voilà arrogante, Struth la netteté c'est de la pensée, Gafsou l'inverse, et le flash dans la gueule de la femme en train de prier, c'est d'une vulgarité, et d'une violence inouïe, on peut quasiment parler d'agression je me dis, 

 pas si mal Celeste de Percy Adlon, il faut faire assez souvent abstraction de pleins de trucs gênants, mais pas si mal, proche de Straub par moments, (et de Fassbinder ou d'un certain cinéma Allemand), comment il expédie les vacances de Cabourg est assez sublime, film que je regarde alors que je lis les mémoires de Celeste justement, (Monsieur Proust), je ne sais plus comment j'en suis arrivé à lire ce livre, ne pas oublier qu'Adlon est plutôt un très mauvais cinéaste, putassier même, un peu [trop] fébrile Proust quand même dans le film, c'est drôle ce passage cette séquence à propos des orchidées, où il semble presque heurter l'objectif de la caméra, ce qui est dommage est qu'il en fait un personnage presque enfantin, question pourquoi les bouillottes sont-elles vides lorsqu'elle les sort du lit ? La séquence sublime lorsque l'on entend  les dialogues en off sur des images d'elle, dialogue à propos d'aller dans le sud ou à Combray, (bon un peu chiant quand même le film), par ailleurs l'actrice est une actrice de chez Fassbinder etc, 

 je me dis que plus il y a de documentaire plus il y a d’art, je ne sais pas l’expliquer comme ça, je pense à ces photographes noms à ajouter, et à cette photo d’une tranche de pain, et évidemment à un tas d’autres, j’avais racheté ce livre de Susan Sontag en me  souvenant avoir lue dedans une phrase comme ça, phrase que je n’ai pas retrouvé et qu’au fond ce n’est pas important, retrouvant au garage ce livre d’Ito Barrada je me dis l’échec de la dernière expo de Constance Nouvel vient de là, elle n’a pas osé ne serait que se souvenir des photos d’to B, elle a voulu absolument faire art d’abord, un truc comme ça, (bien entendu ce qui est documentaire n’est ni social ni du reportage de presse),  le reportage etc c’est photographier même pas peut-être un être social, ça c’est le meilleur des cas mais une situation, une chose de société, Lewis Hine c’est du documentaire, et parce qu’il photographie des êtres, des personnes, (pompeusement leur mystère), et jamais des états sociaux, même si je m’explique mal, (écrit sur iPhone en marchant), mais chez Lewis Hine, leur être c’est d’être en partie où ils sont, (ce qui nous tue), (et la rencontre se fait là, à l’endroit même de ça, et c’est l’endroit même qui apporte la preuve). Hine a je me dis essentiellement photographié des personnes saintes, (où il a fait émerger la sainteté des personnes), (voir la phrase de Philippe Bazin pourquoi photographier des migrants), (ou des prolos), ( ma réponse à moi, c’est photographier des saints),  >> c’est pour ça l’échec des photographes français, pour eux c’est hors de question, par incapacité et par volonté, c’est pour ça qu’ils ne photographient que des caricatures de prolos, (Philippe Bazin est compris dans cet échec), et par projet politique aussi,  je pourrais ajouter encore plus pompeusement faire témoignage de la sainteté de chaque personne, Lewis Hine rend témoignage de cela je me dis, le documentaire je me dis c’est ce qui va au-delà ou qui transcende un état apparent, presque quelque chose d’hallucinatoire à force de réalité, évidemment plus il y a de réel plus il y a de fiction, peut-être aussi parce que plus il y a de réel plus il y a de durée, de temporalité, 

le sublime Allensworth de James Benning, et le plus que sublime The united states of America, 

trailler de Knit's island , voir aussi l'article de Libé, 

 recherche Google image () sur Jean Laube, via Claude Levêque, 

et du coup je repense à Eric Fischl, recherche Google images

le sublime portrait de  Clemenceau par Manet, et en y repensant ce matin je me dis que c’est assez proche de Warhol, pas aimé l’expo Nathanaël Herbelin au musée d’Orsay, sentiment que presque esthétiquement c’est de la peinture mondaine, je regarde à nouveau ses peintures sur internet et effectivement ce n’est pas que ça, sentiment néanmoins que ses peintures ne sont au mieux que des souvenirs de bons moments, et ce qui est terrible c’est que c’est une question esthétique, mondain qui voudrait dire [aussi] qui ne s’élève pas jusqu’à l’univers ou l’universel, l'universalité, mais qui reste à une vision  auto-publicitaire des choses, j’aime bien les peintures de Georges Bush, mais c’est Georges Bush, et lorsque je compare les peintures de Nathanaël Herbelin et les siennes et que je trouve que c’est équivalent ou moins bien, pour différentes raisons, je me dis qu’il y a un problème, je me dis de toute façon le critère (ou le point de comparaison absolu)  en peinture devrait être Georges Bush justement, par ailleurs j’aime beaucoup Nathanaël Herbelin, mais ce qu’elle est ne l’excuse pas en quelque sorte, n’excuse pas sa peinture, de toute façon je parle de l’expo du quai d’Orsay, je la connaissais avant et j’aimais bien pour ce que j’en voyais, 


la revue Aspen sur Ubuweeb,

recherche Google sur Lily Greenham , découverte via Designingwriting, 

l'idée de regarder rien du tout... (in Bleak house de Dickens), 



recherche Google images sur Eugène Cuvelier,

vers 18mn 45 comme ça dans l'épisode 8 de la saison 5, la séquence dans l'auto ou elle souffle disons d'ennui, d'ennui ou d'énervement, mais curieusement on a le sentiment qu'elle nous prend à témoin, épisode par ailleurs même si autant mauvais que les autres est le meilleur que j'ai vu, 

rarement vu quelque chose d'aussi minable que Six feet under, tout est bas dans cette série, tout le monde est bas, psychodrames séquences après séquences, engueulades systématiques entre les personnages, je pense qu'il n'y a pas une minute qui ne soit plus haute que la minute précédente, tu ressors de là avec une envie de vomir et de la colère, 

sur Richard Serra in Libé ,  " La forme qu’elles prennent, il n’y est presque pour rien. Ça ne dépend pas tellement de lui, en tout cas sûrement pas de ses émotions ou de ses états d’âme, de ses envies, ni de ses pulsions. Cela dépend des actions qu’il accomplit. Des actions toutes bêtes qui ne réfléchissent à rien, ne visent à rien et se suffisent à elles-mêmes.  " 

dans l'épisode 4 saison 2 de Tokyo vice, le jeu entre le yakusa (Sato) et le gosse lorsqu'il vient chercher sa mère, 

émettre l’hypothèse que le titre Düsseldorf de Plossu serait une sorte de crachat à la photographie Allemande, crachat naturaliste évidemment, il s’agit de substituer dans notre esprit une chose plutôt qu’une autre, un effacement quoi, crachat et profanation, 

pourquoi est-ce que je préfère La chute à The zone of interest ? Pourquoi à mon sens il lui est supérieur ?


les plus que sublimes 5 premières minutes de l'épisode 4 saison 2 de Feud, cette sorte de vanité, (au sens peinture), 

mais la série sur le restaurant ça ne fonctionne pas, 

 "exemple de mise en place concrète de sa méthode critique, à travers son œuvre This Ain't China : A Photonovel (On n'est pas en Chine : un roman-photo, 1974), qui «documente» un événement réel, une «tentative de se syndiquer dans un restaurant» : «Entre autres choses, je voulais faire le portrait des conditions dans lesquelles les gens cessent d'obéir aux ordres, et de la manière dont un travail répétitif aliénant colonise l'inconscient […]. Formellement, j'ai utilisé de grandes séquences de photographies, un montage en "scènes" de différentes longueurs accompagnées de longs textes littéraires et d'interviews dactylographiées. Les photographies citent délibérément un éventail de sources stylistiques, de l'étude de mouvement à une version froide et clinique de la photographie de nourriture en couleur. Le récit oscille constamment du "fictionnel" au "documentaire". La plupart des scènes sont dirigées.»     "  (), 

  aussi pour Sekula, 

"  À la différence de la photo documentaire des années trente, marquée par les commandes de la Farm Security Administration (FSA), la vision moderniste évacue toute trace du monde social pour se replier sur l’immédiateté sensible de la photographie, considérée comme une activité autonome. La subjectivité de l’auteur devient seul critère de validation artistique, et la signification de l’image doit se chercher dans la photo elle-même, avec éventuellement le recours à quelques éléments de compréhension biographiques. Ce courant préconise un mode d’appréhension contemplative de l’image, calqué sur la peinture4 : il fallait affirmer, selon le mot de Peter Galassi, que « la photographie n’était pas un bâtard abandonné par la science sur le perron de l’art, mais un enfant légitime de la tradition picturale occidentale » (Galassi, 1981, 12). "   (), 


" A l'hôpital, elle lui demandera des livres, précisant avec un humour toujours présent au sein de son désespoir, "pas Lawrence, pas Virginia Woolf ou qui que ce soit qui écrit en trempant les fils brisés de sa pensée dans l'encre de l'histoire littéraire". " (), 

sur The monuments of Paissac de Robert Smithson , c'est en traduction française un peu plus bas dans la page, aussi, ainsi que

dans un livre sur Lynne Cohen, il y a ce texte à propos de l'épisode 1 de la saison 1 de La quatrième dimension, et aussi à propos des films de Tati, chez Tati on se dit les objets (au sens large) sont un problème, même pour Le facteur on se dit, que fait-il sinon simuler une modernité, les objets chez Tati représentent une vie rêvée, une vie idéale, idéalisée, ils sont une vie en soit idéalisée, dans l'épisode 1  il n'y a plus qu'eux, ce sont des ruines, (entre-autre), la question pourrait être qu'est-ce que deviennent les objets lorsque l'humain s'absente, 

étrange comme ce live de Charlotte de White rejoint les photos (les polaroïds) de Walker Evans, 

le compte Viméo sublime d'Elina Brotherus,

sur les Celestographs de Strindberg, , et

plusieurs choses me gênent dans The zone of interest, film que je n'aime pas, et déjà les couleurs d'époque,  comme si la pellicule datait de cette époque là, cela me fait penser à ce que disait Daney du film de Berri et du magazine d'époque jauni, tout dans le film est trop précis dans la reconstitution, le truc des bottes aussi, mon dieu, quel film horrible, sur signification et soucis du détail qui n'aboutît qui n'a que comme résultat que la pornographie,  j'avais remarqué pas mal de trucs bizarres, les meubles saillants, une sorte de grands angles la plupart du temps, les plafonds etc, on me dit c'est comme si c'était filmé comme dans un jeu vidéo, oui c'est ça, un jeu vidéo, et c'est aussi pour ça les bottes, c'est comme un indice, (se demander pour le rouge à lèvres), 

comment un connard pareil (Kanye West) peut-il faire quelque chose d'aussi beau, mystère, (), 

c'est ce qui est beau [aussi] dans le film (une nuit) c'est l'hérésie du scénario, il ne se passe rien, (au sens dramaturgique), 

>> les animaux en soit sont une prière, 

pour la série The expats que je regarde pour l'instants en diagonale, on dirait qu'elle s'enfonce dans une sorte de folie quasi Lynchienne, quasi hallucinatoire, on est obligé si l'on est un peu sérieux de revenir au début, et cela parce qu'il y a tous ces moments et de bascule et que tu ne comprends pas, 

Tous ces gens qui citent Susan Sontag alors que cette dernière leur cracherait à la gueule … 

une des influences de Desplechin pour La sentinelle pourrait être Le grand sommeil:






dans Le grand sommeil, cette séquence où elle se masse le genou, et ces séquences où lui se masse l'oreille, 

Retrouvée, (dernier épisode de la saison 1 de Strike back): 


l'épisode 3 de Stricke Back, les images en gros plans sur les bâtiments, tout l'épisode semble ainsi filmé, 

le livre de John Cage sur les champignons , livre qui il me semble n'est pas terrible, 

le très beau texte d'Hélène Frappat, 


il y a ce plan très beau dans One day épisode 4 lorsqu'elle entre dans la douche après qu'il l'ait prise, la buée, le flacon ouvert, comme si elle se glissait dans ses empreintes,  (terme piqué dans un article (qui n'a rien à voir ) du Monde), le début de l'épisode 5 est assez terrible, avec la mère, terrible, magnifique, insupportable, insoutenable, on pense à ce film de Sokurov évidemment, et ensuite lorsqu'il va dans son ancienne chambre, les vêtements de sa mère, comme si elle était déjà morte, 

>> Respire, lorsqu'il ouvre la fenêtre et se met à respirer, à aspirer l'air, 

" Tout à la fin des années 1940, Cage fit une expérience décisive en visitant la chambre insonorisée de l’université Harvard : dans le silence de cette pièce sans écho, la musique de son propre corps lui apparaît, c’est la révélation de l’impossibilité de tout silence absolu.

                  De Rhode Island, je suis allé à Cambridge et, dans la chambre anéchoïque50 de l’université Harvard, j’ai appris que le silence ne constituait pas une absence de son mais une opération non intentionnelle de mon système nerveux et de la circulation de mon sang. Ce sont cette expérience et les peintures blanches de Rauschenberg qui m’ont amené à composer 4'33''51. in Lichens de Vincent Zonca  "

" un véritable romantique est sur toute chose un acteur", in Degas danse dessin de Paul Valéry, 

L’horrible livre sur Weegee de Clement Cheroux, l’horrible expo réactionnaire et neu-neue sur Tina Modoti au Jeu de paume,  les photos de bébés de Tina Modoti pff   Allo quoi   ( à moins que ça soit  dans le livre  sur Weegee), pas vu l'expo de Modoti, mais le livre, photographe insignifiante, 

pourquoi je trouve ça ordurier que le connard pleurniche dans le dernier film de Loach, je sais que le profil du gars est juste psychologiquement mais c'est ordurier scénaristiquement, (on pourrait presque dire que Loach a tort d'avoir raison), comme si au fond en ne lui accordant pas la même dignité qu'aux autres, il refuse une sorte de dialectique, il choisit une forme de facilité trop démonstrative, 

je crois que le seul film intéressant de Doillon doit être La femme qui pleure, et je me demande en écrivant cela si néanmoins il n'a pas violé l'actrice du film, 

"  Si tu veux être célèbre, tu dois faire quelque chose plus mal que n'importe qui dans le monde entier ! Quelque chose de beau et parfait n'intéresse personne. Miroslav Tichý  "


si je devais écrire un livre, je reprendrai la série Manifest, tellement ratée et décevante qu'on pourrait en faire une sorte de méta-fiction littéraire, 

sur Le radeau de la méduse,

Victoria de Hamsun, très beau mais brouillon, parfois la tension du livre est insoutenable, on est obligé de faire une pause, livre complètement raté, ou à l'état de brouillon, c'est aussi le livre le plus adapté au cinéma, deux fois et ce n'est pas étonnant , 

film Death row , (doc sur couloir(s) de la mort),  

article de La croix sur l'expo Formes de la ruine à Lyon,

par ailleurs très belle interview de Le Clezio dans Le monde, le portrait qu'il fait de ses parents est magnifique, (je me rends compte que je n'ai jamais lu un livre de lui, plus exactement j'écris que je n'ai jamais lu un livre de lui),  

sublime Esclaves de l'amour de Knut Hamsun (que je relis par erreur, y cherchant une nouvelle qui était dans un livre de Tanizaki), sublime par le style hallucinant de certaines nouvelles, (je ne les ai pas encore toutes (re)-lues), 

dans mon souvenir l'expo c'était des cinémas transformés en entreprises funéraires, pas juste des façades de cinéma comme là, sinon, j'y reviendrai 

sur la représentation des ouvrières dans la peinture

(pas aimé du tout le film de Thomas Caillet Le règne animal), 

il y a 13 ans Libé c'était ça, ,  je ne sais pas s'ils oseraient un truc comme ça aujourd'hui, et si ça passerait ... à l'époque je me souviens aussi que Philippe Azoury affirmait que les fils de avaient un talent inné, (bon il a fini à Gala), 

Hommage à Jean-Marie Straub de Claire Angelini

j'ai mis du temps mais j'ai enfin trouvé le truc que je cherchais par rapport à Orwell, (2h20 du matin ce  2 février), 

j'ai l'ai juste vu passer dans mon fil, je ne sais rien de plus, je ne l'ai pas encore regardé, , (Bye bye Tibériade), 

 journal, brouillon, et j'avais écris dans ce post qui a sauté sur Bonjour d'Ozu que tout le film ne tendait que vers la fabrication de cette dernière séquence à la gare, la fabrication de quelque chose de l'ordre du commun, que la beauté de la séquence et du dernier plan de la séquence était la somme esthétique du film, mal dit et très laid, la construction de ce plan, contrairement à Fremont dont le dernier plan ne produisait rien, expression très laide aussi, qui ne venait de nulle part, qui n'avait rien à voir avec le film au fond, un dernier plan très beau mais vide, (une image rêvée) juste là pour sa beauté un peu tape à l'œil, publicitaire, narcissique sinon onaniste,  que j’aime bien ce film n’est pas très important, 

mardi 31 octobre 2023

(...)

on comprend aussi qu'elle a véritablement choisi son mari, elle a reconnu en lui un idiot, (au sens Dostoievski)  un enfant, je crois qu'elle s'est dit alors que ce qu'elle avait perdu elle le retrouverait avec lui, (lorsque tu as fini de regarder le dernier épisode tu es obligé de recommencer le visionnage de toute la saison),  et que Oula Mounk est sauvé par leur innocence ou leur bêtise, leur idiotie, (revoir aussi ce clip de Faithless, ), je ne sais pas si on peut dire que l'idiotie du mari l'a sauvé elle, mais il lui a rendu une sorte d'enfance, il y avait le doute qu'elle ne l'utilise mais en fait non elle l'aime vraiment, c'est ce doute qui fait que l'on est obligé de revoir la saison entière pour comprendre les choses, 

le sublime plan aérien au début de l'épisode 10 (final) saison 5 de Fargo, ces plans noirs qui se succèdent, (je me suis demandé si c'était l'ordinateur qui me lâchait), le fils errant les yeux crevés, (cette séquence Pasolinienne), la mort si poignante du flic dans le tunnel, avec cette musique un peu Japonisante, la beauté de cet épisode est absolument démentielle on se dit, (tout au moins la première partie, ensuite on se dit qu'ils ne pourront pas tenir), 
>> Oula Mounk, 
le plan incroyable où Mounk se lave les mains, (qui vaut par la séquence d'avant), c'est à dire tout ce que nous savons des monstres, des ogres et des golems, et des Dibbouk, toute cette séquence ensuite, lorsqu'il essaie de parler des "principes" et qu'il finit par verser du lait, et ensuite le mélanger à la farine, 
"Il faut manger quelque chose préparé avec amour et dans la joie. Et vous serez pardonné ", toute cette séquence inouïe, 
son visage qui me fait subitement penser à l'acteur du film de "Requiem pour un massacre" de Klimov, 
la fin quoique sublime est peut-être je ne sais pas si on peut dire ratée mais je crois qu'ils n'ont pas su aller plus loin, tu atteins un tel sommet tu ne peux pas aller plus loin, tu ne peux pas aller plus haut que l'Everest je me dis,  








fascinant: "En 2010, une chercheuse belge de l’hôpital Erasme, à Bruxelles, Florence Roufosse, la contacte: le sang d’un patient atteint d’une maladie proche de la sclérodermie contient des cellules féminines. Avec son équipe, elle démontre que celles-ci proviennent d’une jumelle jamais née." (in Le monde), 


sublime plus que sublime bande-annonce d'un vieux film Japonais de série Z,

Michigan avenue, sublime film de James Benning , et La verdad interior, film sur lui, je l'ai mis aussi en ligne mais avec ce lien-ci il y a tout un tas d'autres films (de lui mais aussi de Wiseman par exemple) qui apparaissent, 

Je disais par rapport à Bonjour, merde je viens de me rendre compte que c’est deux parties du post qui ont sauté, je parlais plus longuement du titre, je parlais donc que tout le film n’est que la construction du dernier plan à la gare, je le dis mal, je ne sais plus vraiment ce que je disais, ce post en amorce quoi, (amorcer la mémoire) , je l’avais pas noté j’y pense maintenant et sans que je me souvienne plus que ça du truc, je crois qu’on ne peut pas dire qu’il y a une résolution de quoi que ce soit dans le film, à part l’achat de la télé, mais ce n’est pas une fin, 

c'est probablement une série Américaine (ben c'est plutôt évident mec, surtout s'il y a des sous-titres)  mais la mauvaise habitude que j'avais de ne pas écrire le nom de la série fait que je ne sais plus du tout qu'elle est cette série, >> le même jour je postais une photo d'écran de la série Skins, mais je ne crois pas que ça soit la même, en fait peut-être que si: le prof à propos d'un de ses tatouages, "ça c'est une vraie Charlotte Bronte" , et même logo, donc Skins , je retrouverai la saison plus tard, 




article sur Suzanne Husky, (que je ne connaissais pas), c'est ce que je disais l'autre fois sur la photo, il n'y a plus que des petites fleurs, c'est très beau mais vain je me dis, je suis pas certain que ce soit aussi vain chez elle, mais tu as le sentiment qu'il n'y a plus que le combat "écologique" en art, s'il y a pas une petite fleur c'est même plus la peine je me dis, petites fleurs animaux et minéraux, (eau), tu ouvres un journal tu peux être certain d'y trouver des fleurs on se dit, bref... on pourrait paraphraser Badiou et se demander: de quoi ces fleurs sont-elles le nom*? j'avais répondu plus bas "on va t'effacer ce sale petit sourire de ta sale petite gueule salope", (même si je ne sais pas ce qui est effacé), (effacé ou oublié),   
sans oublier non plus les photos imprimées sur pierres bois tissus etc, (mots manquants: Jean-Marc Bustamante), (c'est dire la modernité de la chose quoi), note: c’est peut-être plus dans la presse qu’ailleurs cet amour des fleurs, (et surtout à Libé), note 2: peut-on parler d’académisme floral ? 

note: Bustamante j'ai acheté trois bouquins de lui, (ou catalogues d'exposition) même pas 5% de ses photos étaient reproduites convenablement, le reste c'était des vues lointaines des salles d'expos, qu'elle pitié un tel rachitisme d'esprit je me suis dit à l'époque, (en gros monsieur ne voulait pas se faire voler ses photos et qu'elles soient ensuite montrées sur internet) (c'était pour moi de ce genre là), je crois par ailleurs qu'il n'a toujours pas de site, (beurk internet quoi), Bustamante je crois que c'est le type le plus puant que je connaisse, il est tellement persuadé de faire de l'art avec ses caissons lumineux etc, je crois que maintenant il ne fait évidemment plus de photos, il peint, (une question zonderphilique de "vrai travail") (l'art c'est la peinture, pas la photographie quoi) (voir l'épisode de Contact qui lui est consacrée), bon moi à une époque j'aimais vraiment ses photos, je crois que je les aime encore, mais pas moyen de les trouver, (il doit y en avoir même pas 10 qui sont visibles sur internet), (je viens de faire une recherche, et encore), monsieur a une trop  haute opinion de lui-même je me dis, il ne s'abaisse pas, j'en avais acheté trois coup sur coup car je m'étais dit c'est comme avec ce photographe Milton Rogovin, il n'existe aucun bon bouquins, il faut en avoir plusieurs pour espérer quelque chose, mais chez Rogovin il y avait au moins une ou deux photos intéressantes ou qui me plaisaient dans chaque livre, chez Bustamante il n'y avait rien, absolument rien, alors j'ai abandonné, 

* il y a quelque années par exemple je m'étais rendu compte que les jardins partagées etc, la nouvelle forêt urbaine de Paris avaient surtout comme priorité la lutte contre l'installation de bidonvilles roms, que même les talus anti-caravanes devenaient des zones de pollinisation protégées, etc, 
je veux dire par là que la défense de l'environnement, du vivant comme ils disent, permet de ne parler de rien de particulier, sinon de ne parler de rien, que ça permet les sorties du dimanche en famille quoi, disons mieux vaut pour ces gens Morizot que Levinas, (j'aime bien Morizot, précision), mais je me dis si un jour je vois une expo avec 30 nanas à poil et pissant debout en public ou en pleine nature, je me dirai tiens c'est nouveau, c'est intéressant pour le coup, ou si un jour Libé fais deux pages sur les gros cul de Mcginley pareil, je pourrai me dire tiens ça change, (ou 30 nanas et mecs en train de se branler d'ailleurs), ou lorsque je verrai des peintures du mec nu, en train de chier en plein milieu de la gare de Lyon et de jeter sa merde sur les passants, je me dirai tiens ça change, ça change de Levy-Lasne, ( par exemple),  note: on imagine bien que les gros culs de Macginley au CPIF c’est hors de question, qu’ils préfèrent Les mauvaises herbes, (et avec une expo genre Les mauvaises herbes au moins t’as les scolaires en masses, le public visé de toute façon avec celui du dimanche), par contre avec Macginley c’est emmerdes probables et salles vides, et eux les emmerdes tu te dis c’est pas leur boulot, leur boulot c’est scolaires et familles du dimanche, « on est pas là pour emmerder notre public », au fond tu te dis à Libé et ailleurs ce qu’ils aiment c’est les machins asexués, et asexués et vides de sens, une pure surface ils diraient, (bref de la déco), monde lointain je me dis,  (…),  note: on est bien d’accord que je cite le CPIF par pure malveillance, (ça aurait pu être à nouveau le Palais de Tokyo), (mais eux comment dire, c’est tellement de la merde que bon, en fait le CPIF aussi), 

** rien à  foutre du militantisme social ou autre quoi, (re-précision),  


un vieux post  sur Richard Millet jamais mis en forme au final, , et pour ceux qui ne le savent pas Millet écrit dans Art-press (magazine zonderphile et pro-corrida par ailleurs) ...et dont le quasi rédac-chef est Étienne Hatt, auteur de deux pages minimum plus qu’hagiographiques sur Jurgen Teller, (magazine  qui a aussi attaqué Wolfgang Tillmans récemment dans un article plus que mesquin),  non en fait il semble que l’article n’est pas signé  par Hatt, il a du en faire juste la pub quelque part, (à moins que j’ai mal cherché et qu’il a signé effectivement un article sur le gros porc),  de toute façon je me dis, faire la pub d’un article de merde ou d’un gros porc est pareil que s’il le signait, c’est disons du pareil au même, (et sinon par exemple), 

d'où il vient le tueur je me dis? l'homme de main dans Banshee, l'homme de main de Kaï, un personnage lunettes noeud pap costard que l'on retrouve aussi dans The wire etc, est-ce qu'il n'y avait pas un tueur de ce genre chez Chester Himes par exemple? ( j'ai eu envie de revoir la série par rapport à un ancien post Facebook, elle est ce qu'elle est, mais j'aime bien quand même), 

Amyl and the Sniffers live

Les Marseillais oups non et là, séparatisme teubé …  Etrange quand même je me dis que tous les photographes sous-développés intellectuellement viennent tous ou tant de Marseille, que tout le petit personnel d’encadrement nullard de la photographie vienne de Marseille, que ce soit la responsable administrative de la Grande commande photo (Conesa) ou la chef de bureau Escoulen, c’est pour ça qu’il faut parler de séparatisme je me dis, une sorte de mur neu-neu quasi biologique (alternative: un mur neuronal)  je me dis, je me dis encore mon dieu il y a même Plossu, je me dis je comprends maintenant pourquoi il est omniprésent ce moins que rien, c’est une question de solidarité géographique et formelle. Les Marseillais ont trois papas je me dis Artières, Plossu et Caujolle, ajoutons Girard le sous-sous-sous Depardon et Depardon lui-même, quelle famille ces Marseillais on se dit, (alternative: quelle famille de cons@nguins ces Marseillais on se dit),  je parle de séparatisme parce qu'ils sont médiocres et fiers de l'être, qu'il y a chez eux quasi une volonté de nuisance, 

> " c'est vrai ça fait un moment que je ne l'ai pas vu"
> " c'est un effet secondaire du meurtre" 
(in Banshee saison 1), 

bande-annonce de la série Residue 

pdf () de la revue Agone (que je ne connaissais pas) n35 Domestiquer les masses, n'ai rien lu, trouvé en cherchant tout autre chose sur Orwell, un texte sur Orwell et la lutte des classes, toujours trouvé en cherchant autre chose, et encore et toujours pour la même raison, 

pourquoi le titre Bonjour, parce que le père dit aux enfants qu'ils parlent trop, et le plus grand des deux lui répond "alors les adultes ils ne disent que ça, salut bonjour bonsoir", c'est comme un titre insolent je me dis, et lorsqu'à l'école ils refusent aussi de parler je me dis que chez Ozu c'est toujours plein de petits actes de résistance comme ça, mais comme dit leur prof d'Anglais, (le traducteur) "tout le monde le dit mais finalement ce n'est pas tout à fait inutile, sans ces formules, le monde ne serait-il pas trop aride? ne serait-ce pas l'inutile qui rend ce monde aimable",  le bonjour du titre peut être aussi cela je me dis, la formule de politesse, évidement on pourrait se dire le Bonjour du film c'est parler pour ne rien dire, c'est ce silence, plutôt cette sorte d'abstraction, (le je ne sais quoi du nuage dont ils parlent vers la fin du film à la gare), tout le film c'est ça, chercher à mettre des mots ou pas d'ailleurs sur des choses etc, c'est tenter une définition des choses, brouillon, (zut une partie du post est manquant) , je disais dans ce plan à la gare on voyait du commun alors entre eux mais que c'était ouvert, je disais un truc comme ça, je me rend compte trois jours après qu'il manque toute cette partie, je voulais ajouter que ce plan était tellement ouvert que ça aurait pu être un plan de statue de sel, Ozu en quelque sorte les fige, et c'est en cela que c'est très beau, j'avais écris aussi que tout le film tendait vers ce dernier plan, j'y reviens, je parlais  de ce dernier plan par rapport à celui de Fremont, , finalement il manue plus de la moitié du post je me dis, 

Fargo saison 4 un peu décevante mais; j'ai arrêté la saison 3 ennuyeuse au possible au bout du second ou troisième épisode, je recommence mais en partant de l'épisode 1 de la saison 1, (je crois que je l'avais vu mais peut-être pas entièrement, je ne m'en souviens plus), (je l'ai vu évidement puisque je me souviens de l'épisode 7), j'ai essayé de regarder Le chardonnet, le début est bien, ensuite j'ai arrêté, j'ai essayé de revoir Centurion, en accéléré ça fonctionne un peu, mais sinon je me suis ennuyé et j'ai arrêté, j'ai tenté un film de John Huston avec Robert Mitchum sur une île et une bonne sœur mais bon c'est définitivement un très mauvais cinéaste, j'ai arrêté aussi, après avoir tenté évidement de le regarder aussi en accéléré, je me suis demandé si j'allais télécharger le dernier film de Todd Haynes, dont je n'ai pas vu un seul film depuis je ne sais combien d'années, puis je me suis dit que non, 

c'est vrai que c'est le nouvel an des arbres, , ou ,  (Tou Bichvat), 

via un souvenir Facebook du jour la bande-annonce du film Centurion 

il y a 11 ans les Césars c'était ça: 




j'ai envie de de dire que Fargo épisode 1 de la saison 5 c'est très bien, très étrange, mais après réflexion je ne sais pas si c'est très bien, si l'on peut dire que c’est très bien, mais très étrange oui, et c'est aussi très agréable à regarder, ce qui me gêne un peu c'est le côté comptine, ils n'ont pas assez regardé John Wick on se dit, le côté (Hollando-Allemand)-Suédois du tueur c’est assez beau on se dit encore, (on sait aussi d’où ça vient), (vite dit de The Leftovers qui venait probablement déjà de ), (et évidemment on pense aussi à Herzog), (puis je crois de The bridge US, et de cette autre série, bref),  je remarque, je veux dire au fond que la série pompe un maximum à droite et à gauche et que pour une fois cela fonctionne tout-à-fait, et cela fonctionne parce que ce sont peut-être plus des souvenirs que du pompage, et que la série remodèle cela, au sens aussi d'en faire un nouveau modèle, (on peut aussi se dire qu'elle ne reprend qu'un ancien canevas, un canevas), la mère du mari est quelque chose de sublime, une sorte de Lauren Bacall vieille et aigrie et abusive et horrible, (en fait bien pire que ça), d’où vient-elle je me dis, je l’ai au bout de la langue, je me dis par une association d’idée ce côté je ne veux pas tomber en morceaux, ce côté Frankestein, The blood The blood disait Satyajit Ray, l’argent, comme une sorte de mastic de ses différents morceaux, et pourquoi a t-on le sentiment qu’est filmé essentiellement la bouche du tueur, filmé comme Falconneti dans Jeanne d'Arc, l'épisode 6 est assez terrible, le 5 aussi, le 9 tu te dis que tu l'as déjà vu, je ne sais pas si c'est un épuisement de leur part, se demander si ces figures de prêtres fous ou de tueurs fous dans les films ou séries etc ne viendraient pas de La nuit du chasseur etc, ( et/ou qu'il y a un personnage de film qui servira de modèle par la suite au cinéma), brouillon, 

fiche Wikipedia de Bernard Guillot , recherche google image , Hôtel Maffet Astoria est un des premiers livres de photos que j'ai acheté, le troisième je crois, (mon premier était un livre de Wolfgang Tillmans, le second un livre ou catalogue d'expo de Valérie Jouve), 

The nid tapes, , via un article () de Libé, 

par une association d'idées, ce matin et en fait depuis quelques jours,  je repensais aux films "pornos" que j'avais partagé à l'époque de Kuhe, dont celui avec les nanas à poils qui pissaient debout face caméra, on aurait presque pu dire que c'était des nanas filmées par Straub, genre Antigone à poil, et film immense, film de guérilla total, ça fait quelque temps que je repense à ce film, sans savoir sur quels disques durs il se trouve, et sans avoir évidemment à disposition ces disques durs, (j'en ai quelques uns sur un disque chez moi dont les deux dans les toilettes de filles, et celui Japonais avec cette nana (nue)  qui pisse au milieu de la ville et des passants une dizaine de fois, filmée par son mec j'imagine, et d'autres, mais pas celui-là), dans mon souvenir elles marchaient vers nous par exemple et s'arrêtaient face caméra, regardaient bien en face, nous regardaient bien dans les yeux, et avec air de défi, pissaient, ou alors d'un plan large, de profil, on les voyais pisser toujours debout et à poils évidemment, j'y reviens, 

du coup le texte de Valery me fait penser  à Ema descendant l'escalier, de Richter, , et , (pas vu encore le documentaire),  (ça devient intéressant vers 2 mn),  (je n'ai pas oublié le tableau de Duchamp), 

"  La plupart de nos mouvements volontaires ont une action extérieure pour fin : il s'agit d'atteindre un lieu ou un objet, ou de modifier quelque perception ou sensation en un point déterminé. Saint Thomas disait fort bien : « Primum in causando, ultimum est in causato.Le but rejoint, l'affaire terminée, notre mouvement qui était, en quelque sorte, inscrit dans la relation de notre corps avec l'objet et avec notre intention, cesse. Sa détermination contenait son extermination ; on ne pouvait ni le concevoir, ni l'exécuter, sans la présence et le concours de l'idée d'un événement qui en fût le terme.Ce genre de mouvements s'effectue toujours selon une loi d'économie de forces, qui peut être compliquée de diverses conditions, mais qui ne peut pas ne pas régir notre dépense. On ne peut même imaginer d'action extérieure finie, qu'un certain minimum ne s'impose à l'esprit. Si je pense à me rendre de l'Étoile au Musée, je ne penserai jamais que je puis aussi accomplir mon dessein en passant par le Panthéon. Mais il est d'autres mouvements dont aucun objet localisé n'excite, ni ne détermine, ni puisse causer et conclure l'évolution. Pas de chose qui, rejointe, amène la résolution de ces actes. Ils ne cessent que par quelque intervention étrangère à leur cause, à leur figure, à leur espèce ; et au lieu d'être assujettis à des conditions d'économie, il semble, au contraire, qu'ils aient la dissipation même pour objet. Les bonds, par exemple, et les gambades d'un enfant, ou d'un chien, la marche pour la marche, la nage pour la nage, sont des activités qui n'ont pour fin que de modifier notre sentiment d'énergie, de créer un certain état de ce sentiment.Les actes de cette classe peuvent et doivent se multiplier, jusqu'à ce qu'une circonstance  tout autre qu'une modification extérieure, qu'ils auraient produite, intervienne. Cette circonstance sera quelconque par rapport à eux : fatigue, par exemple, ou convention.Ces mouvements, qui ont en eux-mêmes leur fin, et pour fin de créer un état, naissent du besoin d'être accomplis ou d'une occasion qui les excite, mais ces impulsions ne leur assignent aucune direction dans l'espace. Ils peuvent être désordonnés. L'animal, las de l'immobilité imposée, s'évade, s'ébroue, fuyant une sensation et non une chose ; il se répand en galop et en déportements. Un homme, en qui la joie, ou la colère, ou l'inquiétude de l'âme, ou la brusque effervescence des idées, dégage une énergie qu'aucun acte précis ne peut absorber et puisse tarir dans sa cause, se lève, part, marche à grands pas pressés, obéit, dans l'espace qu'il parcourt sans le voir, à l'aiguillon de cette puissance surabondante. Mais il existe une forme remarquable de cette dépense de nos forces : elle consiste à ordonner ou à organiser nos mouvements de dissipation. Nous avons dit que, dans ce genre de mouvements, l'Espace n'était que le lieu des actes : il ne contient pas leur objet. C'est le Temps, à présent, qui joue le grand rôle...Ce Temps-là est le temps organique tel qu'il se retrouve dans le régime de toutes les fonctions alternatives fondamentales de la vie. Chacune d'elles s'effectue par un cycle d'actes musculaires qui se reproduit, comme si la conclusion ou l'achèvement de chacun d'eux engendrait l'impulsion du suivant." in Degas Danse Dessin de Paul Valéry, 

extrait de Made in Britain d'Alan Clarke ,   >> ce clip ,  le film en entier , il y a cette séquence plus que sublime où il regarde à travers la vitrine d'un magasin, (on peut la voir dans l'extrait), (j'ai posté l'extrait par rapport au clip de Unkle cela dit), 


souvenir Facebook du jour: je me dis que ça serait bien de retrouver l'article complet, (et sinon ), à propos du cinéma français, 

Journal, brouillon: la plupart des expos françaises de photos ne montrent plus que des fleurs je me dis, (au sens large) (et minéraux compris), (n'existent, ne semble exister dans les photos en france que le végétal et le minéral) et une des raisons à laquelle je n'avais pas pensé avant est qu'il s'agit d'organismes propres, de corps propres, pas de pipi, pas de caca, pas d'odeurs dégueulasses etc, (plus de monde quoi, et plus de monde vulgaire*) nous sommes au-delà du refus des corps je me dis, je me dis au fond ils ne photographient qu'une sorte de virginité, ils ne photographie plus que la vierge, que la virginité ou la pudeur enfantine, photos religieuses au-delà de l'extrémisme on peut se dire, l'art débarrassé des mauvaises odeurs, hygiénisme absolu**, (définition ),  débarrassé de toute pensée politique etc, refus du portrait évidemment, (le portrait réclamant une pensée qu'ils n'ont pas et un effort à faire vers autrui qu'ils n'envisagent même pas), disons chez eux il y a le refus de la rencontre, atelier pâte à sel,  

note: pour eux une femme n'est pas un être biologique, elle est selon eux tout sauf ça, et puisqu'ils savent qu'au fond, qu'au final il y a un doute, ils préfèrent s'en tenir au biologique de la nature, donc pierres, feuilles, fleurs et eau, pour ce qui est des hommes, ils ne se posent même pas ce genre de question, il s'agira toujours comme Ferran d'esmasculer toute figure ouvrière, (en gros), mais la base c'est le remplacement de la figure humaine par quelque chose de neutre, neutre politiquement et neutre esthétiquement, c'est à dire que la question de la place sur terre est supprimée ou évacuée, question insupportable ou trop dangereux on se dit, la question n'est pas de savoir si au fond j'ai raison, totalement ou un peu, disons pour eux la figure humaine n'est pas fun, 

*pourquoi en écrivant cela je pense à l'autre virant sa bonne parce qu'elle avait souri, je me dis les petites fleurs c'est leur façon au fond de congédier le monde, c'est leur(s) manière(s) à eux, 



** en exagérant un peu, au fond ils photographient des fleurs parce qu'une femme ça ne pète pas, et ça ne peut pas péter, et ça ne doit pas péter, (et le monde pue pour eux), et puisqu'en plus elles chient ils se rabattent sur les fleurs je me dis, (un peu comme les jardins partagés pour que les roms ne s'installent pas sur une friche), je veux dire par là que la nature pour la bourgeoisie est toujours quelque chose de autre, (un peu (légère digression) comme les bleus de travail des prolos qu'ils portent maintenant quoi), (le pire que j'ai vu, une vidéo d'un chef de bureau derrière justement son bureau avec sa veste bleue), (c'est fou parce que c'était une vidéo avec deux nanas artistes et que c'était filmé comme un interrogatoire),  on pourrait ajouter curieusement même leurs photos de fleurs ne parlent  quasi essentiellement que de la nature souillée, (on nous a encore dégueulassé notre jardin quoi), je me dis et s'ils ne photographient que la nature souillée c'est aussi pour donner le sentiment de se sentir concerné(e) (indigné(e)) par le monde, alors qu'en fait je me dis, ils ne désirent au mieux que de préserver leurs lieux de promenade ou de baignade, 

Note: je ne parle évidemment pas de photographie naturaliste, (il y a la grande commande photo pour ça), (alternative: il y a les 200 neu-neus de La grande commande pour ça), je ne parle pas d'une photographie à la Philippe Artières quoi, ça je le laisse aussi aux neu-neus je me dis, on pourrait ajouter rien à foutre de l'indignation,  sinon même rien à foutre du social etc, 

Note: Jusqu’à quel point, je n’y ai pas réfléchi plus que ça, on peut dire « photographie de l’intitulé « , (surtout par rapport à un autre post plus bas), et le mot « intitulé «  dans un sens plus général ou générique, et dans un sens final aussi de « cela n’a pas été fait »,  au sens inusité, (je ne sais pas si on pourrait dire "photographie inusité"), 

Note: rappel, n’y a que deux nanas qui ont réussis quelque chose en photo de portrait ces deux ou trois dernières années, dont une photo était pourtant ratée (et prise par une mauvaise photographe), 

Note: et via un article sur une expo de fleurs, () j'apprends de fil en aiguille () que Degas était considéré comme un peintre misogyne, je m'interroge, je regarde un peu sur internet, Degas peintre dit misogyne puisque refusant l'érotisation [du corps] de la femme, l'érotisation salonnarde de la femme, ou sa *fetishisation, je me dis jusqu'à quel point ces gens sont héritiers directs de cette pensée ou affirmation absolument conne et bidon, je ne parle pas évidemment de foutre des femmes à poils, je parle du portrait etc en général, de regard sur le monde, de risque, (de prise de risque), (le risque de la rencontre), évidemment je me dis encore, tu arrives très vite chez Laurent Lafolie (je prends lui parce que les autres hein ne valent même pas un pet), ne photographiant que les gens des vernissages, (leur pays à eux) parce que bon, la "beauté avant tout", (ou comment ils envisagent ce qui est beau et digne d'être photographié) le monde Poivertien quoi je me dis, (Poivert étant en plus probablement le moins pire (enfin un des moins pire) de ces gens), (juste le plus visible et actif, une sorte de disc-jockey je me dis),  (ou hygiéniste en chef), mais entendons-nous bien je me dis, je serai toujours plus du côté de Poivert que de l’autre, (bip), l’ancien chef du service photo de Libé, le nocif Christian Caujole, (une des pires choses qui soit arrivé à la photographie française), 


de Philippe Lançon: "Degas les regarde quand le monde ne les regarde plus", , et encore "Degas fait aimer les corps des femmes pour ce qu'ils sont", 
de Degas lui-même: "Jusqu'à présent, le nu avait toujours été représenté dans des poses qui supposent un public" (in wikipedia), 


vers 4,30 comme ça, , lorsqu'elle va vers le public, un moment où on lui tend une écharpe, et un des derniers plans (sinon le dernier)  de la séquence, son regard, vers la caméra (ou quelqu’un hors-champs), le regard de défi presque (ou de questionnement) qui semble dire "t'as vu", (je suis encore capable de tenir debout quelque chose comme ça), il y a aussi ce moment où elle semble frapper quelqu'un, on se demande ce qui s'est passé mais on imagine qu'un type a essayé de la toucher un peu trop*, (il semble qu'elle regarde à nouveau dans la direction du truc en s'en éloignant et insulte le gars), la séquence avec l'écharpe c'est juste après, et séquence toute entière qui me fait penser au film Jackie de Pablo Larrain, et séquence assez monstrueuse et plus que sublime on se dit aussi très vite, (on trouve sur internet le concert en entier, vers la fin on voit qu'elle est totalement ivre et ne tient plus debout mais continue imperturbable de chanter), 

* passage qui sans que ça soit volontaire sonne comme une référence biblique (), toute la séquence de toute façon est comme une séquence religieuse, esthétiquement religieuse, (on pense aussi à Pasolini etc), 

un post de Jon Jost que j'aime bien

The devil and Miss Jones, de Sam Wood, un des films les plus à gauche* d'Hollywood, mais je crois qu'il a été massivement charcuté, il manque toute une séquence vers le début, il doit manquer une grosse séquence vers la fin, je ne sais pas quoi penser ou dire du happy-end, enfin ce n'est pas que ça, ce n'est pas qu'un film de gauche, je ne sais pas ce qu'il est réellement, ce qui est en plus, il y a cette discutions à la plage par exemple sur le petit ami de la nana, il y a ce qu'elle dit la fille, et qui est magnifique, 

* j'apprends en lisant sa fiche Wikipedia que le gars avait la réputation d'être d'extrême-droite, tout-au-moins vers la fin de sa vie, 












extrait live sublime de Joy Division

Sur l’idée (et son échec « avoué » ) de représenter le rien, à propos , lien sur Internet Archive ,  


sur City de Michael Heizer , et , (je n'en pense rien de particulier), 

L’expo Mathieu Pernot c’est plus un truc de décoration intérieure qu’autre chose je me suis dit, cahiers d’écoliers vintages, cartes marines vintages, photos soit insignifiantes, soit quasi putassières, Oh les beaux gilets de sauvetage, le truc des fautes d’orthographe je ne sais pas quoi en penser, c’est probablement un type honnête je me dis mais bon,  >> contre-poison Jim Goldberg, 

(capture d'écran de Printemps tardifs), 



La vie des jeunes travailleuses, en 1962, vidéo Ina,

The responsive eye de Brian de Palma

Détroit ville sauvage de Florent Tillon , (via un souvenir Facebook mais n'ai pas vu le film),  

j'avais parlé plus bas de ce film de Jeremy Deller sans le nommer, (The battle of Orgreave), voir aussi, (et même commencer par là), le sujet n'est pas la confrontation etc, mais la reconstitution d'un événement, (au sens large), le choix de l'obscénité esthétique ou pas, si on fait un travail sérieux ou si on se branle, (Smith contre Deller quoi), 

via un article du Monde sur les stations de nombres , et , (The conet project), (là page wikipedia du conet project ), ou


sur le site d’Arte à propos du dernier film de Jean-Marc Barr, filmé "dans l'esprit de la nouvelle vague", Jean-Marc Barr ce nouveau Jean-Luc Godard selon Arte, et aussi souvenirs (2012)  Facebook du jour: "Pour son deuxième court-métrage, le réalisateur Jean Sébastien Chauvin convoque la musique de Debussy, conférant un aspect universel à sa fable, et rappelant (tout comme la mise en forme) le "2001" de Kubrick", et d'après ces mêmes souvenirs Facebook Jean-Jacky Goldberg est lui comparé à Godard, le même jour mais en janvier 2011, dans Le monde "Somewhere est le film le plus minimaliste de Sofia Coppola, le plus osé aussi, tant pour le sujet que sa forme. Si une lecture autobiographique s'impose, elle n'est pas la seule. Le film est aussi le constat d'un changement d'époque. Dominée par la durée réelle des actions, les plans-séquences, et la succession de temps faibles, son esthétique renvoie aussi bien au Monte Hellman de Macadam à deux voies (la voiture qui tourne sans raison dans le désert) qu'à la Chantal Akerman des Rendez-vous d'Anna (le voyage immobile en hôtel).

bande-annonce d'Ascent de Fiona Tan, , le film est mieux que sa bande-annonce, 

conférence de Michel Poivert pour le coup intéressante  et informative, juste informative, je dis juste informative parce qu'il y a quelque chose qui me déplaît chez ces photographes, il y a quelque chose qui fait que je me dis que je n'y crois pas, j'aime beaucoup de choses mais en même temps je n'aime pas grand chose d'eux, et je ne les aime pas, j'aime l'idée, j'aime l'idée de ces photos et en même temps je me dis qu'il n'y a rien à voir, je ne sais pas ce que je regarde je me dis, si je prends l'exemple d'Alice Pallot, je la prends en exemple parce que j'ai assez bien regardé son travail, je me dis qu'on voit bien que ses photos, au-delà de leur processus chimico-créatifs sont toutes mauvaises sinon caricaturales, (les deux mecs allongés dans une flaque par exemple) (etc) et que ce qui plait ou ce qui est séduisant est le processus, je me dis que je n'aime pas qu'une photo ne comporte que son processus chimique ou autre chose de ce genre, ( pour une vidéo sur son travail et où on voit bien que c'est en même temps très beau), mais comme s'il n'y avait que les ongles à voir, je n'aime pas aussi l'idée que le type dont il parle à la fin, ne photographie que des gens fréquentant les vernissages d'expos, (je n'avais pas aimé Twenty cigarettes de Benning par exemple, et justement pour ça, il ne filmait que des gens branchés et ça ne fonctionnait absolument pas), je n'aime pas que l'humanité ne soit représenté que par la bourgeoisie je me dis, je n'aime pas de toute façon ce photographe, ce qu'il fait, (Laurent Lafolie), ce n'est pas un ennemi, c'est juste que je n'aime pas son travail, j'aime bien le travail d'Anaïs Tondeur, (plus l'idée peut-être) ou de Maté Dobokay, je trouve phobique celui de Coline Jourdan, je veux dire que je ne pense pas aimer ses photos, je me dis revoyant un peu les photos d'Alice Pallot, comme si cela manquait au fond de quelque chose, il y a le sujet de ses photos, même la matière, mais pourquoi suis-je aussi extérieur à celles-ci je me dis, comme s'il y manquait une forme de pensée, je me dis sans en être certain ou persuadé que je suis face à quelque chose de l'ordre de l'illustration, qu'est-ce qui fait qu'au fond je ne regarde que la beauté des images, je me dis aussi que j'ai du mal avec des photos qui ne me demandent que de les regarder, quelque chose de tout en surface, étrange aussi car il dit que ce ne sont pas des images et je pense au contraire que ce n'est que ça, tout en surface, que ce sont pratiquement des photos aveugles, sentiments qu'elles ne nous offrent que leur séduction je me dis, je me dis aussi les photos sont belles et il n'y a que leur intention,  vite dit que la seule signification de la photo soit son intention,  c'est à dire qu'elle ne sait pas quoi en faire de son procédé, elle a l'idée de quelque chose, (les autres pareil) et est condamnée à le répéter sans qu'elle sache au fond pourquoi ou comment ni l'intérêt réel, d'où les photos bidons des mecs dans la flaque ou sur le rocher etc, ou d'une autre photographe condamnée à broder et broder, 

Journal brouillon, par rapport à Philippe Artières et par rapport au therme Thermidorien de Badiou, (je re-précise que je ne suis pas d’extrême-gauche), par rapport à sa définition de Thermidorien que je relis et par rapport à Artières et à son texte infâme sur l’expo Soulèvements de Didi-Huberman,  je me dis qu'il s’agissait pour lui de tuer toute pensée théorique je, de tuer tout début de pensée esthétique ou sensible sur le monde, en exagérant à peine de supprimer le romantisme Allemand, (je me comprends lorsque je dis ça),  et quelques années plus tard cela donne (avec la complicité d'à peu près tout le monde de ce milieu) la catastrophique grande commande photo dont il est la cheville ouvrière, c’est à dire une vision bureaucratique et réactionnaire de la photo, c’est à dire le monde (le dégoût du monde plus exactement) envisagé depuis une administration, (etc etc),  (et ne pas oublier qu'au nom de cet impératif administratif ils ont fait le choix pour une bonne partie de photographes de mariages et des photographes corporates ou publicitaires), (un quart minimum), et tous ceux de la précédente horreur absolue, l'expo Les vies qu'on mène, le monde avec La grande commande est absolument dégoûtant on se dit, un monde médiocre, 

La foule de King Vidor ,  et  pour cette découverte, 

via les cahiers La vague de Marey , John Williamson recherche google images  (toujours via les cahiers)

pendant que je suis occupé avec des histoires d'histoire de l'art etc,  photos de Ryan McGinley , c'est tout de même autre chose je me dis que les copies pales et institutionnelles de Traum Smith () (je viens par ailleurs de virer une amie Instagram pour avoir liké son dernier post),  j'avoue que les dernières photos de McGinley m'ont choquées au-delà de tout, qu'il m'a fallu du temps pour les aimer un peu, mais au moins elles m'ont choquées, de toute façon je me dis, elles n'avaient pas à me plaire, j'avoue qu'un gros cul sous le nez cela me choque, mais au moins je suis choqué, je sais que je ne les aimerai jamais vraiment, mais elles me stupéfient, ( par exemple), 

photos d'Ed Ruscha et d'Andreas Gursky, en fait j'ai associé la boutique Prada de Marfa, celle en plein désert avec la photo de Ruscha, ( et ) donc le remake n'est pas forcément évident, la photo de Ruscha je l'ai découverte ce matin, 






1) m'aperçois  qu'Indépendancia n'est plus en ligne, je ne sais pas si c'est très récent ou moyennement récent, 2) on a complètement oublié (souvenir Facebook du jour) qu'en 2011 ils firent venir Stephane Bouquet, après Yannick Haenel et l'autre dont je ne sais plus le nom, il était évident que cela ne pouvait que mal se terminer, et plus personne n'entendît parler d'eux, ils ont eu ce qu'ils méritaient on se dit, ci-dessous la capture d'écran d'il y a 13 ans, 



photo tirée du film Fremont et photo de Paul Strand, l'imaginaire sublime du cinéma Américain, 



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1/3 Journal, brouillon: à partir de ce mot "épuiser"  au sens épuiser un lieu, on peut décrire le processus révisionniste complet de la french touch je me dis, il ne s'agit pas de filmer ou de décrire le monde, il s'agit de récupérer un peu (le plus possible) un peu de l'aura de cette expression historique de Perec, (et un peu le plus possible de l’aura d’un lieu etc) la poésie à peu de frais je me dis, une esthétique de charognard, de vampirisation de la langue, (je parle pour le coup  évidemment de Frank Smith), (mais c'est valable pour tout le monde), il s'agit de s'approprier des lieux, et au fond d'en faire quelque chose de présentable, (le gars qui arrive on va dire après la bataille, dans le sens où arriver à l'époque n'aurait pas été assez on ne sait quoi), (arriver à l'époque des luttes qu'il y a eu à cet endroit, (quelque quelles furent) arriver à l'époque du réel), (ajouter "promiscuité insupportable", "promiscuité", "promiscuité insupportable du réel"), ces gens je me dis ne mettent pas des mots sur les choses, ils nettoient les choses, (alors qu'il n'y a déjà plus rien, ou peut-être plus rien à voir), ces gens arrivent après le réel, après la réalité, après que tout soit/est passé,   sinon pour le post du gars,  chez ces gens la branlette branchée qu'ils prennent pour de l'art ou de la  culture etc est un projet essentiellement révisionniste je me dis, on pourrait aussi utiliser le mot "tourisme", ajouter "il y a une sorte de simulation d'avoir été là, ces gens simulent d'avoir été là", à se demander s'ils ne simulent pas qu'il y a eu quelque chose à cet endroit là, et au fond ne fictionnalisent cela, note: pour « épuiser un lieu » charge disons symbolique des mots, comme tous ces gens qui utilisent des titres en Anglais etc, note encore: effort du réel et ennui, ces gens ne veulent pas s’ennuyer, il faudrait revoir Hiroshima mon amour de Resnais je me dis pour voir comment lui a résolu ce genre de questionnement, je repense aussi souvent à cet artiste Anglais qui avait reconstitué entre autre une bataille rangée entre les ouvriers et la police, (je ne me souviens plus de son nom tout de suite) je veux bien dire par là à travers ces deux exemples, que Frank Smith a bien choisi ce qui était le plus confortable pour lui, ce qui lui demandait le moins de travail, et ce qui était le plus agréable et acceptable pour les institutions, ajouter il n'y a chez lui/eux pas de travelling mais coup de balai sinon d'aspirateur(s), il s'agit d'épuiser le lieu oui mais au sens le dévitaliser, le rendre sans signification autre que celle qui plaira aux institutions, le lustrer,  nettoyer, nettoyeur, voir la dernière capture d'écran plus bas, tu te dis il a réunit, rassemblé les traces de passage, c'est comme un trophée on se dit, ou un tas d'ordures, voyez il n'y a plus rien, j'ai tout nettoyé, c'est de nouveau propre, (je suis un artiste du nettoyage quoi), brouillon, 

Note: définition de la pornographie institutionnelle: "L’enjeu de cette installation vidéo paysagère consiste à observer l’anatomie des espaces du Fort Vert, à les déchiffrer et à tenter de les « épuiser » sous une pluralité d’angles de vue équivalents à autant de « points de témoignages ».
Le Film des points de vue procède, pour ce faire, en la succession de 10 séquences de 2 minutes 30 secondes, composées de 4 plans fixes synchronisés — chacun de ces plans étant orienté vers un point cardinal différent. L’installation les fait résister dans la durée puis disparaître progressivement : chaque séquence, composée de sons d’ambiance spatialisés prélevés in situ, s’achève par un fondu vers la couleur qui domine chaque plan comme si la scène en venait progressivement à s’immobiliser. Cette mise en exergue de la synchronie, de la multiplicité et de la variété co-active des points de vue, du segment temporel porté par un usage statique de la caméra documente le statut foncièrement artificiel des lieux qui, avec le temps, sont toujours les vestiges d’un instant privilégié — celui de leur représentation."

Note: définition de charognard

2/3 Ordures et décombres, suite, lorsque je parlais de la récupération de l’expression de Perec par Fank Smith, je n’avais pas parlé de son travail de copie de Charles Reznikoff, d’ailleurs je n’en parlerai pas tout de suite, je poste juste cette copie d’écran pour mémoire, où là il s’agit de reprendre Michael Snow et d’en faire tout autre chose, la phrase à propos de la caméra est assez balaise, il a inventé la caméra de Snow quoi,  pornographie absolue, (relire plus bas), j’ajoute que je ne parle pas de plagiat, (par contre pour l’autre Smith, Traum Smith il s’agit bien de plagiat) (et avec la complicité évidente de toutes les institutions qui l’exposent), (le plagiat cette spécialité française de toute façon) ( à moins que tous ces gens ne connaissent pas McGinley, ce qui est possible vu leur analphabétisme ou inculture probable) ( il y a de grandes chances pour Léa Bismuth que ça soit son inculture profonde (lorsque tu vois ses goûts tu ne peux que soupçonner son inculture) , à moins qu’elle soit en plus totalement malhonnête), et donc pour F Smith de reprise administrative, ou d’un truc de prof, (il trouve ça tellement beau qu’il veut faire pareil, que lui aussi veut faire de la poésie), (lui aussi veut être un poète et un artiste),  disons lui utilise des modèles, il ne plagie ni Reznikoff ni Snow, il s’en sert comme moule, 


3/3 Et aussi celles là où l’on comprend qu’il a été chargé de repeindre la jungle de Calais, d’en faire un lieu de promenade décent et familial,  (j’adore son énumération de mots, on dirait le livre de monsieur Prout), 
Il s’agit en fait pour eux, de désinfecter ( à coup de panoramiques tel un chaman Sarkozien, l’ex jungle  de Calais je me dis, (et en guise de mantras ces phrases horribles ) est-ce que quelqu’un a déjà lu des phrases aussi puantes je me dis, obscénité absolue, ordures et décombres, (mantras), 






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c'est James Benning qui plus bas me donne une indication intéressante sur la phrase A rose is a rose is a rose de Gertrude Stein, c'est une phrase mathématique, (entre autre), 

chez Ozu je me dis, de films en films on retrouve non pas exactement les mêmes plans mais [exactement] les mêmes motifs, photo en dessous de I was born but, 




"89 mm od Europy" de Marcel Lozinski, , (Brest-Litovsk, à la frontière de la Pologne et de l’ancienne Union Soviétique. Ici se terminent les voies ferrées européennes ; au-delà, elles sont plus larges. Chaque jour, des ouvriers biélorusses doivent changer des milliers de roues de wagons, sous le regard des passagers.)

The colours, d'Abbas Kiarostami, ,  

deux films sublimes de Theresa Hak Kyung Cha, , dont le livre (plus que sublime) Dictée n'a toujours pas été traduit en français , une vidéo d'une conférence sur elle à Beaubourg , et avec des extraits d'autres de ses films, 

page wikipedia sur L'esclavage moderne de Tolstoï

étrange comme l'on ne pense pas aux photos de M. G comme quelque chose de religieux je me dis, comme si elle cherchait l'acte je me dis, et presque l'acte au sens administratif, lorsque je dis religieux je me comprends, je ne dis pas le mot Religieux pour Religion,  note: le big-bang n’est pas la vie éternelle ou de l’ordre du présent, le big-bang vient avant le temps, ce qui est en fait faux d’une certaine façon, la vie éternelle c’est le temps ou le présent,  on pourrait dire le big-bang crée la vie éternelle, ou le temps,  le temps qui probablement existait quand même avant, et comme si elle cherchait à capter la matérialité du vide ou du temps, une sorte de trace éventuelle, question: est-ce qu’on peut capter autre chose qu’une trace justement, si tu captes (photographie) le vide il n’y a rien, tu peux capter éventuellement une durée, enregistrer le temps est tout aussi difficile, (que le vide), je l’avais déjà noté: tu peux capter un espace vide mais obligatoirement délimité, tu peux capter un objet du temps, un artefact je crois avoir noté il y a longtemps, une trace ou une preuve, une ride n’est pas du temps, mais de la destruction, de la ruine, note encore:  est-ce que le temps existe sans la vie, autrement dit, s'il n'y a pas de vie est-ce qu'on peut dire que le temps existe, évidemment sur la lune il n'y a pas de vie on se dit, mais tout de même une succession d'évènements, dont la venue d'humains, et si quelque chose bouge ou tombe, ou tourne, et le hors-champs de la lune est peut-être la terre, par exemple dans une boîte est-ce que le temps existe, et si on y ajoute quelque  chose, bref, 

Trop d’emphase Soseki quand même,  je n’y arrives pas, même Le mineur ce n’est pas possible, 
commence à télécharger quelques films de Wellman,  (sans rien en attendre de particulier), ai vu Jeremie Johnson, (jamais vu auparavant), pas un grand film mais un beau film, l'utilisation de la  musique, 




je continue de  télécharger des films porno donc, et des films plus ou moins improbables, (curieusement la plupart je les ai déjà vus plusieurs fois) par exemple le film Évolution dont je ne garde pas un très grand souvenir, (mais bon), , le film Next, deux films avec Angelina Jolie, (bientôt deux autres), Les âmes vagabondes d'Andrew Nichols, film qui est ce qu'il est, mais j'aime l'actrice principale, qui est l'actrice d'Anna, sublime film, etc etc, je revois tous les films d'Ozu sauf les muets, (je viens néanmoins d'en télécharger un), je continue Tom Jones, j'ai arrêté Respire temporairement mais pour de bonnes raisons, (je trouvais des phrases tellement belles), (même si je ne suis pas certain que cela soit un grand livre), je continue aussi de lire Kawabata, découvre aussi Soseki, le livre Le mineur semble très beau par exemple,   mais par contre je n'aime pas beaucoup La porte, je pense  revenir là dessus,  je ne l'ai pas lu ou plutôt [je ne l'ai pas] commencé dans de bonnes conditions ou dispositions je me dis, 

"Diderot, au XVIIe siècle, révolutionne les conventions théâtrales lorsqu'il conseille à l'actrice Mlle Jodin d'enrichir son jeu en tournant le dos au public. Jusqu'alors, les règles de la bienséance exigeaient que l'acteur fit toujours face au spectateur. D'Antoine Vitez à Stanislavski, le propos de Peter Brook " La mise en scène a commencé lorsqu'on a osé tourner le dos " se confirme. Tourner le dos est considéré comme une position de révolte, comme s'absenter du monde ou s'y absorber, dénier l'autorité en place, s'isoler d'un groupe ou bien s'imposer par une expression physique très significative sans que le regard entre en jeu." in L'homme de dos de Georges Banu, (reçu aujourd'hui), 


je continue tranquillement de télécharger des films pornos Japonais, dits de Roman porno, la liste , en fait je me sers très peu de la liste pour l'instant, j'ai ouvert des onglets sur Kg, catégorie Japon et Erotica, puis par date, ensuite c'est presque à l'aveugle, (je tape aussi des mots clefs dans Google), pas mal de films pas très intéressant, celui-ci est pas mal, par rapport à un film L'école de la sensualité du cinéaste Noboru Tanaka je découvre une actrice sublime, Tanaka Mari, pour sa filmographie, (une photo d'elle en couleur ), visage un peu vulgaire et énigmatique, sorte de vierge éternelle, visage de sainte et de dévergondée à la fois, visage ingrat et sublime, pas très loin de Roberte de Klossowski, ( pour le lien google image) Le marché sexuel des filles est très bien, 
un texte sur l'érotisme au cinéma qui est intéressant surtout pour le titres des films, , fiche wikipedia de Naomi Tani

de Camille Nevers in Libé, ,  " Tam est l'âme frère de Thien, disons ainsi, dont il part à la recherche comme de lui-même, son fantôme parallèle ou son autre vie possible", (zut pour abonnés), alors, finalement je pense aimer plus la bande-annonce que le film je me dis, trop chuchotement précieux pour moi, j'ai dans les faits détesté le film, la séquence de l'accident pas très loin du travelling du kapo tellement la foule met dix plombes pour arriver sur les lieux et que le commerçant continue tranquillement à remuer ses marrons, tout ça pour qu'on apprécie la beauté de la scène, cette espèce du radeau de la méduse ou je ne sais quoi du même peintre, etc etc,  (passage du post supprimé temporairement), ça ne me dérange pas non plus qu'il sexualise les ruines comme un vulgaire Robbe-grillet, puisque le film est plus proche de Robbe-grillet que de Wang Bing ou d'Antonioni, chez Wang Bing il y a toujours cette "vulgarité" incroyable des gens, et cette temporalité qui excuse tout, qui donne une épaisseur à cette "vulgarité", dans le film c'est juste de la lenteur de merde d'auteur, (de la merde d'auteur), on se fait chier, on se dirait dans un film de Carné en couleur je me dis, et le truc par rapport au film c'est pourquoi on pense aux films de Robbe-Grillet je me dis, on pourrait ajouter que ce qui ne fonctionne pas dans le film pour le coup ce n'est pas le scénario, mais la mise en scène,

(ai commencé le Macé), (un peu), 

toujours pas lu le livre de Marielle Macé, l'ai feuilleté l'autre fois pour ne tomber que sur des passages où elle parlait de politique et ça ne m'intéressait pas, peut-être me dis-je que le livre est plus intéressant par ce qu'on en dit, par ce que j'en ai lu, qu'il est plus intéressant par ce que j'ai lu de ceux qui l'ont lu et aimé, par l'idée que je m'en fais, et par ce qu'il m'apporte de cette façon, 

bande-annonce du dernier film de John Woo, , (plusieurs séquences sont assez belles mais le  film n'est pas terrible), 

toute la séquence ensuite au bord du passage à niveau, lorsque le grand-père dit aller acheter des graines pour les canaris, 


puis l'enfant qui hurle, mais c'est aussi une histoire de souffle, il doit d'abord reprendre sa respiration, et/ou reprendre ses esprits, comme si étrangement je me dis, il commençait à être adulte, je ne sais pas expliquer pourquoi je pense cela, disons il a le souffle coupé, il découvre les conséquences de ses actes on se dit, c'est à dire qu'à ce moment là il quitte l'enfance, ou une sorte d'état d'enfance, d'état de turbulence, (j'ai ajouté plus bas le mot Passage) , il devient réfléchi*, (en gros),  il ne faut pas plus de deux secondes à Ozu pour être immense on se dit,   

* et on voit bien vers la fin lors de la séquence de la photo qu'il y a eu ce changement en lui, une sorte de "tranquillité" et une appartenance à quelque chose de plus grand, la famille ou le groupe etc, 


il y a ce plan bref ensuite sur le pain de mie par terre, plan qui n'a aucun raison à priori d'être là, (mais qui évidemment ), 




le gosse, qui assis sur une chaise, reprend son souffle après avoir reçu une baffe, (méritée), (façon de parler), et reprendre son souffle qui lui permet aussitôt de sortir de la maison, quelque chose comme ça, je pense à ce mot passage, je ne sais pas où le mettre, je sais que c'est de cette ordre sa respiration, le fait de respirer lui donner la possibilité de décider quelque chose, il se transforme, il passe comme chez Dreyer finalement, d'un état à un autre, se demander aussi si la respiration dans ce film, et dans celui de Dreyer, n'est pas quelque chose ayant à voir avec la surimpression, et le montage, au sens presque muet du cinéma, 

ajouter: que la respiration c'est aussi le silence, c'est en soit et c'est le silence en soit, 


le gosse qui va en pleine nuit aux toilettes, je ne retiens pas cela pour une pause pipi, ce n'est pas du tout la même signification, 

la fresque avec les nus sur un mur dont j'ai parlé il y a peu c'est dans Été précoce, (film que je revois une seconde fois en 15 jours), (je me disais bien cette impression de déjà vu récente), 

à un moment leur train est à 21h45, c'est important de le noter car on ne sait jamais à quelle heure ils rentrent chez eux le soir, c'est toujours quelque chose d'assez mystérieux, 

dans Été précoce ils parlent aussi du café Luna, (par rapport à un ancien post d'il y a trois ans et qui par ailleurs est réapparu cette semaine ou la semaine dernière), 

je n'ai jamais lu Les Thibault de Roger Martin du Gard, pour la fiche wikipedia, Ozu cite le livre dans Eté précoce, je n'ai jamais rien lu de lui d'ailleurs, j'ai toujours pensé à lui comme quelque chose de suranné, mot pas forcément exact, 

je me suis dit ce que j'ai vu et pensé d'Anatomie d'une chute de Justine Triet est tellement en décalage avec 100% de ce que j'en ai lu, que j'ai re-téléchargé le film, en me disant que le regarder moins d'une minute n'était peut-être pas suffisant pour m'en faire une idée précise,  je peux donc ajouter, (même si j'ai regardé le film juste trois minutes de plus maximum), le temps des plans est celui du scénario, temps essentiellement scénaristique et télévisuel, temps audiovisuel donc, le film est une horreur barbare ne serait-ce que pour ça, sans oublier l'apparition du gosse, je me dis que je n'en ai rien à foutre des gosses dans un film, je hais les gosses de manière générale, je hais les gosses au cinéma, c'est toujours suspect, les gosses n'ont aucune vérité en eux-memes, ils ne représentent qu'apitoiement pitié compassion  etc, les gosses ont beau dos on se dit,  celui du film est particulièrement infâme, j'ajoute que je me fous de l'intelligence du film, de sa construction ou de son scénario, il n'y a rien d'épatant à cela, c'est même la moindre des choses, les seuls films pleurnichards ou pas sur l'enfance ou avec des gosses sont selon moi L'incompris et Pinocchio de Comencini, la trilogie Bill Douglas, la trilogie Sayajit Ray, éventuellement ce film de Lang Les contrebandiers de Moonfleet,  peut-être quelques films d'Ozu mais je m'en fous au fond, je me fous du film de Bergman, Et de Spielberg au fond m'indiffère, Kardiogramma aussi je crois, ensuite je n'en vois pas, j'en oublie probablement, mais je m'en fous, j'ai bien compris évidemment que ce n'est pas un film sur l'enfance Anatomie d'une chute, et c'est d'ailleurs ce que l'on pourrait lui reprocher, d'ailleurs je lui reproche, le gosse n'étant là que pour un effet mignon, 

> " tu la détruis! tu ne vois pas?" , "elle se tue en signe de protestation"...
> "elle est têtue" ...
 (in Le grondement de la montagne de Mikio Naruse), (film qui est ce qu'il est*, pas terrible ou trop naturaliste etc), et parce que je suis en train de lire "Nuées d'oiseaux blancs" de Yasunari Kawabata, (dont je viens de télécharger l'adaptation par Yasuzo Masumara), 
* je crois que le livre est beaucoup mieux, 

voulu  regarder le film de Justine Triet Anatomie d'une chute, stop, me suis dit que ça ressemblait plutôt à un très mauvais téléfilm, stop, ai essayé de le regarder une seconde fois avant de le supprimer, stop, ajouter que les couleurs sont dégueulasses, stop, ce film est horrible, stop, film barbare même, stop, sous réserve stop, la mise en scène ne dépasse jamais le scénario, stop, le bon goût, stop, n'est pas la modernité,  stop, le bon goût ne fait pas un film, stop, film qui confond mise en scène et bon goût, stop, film  barbare et télévisuel car ne dépasse jamais le projet littéraire, stop, mise en image à peine du scénario, stop, ne regarde même pas les acteurs, stop, bon goût et entre-soit à vomir, stop, réalisatrice qui trouverait vulgaire de faire autre-chose, stop, qui trouverait vulgaire tout autre chose, stop, ne peut rien en dire de plus, stop, car n'en ai vu que 20 secondes grand maximum, stop, n'ai pas pu en supporter d'avantage, stop, suis en train de regarder Ordinary decent criminel, stop, d'un tout autre niveau, stop, déjà vu The general plusieurs fois, stop, peut-être que le regarderais-je à nouveau, stop,  juste avant Odc j'ai regardé Monsters, stop, assez beau film, stop, les monstres que l'on voit à la fin sont magnifiques, stop, 

München 1945, , (je me suis demandé ce matin s'il existait une liste de films sur les ruines), deux extraits du film Le visiteur du musée de Konstantin Lapouchanski et , (le film est sur YGG sous-titré en français sinon), 

L'interview d'Angela Davies dans Le monde daté de ce dimanche , 

Lorsque tu vois et que tu lis l'article le de Clémentine Mercier dans Libé sur Jurgen Teller tu te dis mais de quoi Clémentine Mercier est-elle le nom et comment  cette fille n'a a-t-elle pas été virée du journal ?  Comment des gens pareils écrivent-ils dans un journal? Comment des gens aussi minables tiennent-ils le haut du pavé en France (dans les journaux et toutes les institutions culturelles, qu'il n'y a qu'eux) ?  Comment oser prêter attention à ce type on se dit ?  Lorsque je vois des photos de Jurgen Teller, lorsque je vois les photos qu'aime Mercier, je me sens comme après un passage à tabac je me dis, c'est d'une violence inouïe et bien entendu voulue comme telle, j'avais écris il y a quelques semaines que la médiocrité, la constance dans la médiocrité, la médiocrité de ces gens, cette médiocrité est idéologique,  (Badiou parlerait de nihilisme) il n'y a pas, il n’est pas question, jamais,  de poésie ou de sensibilité, (ce qui est de l’ordre du sensible lui est totalement étranger et indifférent) y a des pots de fleurs, de l'anecdotique, du rire de repas de famille,  nous ne sommes pas dans un effort intellectuel, (encore moins dans quelque chose de l’ordre de la rudesse), nous sommes dans quelque chose qui doit faire rire tout de suite, qui doit plaire immédiatement, un truc qui doit être sucré, sirupeux intellectuellement, (l'art et la pensée à l'état de guimauve), nous ne sommes pas face à des objets qui pensent, (Clémentine Mercier  ne doit même pas savoir orthographier le mot), chez Mercier tu te dis, c'est toujours des objets décontractant, (vulgairement et caricaturellement, du cool) pas de la pensée,  chez elle il faut que ça soit dépaysant  ni de forme de pensée, disons elle confond le formel avec le risible, enfin confondre, confondre cela suppose un minimum  de je ne sais pas quoi et elle est loin de je ne sais pas quoi on se dit, et même connaître le risible supposerait autre chose on se dit,  étrangement je pense aux photos d'Anselm Kiefer, (en me disant bien évidemment que Libé n'a rien écrit sur l'expo), (une question aussi de niveau intellectuel), sans exagérer je me dis il faudrait parler de beaufitude, (Mercier c'est juste une grosse beauf quoi), ( elle me fait chaque fois penser aux enterrements de vie de jeunes filles que l'on voit dans les rues de Paris ou dans le métro, des nanas avec un casque  de Mini ou autre sur la tête et qui gloussent, Mercier on l’imagine très bien en train  de glousser au Palais de Tokyo et d'ailleurs c'est ce qu'elle a fait),  (et  l'art pour elle doit faire glousser) ( une sorte de pensée de provinciale quoi), disons Clémentine Mercier c'est la province en goguette, la province au musée,  l'art pour elle est sans histoire on se dit, sans mémoire et sans présent, s'il faut reparler de cette merde absolue de Teller et de l'article, disons qu'il s'agit d'un truc en tout point de vue réactionnaire, le réel comme décor anecdotique, photographe publicitaire, (au sens il ne photographie que des peoples), (et que le monde pour lui est juste un décor pour mettre en valeur ces peoples qu'il photographie), vulgaire, vulgaire aussi pour le fun, vulgaire pour être vulgaire, vulgaire parce que c'est rigolo de péter au milieu des gens, etc etc, (et voir ses photos en Afrique et vomir), éventuellement on pourrait penser à Luc Besson je me dis, (et aux films qu’il a produit) je veux bien dire que c’est l’équivalent,  (et au moins lui n'était même pas vulgaire, juste beauf) et c’est comme si on disait aussi Clementine Mercier elle croit que Pickpocket c’est un film de Luc Besson, (son article nous dit ça)  sa culture c’est ça (en pire dans les faits), (évidemment elle n’aurait en plus pas vu le film), (d’ailleurs elle ne l’a probablement pas vu),  il faut aussi très bien avoir à l’esprit que Mercier sait très bien ce qu’elle fait, je veux dire qu’il y a une vraie volonté beauf derrière ses articles, ( son maître à penser doit être l’autre là, le fils de l’ancien patron de Libé) 

Note pour moi-même, une pensée ou forme réactionnaire, se définit par le choc qu’elle veut provoquer, par le choc souhaité, par le choc à l’œuvre, dont la finalité est le choc, une sorte de cinétique à l’œuvre quoi, ( de branlette aussi),  parodie de la photo semble être le mot clef je me dis, Teller ne fait pas de photos, il parodie la photographie, 

par exemple elle n'a pas non plus parlé de l'expo L'atlas en mouvement de Matthieu Pernot, (c'est juste l'exemple que j'ai sous les yeux en lisant Le monde on s’en fout que ce soit lui ou quelqu’un d’autre), Note Teller c’est donc ce type qui pète au milieu des gens et qui te dit ensuite content et fier de lui « ben oui c’est la nature », et Mercier c'est celle qui glousse et qui dit « ben oui c’est la nature »,  et qui demande après « vous trouvez pas ça rigolo? »

note, bien comprendre que c'est comme si Libé avait fait deux pages pleines sur Didier Raoul en grand très grand scientifique ... c'est de ce niveau ... 
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une des seules photos bien de l'expo Corps à corps est une photo de Patrick Faigenbaum, du coup je découvre les photos qu'il a prise en Italie , (qui n'est pas la meilleure de la série) (j'aime bien celle-ci  par exemple) (celle-ci aussi) ce côté un peu Karen Knorr, (cette série ) , je me demande si les catalogues Bompard ne l'ont pas par ailleurs totalement pompé, je parle des catalogues d'il y a 3 ou 4 ans, qui étaient super beaux et proches esthétiquement de ses photos, 

sentiment (interrogation assez secondaire) que chez Faigenbaum ils sont photographiés presque comme des fantômes, et chez Knorr plutôt dans un présent perpétuel, (se demander si on peut dire même comme des sculptures),  je ne dirais peut-être plus pareil maintenant que j'ai reçu son livre, je ne sais pas, 

Pause pipi encore, (déjà remarquée il y a trois ans), 




c'est drôle que chez Ozu les héros représentent aussi la pression sociale je me dis, la réflexion vaut ce qu'elle vaut, je veux dire c'est une réflexion ouverte, les films sont alors des sortes de nappes fictionnelles on se dit, je ne me souviens plus beaucoup du film et je sens venir le piège, le piège pour lui, le complot monté pour qu'il accepte l'amoureux de sa fille, est-ce dans ce film, (oui), ("mon histoire était celle de Setsuko"), 


les derniers posts sur Ozu c'était en 2020, ( je vais les reposter ici sous peu) j'avais parlé plusieurs fois, deux fois dans mon souvenir des nus décorant les murs de ses films, la semaine dernière j'avais remarqué un autre nu dans je ne sais plus quel film, un décor de café ou cafétéria, bref, dans Fleurs d'équinoxe il y a celui-ci, peut-être est-ce un de ceux d'il y a trois ans, évidemment on s'en fout  de cette histoire de nus, sauf de découvrir un Ozu moins commun, même chose pour Dreyer, (parce que chez Dreyer le sexe est tout de même omniprésent et quasi frontal), 



dans Fleurs d'équinoxe et Fin d'automne, je remarque que ce sont les mêmes trois acteurs principaux dans les deux films, et qu'il y a cette quasi même blague sur la vigueur masculine, avec un découpage aussi quasi identique, enfin découpage, et que bien entendus ils se mêlent dans chaque film de ce qui ne les regarde pas, je remarque que chez lui on fait souvent les choses pour ce qui semble être la dernière fois, (pour les personnages), 

>> expo Corps à corps d'une nullité inimaginable, ce que l'on reproche à la photographie, tout ce que j'ai toujours détesté instinctivement et physiquement, lorsque l'on pense à la photographie, qu'on se dit que c'est de la merde, l'expo c'est ça, une caricature absolue, une sorte de foire à la nullité, Karmitz on se dit doit être le pire collectionneur au monde, on se demande je me dis comment une expo pareille a pu être imaginée*, on rêve d'autre chose et on sait en même temps que c'est impossible, il suffit de voir les bouquins de Poivert pour comprendre qu'il n'y a pas d'échappatoire ou d'alternative, Poivert (Poivert et compagnie)  y mettrai(en)t juste de la couleur en plus si on veut mais la médiocrité serait la même, l'innocence** en moins, Karmitz je me dis est une sorte d'idéaliste, Poivert (et les autres) un idéologue de la médiocrité, on imagine qui serait exposé et il n'en manquerait pas un, 

une expo qui rend visible ce pourquoi on déteste la photographie, 
* beaucoup des photos sont aussi d'une vulgarité incroyable, et les tirages pour beaucoup semblent être avec du papier photo en solde à la Fnac, (pire en fait), 

** une "innocence" dûe aussi à l'inculture, et au côté nouveau riche du type, (un côté Verdurin quoi), 


le lien précédent ne semble plus valide, donc pour le premier épisode de Fuccon family, à propos

page wikipedia à propos de L'histoire de Tom Jones de Fielding, , acheté ou re-acheté aujourd'hui, (flemme et impossibilité de vérifier dans les cartons), ai eu envie de le (re)-lire à cause du trop grand nombre de livres achetés depuis même pas une semaine, (4 samedi par exemple)  puisque je n'arrivais pas à me décider par lequel commencer,  j'en ai acheté [un de plus] un autre, 

pause-pipi encore, pas certain que j'avais remarqué celle-ci, c'est dans Fin d'automne, (si en fait, je geste qu'il fait ensuite dans le couloir me dit quelque chose), 







les photos exposées pour l'exposition Three Américans au Moma en 1984  

je ne connaissais pas la nana, ()  elle apparaît dans l'article sur les ruines de Paul Ardenne dans Art-press, j'aime bien ce qu'elle fait mais ce que j'aime aussi et c'est pour ça que j'en parle maintenant, c'est cette façon qu'elle a d'utiliser Instagram, cette façon de montrer les différents processus de fabrication etc d'un truc, très peu de personnes utilisent bien internet, en règle générale et dans les faits à presque 100% c'est pour faire leur propre pub, même parmi les gens que j'aime beaucoup il n'y a personne quasiment pour faire autre chose, 

Langue des oiseaux d'Eric Bullot sur Arte , d'habitude je n'aime pas ses films  mais pour le coup celui-ci est assez beau, 

sur Vera Molnar

les notes du dernier livre de Sade, , Les journées de Florbelle, 

sur des photos et le silence, le silence en tant que grève ou machin politique, ancien post Facebook, , et

le plus beau livre photo de l'année* je me dis (enfin de ceux que j'ai acheté, puisqu'il a été publié en 2013) est Un instant de rêve de Claude Levêque, et en le re-feuilletant on se dit que  c'est ce qu'a raté Constance Nouvel pour son expo chez In situ, >>  (et le texte de Nurisdany si beau), 
* et un des plus beaux livres photos qui soit, 

Hiroshige 53 relais du Tokaido, (viens de commander le livre), page wikipedia , plus bas dans la page il y a les reproductions des estampes, 




à propos d'une photo (de paysage) d'August Sander

j'ai lu beaucoup de bien à propos du dernier Scorsese, j'ai le regret de [vous] dire que je me fous totalement du film, j'ai essayé de le regarder et au bout de quelques minutes, plus exactement au bout de quelques dizaines de secondes, j'ai compris que je n'irai pas plus loin, j'ai compris que leurs costumes endimanchés et matelassés m'indifféraient, ainsi que l'histoire ou le maquillage des acteurs, (je remarque en exagérant un peu nous ne sommes pas non plus très loin d'un film de Claude Berri), Di Caprio on se dit nous rappelle plus Jean Gabin que James Dean, jamais on se dit il n'a joué aussi mal, me suis dit par ailleurs que je préférai me mettre au lit avec je ne sais pas encore quel livre je lirai puisque j'ai terminé les deux ou trois que je lisais en même temps, ce livre sublime mais brouillon d'Orwell Et vive l'aspidistra, livre que toute personne bien née se doit de lire, j'en ai déjà parlé, ce livre de cul (pas très bon)  d'Appolinaire "Les exploits d'un jeune don juan", plus un autre mais en fait plusieurs en une semaine, par parties puisque certains je les avais déjà lu, j'ai lu Carnets du Trimard de London, relu Le peuple de l'abîme par parties, essayé un livre d'Helen Gestern, et oublié de le continuer, commencé aussi un livre d'Amelie Lucas-Gary, je ne me souviens pas plus, j'ai tenté de lire plusieurs livres de Valere Novarrina, et ce fut éprouvant tellement c'est verbeux pompeux dégoûtant imbus d'eux-mêmes, j'ai essayé de lire le livre de Neige Sinno et j'ai compris que je n'ai rien à voir avec ceux qui aiment ce genre de bouquins, (...), j'ai lu Jardins et autres récits de Jaroslaw Iwaszkiewicz, plus exactement j'ai lu une nouvelle du livre, je la cherchais et voulais la lire par rapport à un truc remarqué ailleurs, j'ai lu une ou deux nouvelles de Rudyard Kipling, par rapport à un autre truc, j'ai essayé Le dossier sauvage de Philippe Artières*, livre insignifiant, j'ai essayé La planète catholique de Jean-Robert Pitte, cela ne m'intéressait pas, je me suis dit que je lirai bien Le festin de Babette de Karen Blixen, j'ai essayé De superman au surhomme d'Umberto Ecco mais cela ne m'intéressait plus, sans que cela soit définitif, j'ai commandé un livre découvert sur C4 à l'époque du post mais qui était alors à un prix stratosphérique, (ce livre ), j'ai acheté et reçu un livre d'un photographe français Two Mountains de Julien Guinand, je crois que c'est un type bien, mais je ne trouve pas ses photos très réussies, j'ai acheté La vallée de la lune de Jack London, etc etc, bref je regarde un peu Le village de Shyamallan re-téléchargé hier, (pour finir avec ce film Veuillez nous excuser de la gêne occasionnée) et j'ajoute que les livres de Wilkie Collins, ce n'est absolument pas possible de les lire,

* je me demande si le passage qui le concerne n'est pas passé en privé, celui lorsque faisant une recherche sur l'expo Soulèvements de Didi-Huberman au Jeu de paume, me souvenant d'un texte ignoble et mesquin d'un type dans Libération à l'époque, je me rends compte que le texte est signé d'Artières que par ailleurs je ne connais pas, je découvre plus tard que ce type est partie prenante de La grand commande photo, etc etc, 


c'est très beau Fremont, et aussi très photographique, la fin est très très belle aussi, on est un peu dans le surcadrage, le film se regarde un peu trop, se rêve un peu trop, un peu trop chuchotement précieux, mais il est tout de même très beau,  film frère Ruby in paradise de Victor Nunez, (film beaucoup moins "précieux", film même pas du tout précieux,c'est à dire ne cherchant pas le beau cadrage etc), malgré tout le film (Fremont) est assez beau mais c'est aussi son problème  on se dit, ce côté bonbon,  une sorte de douceur un peu phobique, on est quand même assez loin de la dialectique  de Hal Hartley, c'est à dire lui ne cherchait pas à consoler, contrairement à Fremont dont je me dis tous les plans nous caressent, on ne peut pas retirer au film le fait que les acteurs sont très beaux, (contrairement à ceux de ce film horrible La fille d'Albino Rodrigue par exemple), mais je ne crois pas que ça soit du minimalisme, plutôt quelque chose qui a à voir avec la phobie, le refus du réel, de sa prétendue vulgarité, chez Hartley c'est casse-gueule, chaque plan est à l'equibre, c'est à dire ne s'est peut être pas cassé la gueule justement, je le dis mal (c'est une note rapide dans le métro ), un peu comme chez Mizoguchi on se dit, une fragilité de cristal 

- Jérôme Zonder* (...), le nouvel artiste préféré d'Art press, (après l'autre super gros merdeux Garouste) voilà ce qu'il déclarait en avril 2012 dans Libération évidemment "Dit autrement, cette génération a aussi été en lutte contre un certain type d'enseignement conceptuel aux Beaux-Arts : «On s'est fait cartonner la gueule comme il fallait. A Paris, on avait le Louvre en face, alors quand ils nous faisaient trop chier, on traversait la Seine et on allait voir du vrai travail.»" , (Zonder on te chie dans la bouche sinon) , 

* jamais compris ce qu'il y a d'intéressant chez ce type, (à part être une sorte de  révélateur de la médiocrité de la presse culturelle), 

- sublime By the law de Lev Koulechov, (téléchargé aujourd'hui sur Kg), 

- " Dans son film Irène, Alain Cavalier partait en quête du souvenir de sa femme disparue accidentellement en 1972, quelques années après leur mariage. Dans des chambres d'hôtels, des salles de bain, des appartements prêtés par des amis, ou dans la maison où il apprit la mort d’Irène, et à travers la lecture du journal qu'il rédigea les années précédant l'accident, il nous racontait son lien à cette femme et à cette histoire d'amour faite de colère, de malheur, de culpabilité autant que de sensualité et de joie. Comme toujours depuis La Rencontre, son film sorti en 1996, Alain Cavalier tournait cette histoire seul, avec une petite caméra numérique, et nous parlait, en même temps qu'il filmait. Lorsqu’on l’entend raconter ses films, on est toujours, par la grâce du son de sa voix, de sa mélodie singulière, immédiatement replongé dans leur univers. /.../  il racontait la création d’Irène.  

Pour filmer sa femme disparue il explique ses différentes tentatives et idées : 
    La vitalité du film c'est celle du cinéaste qui voyant revenir cette personne ancienne et la trouve exactement telle qu'elle est dans la vie, dans la vie qu'il a eu avec elle. Ses traits étaient vivants. J'ai essayé de l'incarner, de lui donner un corps, de filmer d'autres personnes, j'ai eu la tentation même de filmer des actrices, des comédiennes et puis de reconstituer des petits moments de la vie d'Irène. A chaque fois c'était un échec. Et à chaque fois je trouvais dans la vie des morceaux de vie qui me semblaient plus proches d'Irène plutôt que de prendre quelqu’un qui ne lui ressemblait pas qui ne pouvait pas être elle. 
Sur son projet de film avec Irène sur leur vie de couple, qu'il n'a pas réalisé car Irène est morte avant : 
    Ce film-là était simplement mes rapports avec Irène avec un cadreur et un ingénieur du son. Tout était prêt, elle était un tout petit peu angoissée et en même temps attirée par tout ça. Je pensais que cela nous ferait avancer, même si ça nous conduisait à la séparation. C'est à dire que c'était dangereux, et j'ai découvert plus tard en filmant moi-même que c'était dangereux de filmer et que c'est bien quand c'est dangereux."



- (j'ai retiré mon dernier mouvement d'humeur justement parce que c'était un mouvement d'humeur, et que les mouvements d'humeur blah blah blah ce n'est pas bien, mais je n'en pense pas moins), 

- je ne sais pas si c'est ma prochaine lecture mais c'est en théorie mon prochain achat, (en plus on le trouve à Rueil), La vallée de la lune de Jack London, pour un court résumé, 

- un des plus grands livres qui soit, , étrangement non traduit en france, jamais traduit d'ailleurs, curieusement plus imprimé du tout, (l'exemplaire est imprimé à la demande par Amazon), c'est dans ce livre que se trouve la phrase A rose is a rose is a rose, tirée du poème jamais traduit non plus Sacred Emily, page Wikipedia

- La soufrière de Werner Herzog,

- difficile de savoir si Et vive l'aspidistra d'Orwell est bon ou pas, s'il est laborieux ou si cela vient de la médiocrité du personnage, [ou] de la médiocrité de sa vie, roman trop naturaliste mais entre Dostoievski et Thomas Bernhard, roman gris, du gris sur gris, > monochrome du style, Thomas Bernhard transformera cette grisaille en ressassement, Orwell lui reste ton sur ton, 

sentiment mais je n'en sais pas grand chose (je n'ai pas beaucoup lu de ce genre de romans)  que le roman naturaliste décrivait la vie d'un ou plusieurs personnages, que c'était un regard extérieur, et au final distancié peut-être, et que chez Orwell, à partir de Dostoievski on passe au "je",  étrangement dans le roman d'Orwell il n'y a pas de "je", il s'agit de Gordon, pourquoi me dis-je ce sentiment de proximité, qu'est-ce qui fait que l'on se dit que le roman est à la première personne du singulier, 

De l’intérieur donc, revendicatif et/ou vindicatif, je ne sais pas si on peut dire de la compassion (du roman naturaliste) au vindicatif, 

ou de la compassion ou à fort sujet, 

(et on comprend aussi que Houllebecque n'a rien inventé, que son style vient bien de là, de là de ce type de romans naturalistes, de là et de Chiens perdus sans colliers donc), (ou Le petit chose de Vallès, (rajout), au mieux il vient de là), ces deux lignes qui me dégoûtent tant me dégoûte le type en question, lui évidemment n'est pas dans la compassion mais dans la phobie et le dégoût, comme tout écrivain de droite/d'extrême-droite d'ailleurs, 

- clip assez sublime de Faithless , celui-ci aussi est sublime, 

- alors que son expo à la galerie In situ est quelque chose d'assez peu réussi, et c'est un euphémisme, sentiment que ce qu'elle a fait pour Ruinart est quelque chose de très très beau, (même si je n'en ai vu que de vagues photos lointaines d'expositions cela dit), 

- trailer du film Law of the border

- "La contrefaçon est une tristesse du capitalisme" Camille Nevers in Libé , (c'est la phrase qui est belle, et sa signification ou ce qu'elle induit comme pensée, on s'en fout du capitalisme ou du reste),  c'est-à-dire la recomposition du mot tristesse, changer le sens d'un mot ce n'est pas gagné ni donné à tout le monde de pouvoir le faire, ou lui ajouter autant, 

- j'avais oublié de le poster ici,

- pages tournées du livre Provoke , (je cherche une photo qui m'a marqué au delà de tout), (pas retrouvée), 

- " Qu'est-ce qui a mené le génie de Wilkie à sa perte? Certains démons murmuraient "Wilkie  a une mission", (attribuée à Swinburne),  (), 

- texte wikipedia sur l'armée de Jacob Coxey

- Landscape manuel de Jeff Wall , pas trouvé mieux pour l'instant comme version, 

- Sublime photo de Dorothea Lange , (une photo que bien évidement jamais Philippe* Artières** ne comprendra), et probablement la seule photo intéressante de l’expo Corps à corps à Beaubourg, 
* ce thermidorien comme dirait Badiou, 
** essayé de lire un livre du  type que j’avais téléchargé sur  internet, abandonné très vite tellement c’était mal écrit et sans intérêt, 


- j'ai mis en ligne  () la première partie de La région centrale de Michael Snow, la suite viendra plus tard, (faut que je la scinde car trop lourde et j'ai la flemme pour l'instant), 

- dans Gertrud c'est à peine perceptible mais il y a à un moment l'ombre d'une perche de son qui apparaît dans le champs et Dreyer choisit de  laisser cette ombre qui devient [alors] partie de la mise en scène on se dit,



pas mal de choses sur et de Godard , et sur quelques films des Gianikian, ce n'est pas de moi, je n'ai aucune idée de qui en est à l'origine, j'ai dû récupérer les liens à l'époque ou j'étais sur La loupe, 

Cinéastes de notre temps sur Dreyer


ce genre de photos qui explore(nt) toujours quelque chose, qui ont voulu expliquer etc etc "j'ai voulu documenter j'ai voulu expliquer, j'ai voulu explorer, j’ai voulu interroger", et ça donne toujours le même genre horrible de photos , où , à chaque fois que quelqu'un dit avoir voulu ça ou ça, on peut être certain je me dis de la nullité de la chose, 

dans Rio Grande de John Ford, lorsqu'elle entre dans la chambre de son mari ou ex-mari, l'émotion qu'elle ressent et ce geste de la main sur son ventre, c'est l'homme je me dis qui pour une fois est objet de désir, je ne sais pas si on peut aussi parler d'inaccessibilité, vulgairement le sexe est un souvenir lointain pour elle, et subitement quelque chose en elle se passe, elle se souvient d'une ancienne intimité, et elle regarde le monde intime de son mari, elle regarde ce qu'il fait lorsqu'elle n'est pas là on se dit, et pourtant elle regarde un endroit où il dort, on ne sait pas réellement ce qu'elle voit, ou ce qu'elle pense à ce moment là, nous savons qu'elle se souvient, bien entendu la question pourrait être aussi est-ce qu'à ce moment là elle manque de souffle, 




pause pipi 3 chez Ozu, , Ozu doit être le seul cinéaste où les personnages s'absentent pour aller aux toilettes, 

aujourd'hui (je dis aujourd'hui mais c'était samedi matin) l'aquarium d'Edith Dekyndt () était presque comme saturée de condensation, 




(une reproduction de chacun de ses carnets est/sont en vente sur Amazon )




une sorte de promenade dans un cimetière Philippin, , vidéo magnifique, 

n'ai pas encore lu Respire de Marielle Macé, j'y ai beaucoup pensé en terminant tout à l'heure Ordet de Dreyer que je n'avais pas revu depuis très longtemps et que j'avais regardé à l'époque plutôt par obligation qu'autre chose, film qui m'avait plutôt irrité, (je ne suis pas croyant du tout etc), est-ce que Macé dans son livre parle du film je ne sais pas, (je commence du coup à le feuilleter); par exemple lorsque le docteur arrive, il y a juste ce souffle d'Inger que l'on entends, juste un souffle, une respiration, comme une sorte de pulsar ou pulsation, juste une grosse seconde maximum, on s'attend à entrer nous-mêmes dans la chambre, on trouve alors cela un peu lourd, plus exactement on suppose que cela va être lourd, mais Dreyer fait cette chose hallucinante, d'une beauté inimaginable, il referme la porte derrière le mari et le docteur, nous restons alors au seuil de la chambre et le film d'ailleurs passe [presque] à autre chose, c'est à dire que la respiration, le souffle que l'on entend est comme un effet et de montage et une sorte d'abstraction, de soustraction, de fondu au noir, presque comme un nuage, puis ensuite vers la fin du film lorsqu'elle ouvre à nouveau les yeux, et lorsque on entend sa respiration à nouveau, 

La charge de La brigade légère dit par Tennyson lui-même, , à propos , et bien entendu la photo de Roger Fenton, , j'avais déjà mis tout ça en lien il y a deux ou trois ans ailleurs, j'ai repensé à cela hier en regardant ce film pas très bon tiré du livre de Stephen Crâne, 

l'expo Mike Kelley est très belle, celle de Lee Lozano aussi, celle de Fer Serra insignifiante, celle de Mira Shor aussi est très belle,  photos à venir, 

livre sublime , acheté déjà, 

ces lignes (sur KG) à propos du film de Dreyer Tva manniskor  qu'il considérait comme totalement raté " Le film est développé en seulement 73 minutes et ce qui attire mon attention est que tout le temps l'action se passe dans 4 murs. Peut-être deux décorés : Le salon des Lundell et la chambre à coucher. (...)  je suis surpris qu'un film comme celui-là soit un piège avec son intrigue, qui est simple mais qui en même temps implique des bords multiples et des relations secrètes. Ce que j'aime dans ce film, ce sont les longs plans que Dreyer fait des deux amants qui regardent devant eux et parlent de l'amour et de la mort. Ces longs plans se terminent par des baisers avec beaucoup d'amour et souvent des mouvements de caméra vers l'avant comme nous le verrons dans Ordet, où la caméra tourne autour des personnages et les enveloppe"... 






la fin totalement sublime du livre, l'acceptation de sa propre existence, cette transformation en elle du poids des choses [à faire] en ascèse [de vie], et de sainteté et de vie sans peurs, trop fatigué ce soir pour ajouter plus, 

l'hallucinante seconde partie d'Une fille de pasteur d'Orwell, (qui commence à la page 117), 

 suis en train de terminer Le banni de Selma Lagerlof, je le note ici parce que cette image en dessous et le livre sont assez proches d'une certaine façon, tout-au-moins dans mon esprit, je ne suis pas certain que le livre soit très très bon, il est plutôt comme un brouillon, très beau mais laborieux, mais ce côté presque à l’état de manuscrit c’est beau aussi, et comme une sorte de pensée pure, évidemment ça fait penser aux romans de Jack London mais je dirais presque curieusement à ceux qui sont ratés, 


image d'un romantisme absolu, (qui vient du film The Truman show) qui à elle seule valide totalement l'expo Soulèvements de Didi-Huberman et ridiculise définitivement Philippe Artières, et à propos des photos d'Anselm Kiefer*, lire ce texte ignoble d'Eric Michaud, () et l'on se dit que lorsque quelque chose dérange d'une manière ou d'une autre, esthétiquement, il y a toujours des gens comme Artières et Michaud en face, (des chiens de garde quoi), Didi-Huberman ajoutait la pensée et la poésie, chose insupportable pour Artières qui se sentait personnellement insulté par cela, 

*et comme beaucoup de gens sinon comme tout le monde,  je n'aime  pas du tout ce que fait Anselm Kiefer, 


(...)

À propos d'Helion, par Philippe Lançon,  " C'est dans Stalker que la trajectoire à la fois errante et désirante conduit trois v...