lundi 31 octobre 2022

(...)

 tiens Marcel Carné ... ( ), 

en fait non, Chiens perdus sans collier...

(...)

 

étrange que ceux qui ont fait cette vidéo plus qu'ignoble dont j'avais parlé ailleurs il y a peu, ( je reposterai  tous les anciens post ici, enfin plusieurs dans les prochains jours) puissent être capables, avoir été capables de faire cette photo si belle, pas le temps de faire le post en entier, la plupart de leurs photos sont nulles, quasi l'ensemble, s'en échappent trois ou quatre, dont celle-ci, je me dis je crois que ce sont des photos faites involontairement, accidentellement, mais faites quand même,  les photos réussies chez eux sont des photos sous contrainte je me dis, quand ils ne peuvent faire autrement, lorsqu'ils sont à peine responsables ( ou auteurs) de la photo, mais ne pas oublier non plus qu'une des plus belles photos d'alec Soth est à peine de lui, et peut-être que la photo on se dit, c'est aussi ça, accepter de ne quasi pas intervenir, laisser faire je ne sais quoi, pour cette photo je me dis, on sent on devine que c'est la nana qui a dirigé les choses, (que je me trompe éventuellement n'a aucune importance), on pourrait dire la chef dans cette photo c'était elle, 




dimanche 30 octobre 2022

(...)

 on est plus très loin d'Ange Leccia non? 

(...)

 Mr Stitch , ...

(...)

 le type le plus con de france , ... 

>> on comprends pourquoi, ( par quel raisonnement quoi) les écologistes s'en prennent systématiquement à la culture dans toutes les municipalités qu'ils dirigent, au fond ils ne sont pas mieux que l'extrême-droite on se dit, d'ailleurs il cite tranquillement une nana justement passée à l'extrême-droite, (celle qui s'est attaquée à un tableau de Velasquez)...    ( au moment même d'écrire le post je n'étais pas au courant du tweet de Sandrine Rousseau, rajout),      ils ne comprennent pas une chose, s'en prendre à l'art c'est s'en prendre à l'intimité...  ( même à travers une vitre, même en paroles etc)...




(...)


 

(...)

 sublime épisode 1 de The white Lotus, ( saison 1), qu'elle différence je me dis avec The ungoing, (série irregardable à part quelques séquences)...  étrangement un plan assez similaire mais absolument différent par rapport à un tas de trucs, j'en reparlerai)...


peut-être un peu trop de second degré mais bon...

je ne sais pas à qui cela me fait le plus penser, Richard Kelly, Roger Avary ? ( son dernier film ( Lucky day) dont je ne connaissais d'ailleurs pas l'existence est en ligne quelque part)... 

vendredi 28 octobre 2022

(...)

vidéo assez proche de l'art contemporain, le canon qui se confond avec le paysage, le tir contre ce même paysage quasiment, 


, ( ou pour la version sonore), 

jeudi 27 octobre 2022

(notes),

 je crois qu'on peut dire de The undoing que c'est poussif et attachant...

par exemple dans l'épisode 4 la "rencontre" des deux maris, qui est je sais pas si on peut utiliser le mot sublime, disons plus que surprenante  (juste après la séquence entre le grand-père et son petit-fils à propos du violon etc, séquence bidon), qui peut imaginer une séquence pareille, est-ce possible, a-t-on déjà vu ça ? 



(...)




...

 

(...),

oui voilà ça serait quoi un monument de gauche ? un monument qui interroge en même temps, en même temps qu'il ne commémore pas , ( et bien évidemment qui ne fait pas la leçon),  je ne sais pas,  je vois la photo et je me dis que oui nous n'avons que des monuments qui célèbrent,  et par exemple en ce qui concerne le cinéma Oliveira a fait "Non ou la vaine gloire de commander"... 


 

lundi 24 octobre 2022

(notes)

via un article du Monde sur un doc, je fais une recherche qui n'a pourtant rien à voir, je cherche l'article de Mac Orlan sur l'Allemagne avant-guerre, et je tombe sur ce post , je n'en pense rien...


un article à propos de l'article de Mac Orlan

(notes)

 mouah ah ah ! 



( notes)

 faut se calmer avec Patricia Mazuy je me dis, elle a fait en tout et pour tout un demi-film réussi, ( le plus ou moins lourdingue Travolta et moi)  le reste c'était juste de la merde, j'allais écrire j'ai juste de la tendresse pour la meuf, mais en fait non, je n'ai aucune tendresse pour la meuf, si on veut se faire chier avec classe, c'est le moment je me dis, si on veut voir quelque chose d'hallucinant aussi ( Travolta et moi) , le reste étant du naturalisme nombriliste france profonde spécial ploucs de merde... 

il y avait une boulangerie à côté de chez moi, tu te croyais dans le film, pochette vinyl de Grease en vitrine, boulangère genre 15 ans après, bref... 

tous ses films sont ratés, le dernier étant plus proche de la catastrophe qu'autre chose, enfin de la honte, 

le texte en question que je n'ai pas lu,  ( parce que bon)...  je ne sais pas pourquoi je dis le texte en question ...

Patricia Mazuy a eu ou inventé la plus belle expression qui soit sinon " ça me broute " ...




dimanche 23 octobre 2022

 https://twitter.com/am_misfit/status/1584262275254214656

( notes)

je ne sais plus d'où cela vient ...


 

( notes)

 La lune est levée on se dit que sa seule ambition est de faire un autre film d'Ozu, presque au sens addictif du mot, quelques détails qui diffèrent, des gestes plus longs, des acteurs plus rapides, moins hiératiques que chez Ozu ( ou vers la fin du film la nana qui pleure, je ne me souviens pas de larmes chez Ozu, ni de [certains] plans moyens comme on en voyait dans le film, rajout, ni qu'un type dise à une fille de partir, j'allais dire tout au moins pas de cette façon là mais il n'y a je crois quand même pas d'exemple), la nana qui retire ses bas, ce qu'Ozu jamais n'aurait pensé à filmer non plus, ( pas certain) puis lorsqu'elle aide l'autre fille ( Ayako) à se déshabiller ou changer, il n'y a pas d'érotisme là dedans, juste quelque chose de plus quotidien, ajouter encore presque de la banalité peut-être, ambition pas aboutie car trop naturaliste, du naturalisme par maladresse, non voulu, presque un naturalisme involontaire par soucis de modernisme,

ce qui est beau ou touchant est le décalque, ce n'est pas seulement une sorte d'autre film d'Ozu, ça l'est presque inévitablement et sans que l'on en sache la raison, ( qu'est-ce qui fait qu'elle fait un film d'Ozu), ce qui est beau ou touchant est aussi le décalage, presque la transparence, au sens transparence d'une matière, le décalage dans la superposition, et tant le film au fond est aussi une sorte de couche sur une autre, une sorte de tremblement,

espièglerie comprise, il y a les acteurs d'Ozu, il y a l'espièglerie d'Ozu ou sa tendresse,
mais chez Ozu ce n'est jamais un mélodrame naturaliste, il ne s'arrête jamais à ça, c'est toujours autre chose la finalité n'est jamais le mélodrame, au sens résolution, chez lui le film ne s'arrête pas à la résolution de l'intrigue, je ne sais pas si je le dis bien, par exemple et pour prendre l'exemple d'un film même assez raté Le goût du riz au thé vert, est-ce que le film se termine à la résolution du problème de couple? , (je dis résolution du problème de couple car je ne me souviens plus des derniers plans), ( il me semble qu'ils sont tous les deux dans la cuisine), ou chez lui la résolution finale du film n'est pas la somme de l'intrigue, ( je referai la phrase),

(...)

« Warhol peint une réalité d’où a été exclue toute notion d’identité. » pour cette phrase cela rejoint ce que je me disais par rapport au ro...