mardi 28 février 2023
dimanche 26 février 2023
mardi 21 février 2023
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journal, brouillon, une photo plasticienne je me dis, c'est la forme qui fait penser, qui détermine l'ensemble, (l'objet étant le prétexte à la pensée*), une photo naturaliste ou documentaire, c'est le sujet ou l'objet photographié [qui détermine les choses], c'est une définition comme une autre je me dis mais je crois assez exacte, et pas un jugement de valeur, il peut y avoir des glissements mais ça reste toujours très net, le truc c'est alors de mettre le plus de pensée dans cette forme naturaliste je me dis, etc etc, (pensée au sens poésie etc si on veut), je dis pensée je ne dis pas contenu, comme je dis forme pour la photographie plasticienne, chose qui est différente du cadre, qui lui, appartient à la photo documentaire, (en gros),
(et bien évidemment que mes photos sont naturalistes ou au mieux à tendance documentaire),
se demander si l'on ne devrait pas reprendre ce mot de photo conceptuelle
question: Sophie Calle est-elle une photographe conceptuelle ou plasticienne, ( je dirai plasticienne ), et Larry Clarck ? ( je dirai aussi photographie plasticienne, mais avec une légère tendance naturaliste),
- * Ed Ruscha n'a jamais voulu documenter quoi que ce soit je me dis, c'était la répétition ou l'accumulation d'un truc absolument banal qui créait un paysage par contrecoup ou une réalité etc, sans que la volonté soit celle-ci, on était plus proche chez lui de Niele Toroni que de Walker Evans, ( on ne se souvient par exemple d'aucune station service en particulier, on se souvient de la répétition de celles-ci, et dans notre imaginaire ou souvenir, l'ensemble aboutit à une idée unique d'une station service, l'ensemble ne forme qu'un seul paysage), l'idée d'Ed Ruscha est de ne pas s'attarder etc on se dit... C'est la répétition qui crée paradoxalement une image unique, presque virtuelle ou mentale, iconique, l'ensemble la répétition forme une idée, (en étant dès l'origine une idée aussi),
>> La définition originale de la photographie plasticienne était de tout façon biaisée dès le début, Dominique Baqué confondant disons photographie culturelle au sens film d'art Pathé du début du siècle et la photographie plasticienne au sens Ed Ruscha qui aurait dû être disons définie, se demander jusqu'à quel point elle voulait apposer de la culture à la photo, son propos était au fond je me dis, de défendre l'idée d'une photo d'art; je me dis il ne faudrait pas dire photo plasticienne mais photo d'art, ou comme ils disent photographie d'auteur ...
note: ça peut paraitre une évidence mais cela ne l'est pas tant que ça, lorsque l'on voit le révisionnisme accolé au terme Plasticien, ( Éric Tabucchi s'affirmant plasticien alors qu'il est juste possesseur d'un appareil-photo)... ( >> je n'arrive pas à l'assimiler au courant documentaire puisque cela n'en est quasiment pas, ni naturaliste puisque qu'il n'a aucune préoccupation réelle), ( escroc serait au fond plus proche de ce que je pense), ( même si je le pense honnête mais comme on dit un honnête bourgeois genre Edouard Lestingois) , disons photographe de mauvaises cartes postales régionalistes, (mauvaises cartes postales parce que bon, j'en ai des centaines et des centaines absolument sublimes, et aucune photo de lui n'est digne ne serait-ce que de la plus mauvaise de ma collection)... (et lui, c'est pour ainsi dire un des meilleurs photographes français) ... disons l'anecdotisme du paysage, sa répétition, ne fait pas un paysage, ne fait pas [ photographie] plasticienne, le sujet de Tabucchi c'est l'anecdote, le pas banal, le rigolo, le bizarre, je me dis, une anecdote n'est pas une pensée, tu peux en ajouter autant que tu veux, ça n'en fera jamais une pensée, la seule pensée qu'il y a dans chacune de ses photos c'est le rigolo, l'anomalie, mais je me dis, une anomalie sans qu'on en pense quoi que ce soit, ( autre que de la recenser) ou autre chose, est justement une anecdote,
Par exemple cette photo ( qui n'est pas de Tabucchi mais d'un représentant renommé de la photo française) qu'est-ce qu'elle dit je me dis ? Où est la pensée là-dedans et où la pensée esthétique? À qui s'adresse-t-elle ? Si on dit elle s'adresse un public cultivé cela veut dire qu'il n'y a pas de pensée je me dis, il s'agit évidemment juste d'un clin d'œil destiné au même monde que soit, quasi un signe de reconnaissance, je me dis la bourgeoisie culturelle pense que la connivence fait monde, mais la connivence n'a jamais fait monde, ne fais pas le monde, ça crée juste à ce public cultivé, un sentiment de plaisir, photo qui nie le réel on se dit, ( pareil chez Tabuchi évidemment) , ce sont des photographes s'affirmant documentaristes etc et qui pourtant sont totalement dans la négation du monde réel, dans le révisionnisme ,
j'ai eu vaguement ce genre de discussion ( sur la forme) dimanche à propos du livre d'une amie acheté samedi, forme absolument parfaite mais au fond scolaire et du coup je me suis dit suspecte car écrasante, scolaire car elle se contente de répéter quelque chose, comme dirait Pierre L, une copie carbone, formellement carbonée si on peut dire, et je me suis dit il y a une sorte de volonté je ne sais pas si on peut dire hégémonique, au sens le style était l'application, l'affirmation de son génie, la forme disait cela, mais ne disait rien de plus, dès quasi la première ligne, mise en avant de sa connaissance des mots anciens et étrangers, genre je te mets un mot Grec entre parenthèse etc, (pas Grec mais l'idée est là) livre absolument vide ou vain, forme expérimentale historiquement datée, ( genre Maurice Roche etc), donc avant-garde d'il y a 50 ans, c'est alors disons sa reconduction carbone qui en fait un truc hégémonique, note: reprendre une forme pour ce qu'elle est ou fût, pour son aura,
c'est pour ça que je déteste ce mot Œuvres, Mes œuvres etc, cette affirmation sans contradiction que ce que l'on fait est de l'art (et est de l'art qui compte)...
rien à voir quoique, le film réalisé à la villa Médicis racontant une histoire d'amour se passant à la villa Médicis etc, zut je ne sais plus le titre, (L'indomptée), de Caroline Deruas, pornographie absolue ...
>> "Axèle et Camille ont été sélectionnées pour être résidentes pendant un an à la villa Médicis à Rome. Axèle est photographe et Camille écrit, comme son mari. Celui-ci, écrivain déjà reconnu, l'accompagne ainsi que leur fille. Axèle est seule et se laisse séduire par Pierre, venu lui aussi en famille. Parallèlement, Camille se lie à Axèle qui l'a encouragée lorsqu'elles se sont croisées lors de la sélection devant le jury. Axèle se lie aussi d'amitié avec Carlo, un des plus vieux employés de la villa ; elle lui raconte les visions qu'elle a lors de ses déambulations dans les lieux, palais ou jardins. C'est là qu'elle trouve son inspiration pour les photos qu'elle prend et qui seront exposées en fin de résidence. Camille, elle, essaie d'écrire une biographie de Lucienne Heuvelmans, première femme à avoir été admise, en 1912, à la villa Médicis"...
samedi 18 février 2023
mercredi 15 février 2023
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journal, brouillon, pas encore lu, (là) , je m'étais dit je ne sais plus quand il y a quelques semaines que l'avant-garde, l'idée-même d'avant-garde avait complètement disparu, que c'était autre chose, que l'avant-garde de toute façon n'était [peut-être] même plus désirée, en tout cas que ça n'intéressait plus personne, avant-garde au sens fouteurs de merde ou radicalité réelle, je me demande si je dois employer ce mot d'ailleurs, mais il bien entendu que je parle d'esthétisme, je recherchais ce numéro d'Art-press que je n'avais jamais lu, bref, tout à l'heure je me disais qu'en photo il faudrait pour faire quelque chose d'une vraie radicalité, quelque chose de réellement inconcevable*, je me suis dit il faudrait quelque chose qui agresse véritablement les gens, ( qui au moins les dépasse), réellement, une sorte de crachat à la gueule, je reviens sur le terme de terrorisme ou d'attentat que j'emploie souvent, il faudrait réellement pouvoir créer une sorte d'attentat je me disais, évidemment attentat n'est pas provocation, et n'est évidemment pas la cochoncetée "marrante" à la Godin et ses attentats pâtissiers poujadiste, ( je ne comprends pas qu'il ne soit pas allé en taule pour agression d'ailleurs, comment peut-on agresser physiquement quelqu'un et l'humilier sans qu'il y ait de conséquences), une vraie radicalité je me dis je ne sais pas [ ce que ça pourrait être] je veux dire qu'est-ce qui ferait radicalité et avant-garde, je ne sais pas, d'ailleurs je me dis, est-ce quelque chose de si intéressant que ça, je veux dire doit-on vouloir être radical ? au sens choquer, je me dis il faut préférer le mot agresser, gêner, j'avais déjà écrit que même la douceur pouvait être un attentat, ( et on en revient toujours à cette photo de Y L), il ne s'agit pas de ça, de douceur aujourd'hui, pour ce post, je parle quasiment de réelle violence esthétique, ( mais pas d'un truc style actionnistes Viennois adapté à la photo etc), je me dis je parle d'un truc indépendant de la culture, en même temps je me dis je me souviens d'une réaction outragée d'une journaliste culturelle ( et de gauche soit-disant) ( de gauche tant que cela ne remet pas en question ou choque sa sensibilité de droite quoi) face à un spectacle de je ne sais plus qui, (un chorégraphe Belge, celui accusé de je ne sais plus quoi), (Jan Fabre), mais je me dis, au fond ça restait un dialogue entre lui et son public, je me dis mais peut-on inventer quelque chose sans public, tout au moins sans volonté de dialogue, ( je pense à Thomas Bernhard), je me dis, ce n'était pas un ermite non plus, il faisait bien parti de ce milieu, comme Jan Fabre, je me dis qu'est-ce qui ne fait pas culture, est-ce que l'avant-garde le modernisme etc c'est révulser à tout prix ? en même temps je tiens au mot attentat, au minimum je me dis, qu'est-ce qui attente à ces gens, qu'est-ce qui les dérangerait profondément, comment faire pour que ça ne soit pas un objet de fantasme, ( puisque de toute façon la bourgeoisie culturelle fantasme sur tout ce qui est minoritaire),
* j'ai pensé assez vite à Mohamed Bourouissa, en me disant que d'une certaine façon il avait réussi cette radicalité puis je me suis dit ce qui est fou c'est que ça a eu du succès immédiatement et qu'il n'avait même pas eu le temps d'être d'avant-garde, qu'en gros il n'avait même pas eu le temps de déranger, ( en gros)
note: c'est aussi pour ça que j'apprécie d'une certaine façon la photo de Serralongue avec les alters souriants béatement, parce qu'elle me choque profondément, qu'elle me déstabilise, je n'aime pas cette photo mais j'apprécie qu'elle m'agresse,
note: il serait intéressant de voir ce qu'ils aiment ceux de la bourgeoisie cultivée lorsqu'ils citent Thomas Bernhard, aiment-ils La cave, Les mange-pas-cher ou aiment-ils justes certaines pièces de théâtre ? ( déjà lire un roman de Bernhard leur réclamerait un effort), ils aiment l'aura de Bernhard, comme maintenant on aime les Straub, je me dis c'est la même chose que les gens qui "relisent" Proust...
note: on remarquera que le seul lieu qui montre de l'art contemporain à Paris est la fondation Pinault à la bourse du commerce, fondation d'un milliardaire, et pas le Palais de Tokyo ni Beaubourg ( une expo Garouste non mais allô quoi)... Beaubourg dont la salle d'expo permanente serait plutôt proche d'une sorte de musée des croutes qu'autre chose, une sorte de musée de seconds couteaux ou de suiveurs, ( pour le reste bon, l'expo horrible et soporifique de Penone etc)...
note: se demander jusque où c'est de l'art décoratif ... c'est à dire destiné(e) effectivement à décorer...
note : "l’exposition est devenue un segment de la pédagogie"... ( l'expo Cyprien Gaillard au Palais de Tokyo )... ( et je ne sais plus comment elle s'appelle l'autre à base d'écologie)
à suivre ...
mardi 14 février 2023
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le plus beau compte Youtube du moment là ...
suis totalement fasciné par cette vidéo là ... ( là pour une version dévergondée disons, et là pour un autre angle de cette même scène et encore là ), là et là aussi, et là ainsi que là à l'occasion je posterai d'autres liens de mariages orthodoxes (la flemme ce soir)... là par exemple rajout du 28 06
là pour la tendresse sublime
pour les nostalgiques ou les fans de Schtisel là ... et là ce qu'ils n'ont pas osé dans la série
samedi 11 février 2023
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les monstres de l'épisode 5 fallait oser, ( The last of us), ce virage quasi vers la série b (sinon z), et lorsque la gosse badigeonne la plaie de l'autre de son propre sang pour le guérir,
vendredi 10 février 2023
jeudi 9 février 2023
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>> le truc dans The last of us est qu'ils sont à la recherche désespérée d'une batterie d'auto, genre pour faire fonctionner la leur d'auto, mais il y a combien de voitures dans la séquence là ? Parce non seulement ils ne se précipitent pas pour tenter d'en récupérer une, mais ils ne les regardent même pas... bref ... La réponse pourrait être mais ils savent pertinemment que chaque batterie a été retirée de chacune des autos, ( je ne suis pas certain que je crois à cela)...
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ancien post Facebook du 26 mars 2021
- Par rapport à Alec Soth dans un post plus bas, je cherchais, je ne trouvais plus l'origine de sa photo avec le bodybuilder, peut-être l'ai-je retrouvée, une photo de John Myers... Pour le coup je trouve la photo de Soth beaucoup plus belle etc ... (normalement il y a encore deux post environ sur les remakes de Soth)... photos en double la famille en rang qui vient de la photo de Milton Rogovin, celle d'une femme assise sur le pas de sa porte qui vient aussi d'une photo de Rogovin, celle d'une femme dans un bar, j'avais trouvé l'originale mais ne m'en souviens plus ni ne sais si j'en ai fait un post etc), évidemment je ne parle absolument pas de plagiat, il s'agit bien de reprise, pas vraiment de remake, il y avait aussi la photo des types avec leurs poissons séchés et accrochés sur une barre,
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ancien post Facebook du 12 avril 2022
- La première photo est de Robert Frank, la seconde d'Alec Soth, j'ai fait plusieurs fois des posts sur les emprunts ou hommages cachés de Soth aux autres photos, là c'est très direct, [presque] gênant même, et c'est intéressant car on se demande aussi ce qu'il voit, ce que nous voyons aussi, lui ne regarde rien, ne voit rien, il reproduit un cadre, on se dit il aurait pu au moins supprimer un des deux rideaux, et peut-être qu'il aurait regardé quelque chose, là le dehors est juste une partie de l'image, un fond, un fond d'image comme on dit un fond de verre ou de bouteille, chez Frank c'est la tristesse, la solitude, des deux côtés de la vitre, et à 80% ( non même totalement) c'est le dehors que regarde Frank, qu'il photographie, il est saisi parce ce qu'il voit, et ce saisissement il l'indique peut-être de façon involontaire en photographiant les rideaux,
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ancien post Facebook du 24 mai 2021
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ancien post Facebook du 5 octobre 2020
- L'autre jour je parlais de remake à propos de livres, que je ne connaissais pas d'exemple(s), en photo je peux citer ça, celle originale d'auguste Sanders, l'autre en rouge de Wolfgang Tillmans et la dernière marron d'Alec Soth, Soth je peux identifier environ 10 photos de lui qui sont des remakes, c'est le seul cas que je connaisse, où c’est quasi systématique je ne sais si cela est volontaire de la part de Tillmans, ça devait être plutôt un truc d'aubaine, je ne sais si c'est une photo personnelle ou publicitaire, pour Soth je suis certain du remake ou de la reprise. John Myers s'appuie sur Sanders et c'est sublime... Soth et Myers ne font pas le même genre de remake, Myers dans un imaginaire presque romantique, dans une rêverie, quasi guerrière, le remake entre autre lui sert à ajouter de l’âme, ( en gros)
ancien post Facebook du 27 janvier 2022
Je remonte ça pour une autre raison que le post original, ou en partie, je crois que je parlais à la fin de ce post, et dans un autre il me semble du hors-champs de ces trois photos, que chez Soth c’était un échec parce que le hors-champs chez lui n’existait pas dans cette photo, et de manière générale n’existe jamais chez lui, c’est en partie faux, mais le hors-champs n’existe chez lui que contraint, involontaire, curieusement ses photos sont moins des échecs que celles d’un autre photographe qui lui est ou qui lui fût bien supérieur, (Charles Freger), fût parce que l’un comme l’autre ne font plus de choses intéressantes, chez Soth en employant les grands mots le monde est un décor, une toile peinte, Freger se concentre tellement sur ses sujets que quelque chose ne fonctionne plus, il refuse tellement la distraction que la photo comme s'anule, je parle des séries de Freger que j'aime beaucoup, chez Soth le décor est toujours chargée de vendre la photo, Freger est dans le refus total de ça, et c'est Soth qui au final, paradoxalement, arrive à faire que certaines de ses photos nous touchent, avec Freger nous restons à distance, presque pas concernés, nous sommes presque des passants,
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- Rilke, sur le paysage: "Personne encore n’a peint un paysage qui soit complètement paysage et qui soit pourtant confession et voix personnelle comme cette profondeur qui s’ouvre derrière la Mona Lisa. Comme si tout ce qui est humain était contenu dans son image infiniment silencieuse et comme si tout le reste, tout ce qui est devant l’homme et ce qui le dépasse, était contenu dans ce rapport mystérieux de montagnes, d’arbres, de ponts, de ciels et d’eau. Ce paysage n’est pas l’image d’une impression, il n’est pas l’opinion d’un homme sur des choses immobiles ; il est nature en devenir, monde en gestation, aussi étranger à l’homme qu’une forêt inconnue sur une île déserte. Et il fallait regarder le paysage comme une chose perdue et sans amour, qui s’accomplit tout entière en elle-même, afin qu’il pût servir un jour de moyen et de point de départ à un art autonome."
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ancien post Facebook du premier mai 2022
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ancien post Facebook du 27 janvier 2022
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« Warhol peint une réalité d’où a été exclue toute notion d’identité. » pour cette phrase cela rejoint ce que je me disais par rapport au ro...