2/2, Soth/Rogovin, il y en a d'autres exemple mais je suis moins certain, c'est plus diffus,
jeudi 29 juin 2023
mercredi 28 juin 2023
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1/2 , en faisant du classement dans les posts je me rends compte que je parlais de ces deux photo sans en avoir retrouvé le post originel dans Facebook, la première photo est de Milton Rogovin et la seconde d'Alec Soth, (le post datait du 12 avril 2011), reste donc à retrouver cette photo de Milton Rogovin, plutôt ces deux photos je crois, avec la famille endimanchée, je me demande par ailleurs s'il n'y a pas un autre photographe avec une photo comme ça, genre Walker Evans, à moins que ce ne soit un photographe moins connu,
bien entendu chez Soth il ne s'agit jamais de plagiat,
>> ajout, il ne reformule pas non plus, il s'agit vraiment d'un remake ou d'une sorte de songerie, de voir peut-être comment c'était, je crois avoir lu un jour qu'il parlait de fiction pour ses photos, que c'était important pour lui ça , je me dis il s'agit de fictionnaliser les photos par exemple, et de Rogovin et des autres photographes, peut-être d'en donner une nouvelle interprétation, au sens musical, si tant est que cela soit possible, (on ne peut pas il me semble donner une nouvelle interprétation d'une photo, on peut le faire du réel par contre, même si ce réel n'existe que par la photo prise), ( etc etc), et puis finalement si, Soth le fait, il arrive à donner une nouvelle interprétation d'une photo il me semble, (voir en 2/2),
la photo de Soth est quand même très ratée on se dit,
il y a aussi la photo de la nana dans un bar sans me souvenir de qui elle était, dont Soth a aussi fait un remake,
samedi 24 juin 2023
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je parle des photos en dessous, journal, retrouvé ça en recherchant autre chose, (je ne me souvenais plus du nom d'une influenceuse mode que j'avais bien aimé à une époque, des photos Bressoniennes ), (puis c'est comme si elle avait changé de photographe et c'était devenu assez banal), bref ces photos du gars ça a été un des plus grands traumatisme qui soit ce truc, ( au delà de l'expo plus que catastrophique Les vies qu'on mène cette sorte d'affirmation de la haine poujadiste absolue et du peuple et du réel et de la photo et de l'intelligence) le mec (Jérôme Sessini) a eu deux ans pour faire ou rendre ça, je veux dire il a eu une bourse sur deux ans (et une somme conséquente on imagine) et au bout de deux ans il a rendu ça, genre 5 mn de boulot (sur deux années hein) (au début j'avais cru une année pour apprendre que non, c'était deux années), le pire eux s'en servent pour faire leur communication, le pire à nouveau, pour La grande commande photo ils le reprennent aussitôt, (et hop à nouveau 22 000 euros dans les poches de l'escroc), et je crois qu'il est le seul (ou un des seuls) à n'avoir rien rendu, il faudrait vérifier s'il a rendu quelque chose maintenant, je ne suis pas allé sur leur site depuis plusieurs mois, (il y a 2000 photo et même pas 20 qui soient vaguement intéressantes), on cherche vainement le moindre investissement intellectuel dans les photos*, ça n'arrive jamais, le truc le plus intéressant est peut-être la série de Mathias Zwick là , on ne sait pas si c'est un complet foutage de gueule genre un truc totalement narcissique le mec qui se rêve en artiste, ou un truc genre critique machin de retourner la commande, comme on dit retourner une peau, genre peau de banane etc, et genre aussi c'est même pas le hors-champs de la photo presque, non en fait j'avais été trop rapide, c'était les photos du journal de bord, plus bas il y a les 10 photos du contrat, pas intéressantes du tout par ailleurs, ça aurait été plus intéressant ses photos du journal de bord finalement,
je n'aime pas les photos de Sarah Ritter (là) mais je peux reconnaître quelque chose, (et il y a une ou deux que je ne trouve pas si mauvaises) (mais bon photos disons Poivertiennes)...
exemple de la nullité absolue du machin de la grande commande, là, lorsque tu arrives à ce point tu te dis que c'est sans retour, sur les 200 photographes, environ 190 sont de cet ordre esthétique... ce n'est même plus de l'ordre de l'accident industriel comme avec Les vies qu'on mène, c'est de l'ordre d'une honte absolue, du suicide collectif, tu te dis lorsque tu arrives à ce point d'inculture, d'acculturation plutôt, (lorsque je parlais des photographes français comme des analphabètes ou des neu- neus, le stade critique est largement dépassé) je ne sais pas, (je mets réellement au défi quiconque de me trouver une seule bonne photo de la grande commande), c'est bien simple, on dirait un club photo de quartier, esthétiquement ça ne va pas plus loin...
( pour Sessini) il a rendu ça ... disons deux jours de boulot tranquille ... ( moi je dirai plutôt deux heures de promenade )…
* je ne me souviens réellement d’aucune photo où j’ai pu être surpris ou quoi que ce soit qui aurait à voir avec l’intelligence ou disons une quelconque création intellectuelle, il y a deux ou trois photos qui m’ont surpris comme celles de Sarah Riter, mais il me semble que ses photos doivent plus à une sorte de culture scolaire, quelque chose au fond de presque académique, c’est l’intérêt du livre de Poivert on se dit, est visible le nouvel académisme ou conformisme, il invente le conformisme même on se dit, ou le rassemble, ce que tu ne voyais pas devient évident, (son dernier livre sur la nouvelle photo expérimentale), ("Contre culture dans la photographie") se demander par exemple si cette façon de faire, cette photographie expérimentale, contre-culturelle ne date pas d'un siècle, qu'on aime ou pas les photos qui sont dans le livre, une "contre-culture" omniprésente par exemple dans les institutions, ( ce qui en fait un non sens), une contre-culture officielle quoi, Poivert tu te dis invente la contre-culture institutionnelle, tu ne peux pas faire ou être de la contre-culture je me dis, et être en même temps aimé dorloté par les institutions, c'est un peu étrange, ce que je dis peut-être aussi très injuste et même peut-être totalement faux je me dis, mais je me dis, ces photos, est-ce réellement de la contre-culture, est-ce du savoir, au sens savoir historique ou scolaire, au sens nous avons reçu un enseignement historique et intellectuel de qualité, nous produisons donc des photos en rapport avec ce savoir et cet enseignement, ces photos sont par ailleurs d'un bon goût absolu, (tu vois pas un poil de bite dépasser quoi), (je veux dire par là que tout est évacué et rien ne heurtera quiconque), se souvenir de la phrase totalement réac et malvenue de Xavier Veilhan sur la petite couture, et se demander jusque où ça n'est pas de la petite couture cet art officiel de la contre-culture, cette façon approbative de faire de la culture, jusque où un événement je me dis est-il institutionnalisé je pense (rapidement) au(x) repas de Michel Journiac, ou si je reprends le livre de Poivert, à la manifestation subventionnée par le Cnap de La manifestation des images de monsieur Prout, comment tu peux "manifester" et avoir demander une subvention pour cela on se dit, (ce qui donne donc genre "sans subvention(s) je manifeste pas"), comment tous les travaux sur la photo ne sont pas la manifestation (au sens visibilité) du ministère de la culture, (au sens large), leur émanation, se demander y-a-t-il contre-culture ou est-ce une sorte de discours intégrée, plaquée, sagement cousue, est-ce qu'une seule des photo retenue par Poivert va-t-elle trop loin je me dis, (au-delà je parle pour moi de mon goût personnel), si je reprends l'exemple des photos pour la grande commande de Sarah Ritter, je peux dire que certaines photos me plaisent, mais ne semblent que séduisantes, et émaner directement d'un savoir universitaire ou scolaire, d'une sorte de conformisme Poivertient, elle reproduit quelque chose et ne va pas plus loin, ce sont par ailleurs des photos, un esthétisme omniprésent, je me dis tout le monde maintenant travaille sur les vieilles photos, tout le monde semble avoir appris la même façon de faire par ailleurs, je peux dire cela aussi parce qu'il ya beaucoup de gens que j'aime bien dans le livre de Poivert, je peux donc être injuste presque, (éventuellement), si je prends l'exemple de Thibault Brunet, dont je ne sais s'il est dans le livre de Poivert ou non, (je ne m'en souviens plus et je n'ai pas le livre avec moi chez moi), ne peut-on pas dire qu'au final ce n'est pas de la petite couture ? Et à partir de quand on y échappe alors ? Je prends en exemple Thibault Brunet parce que justement j'aime beaucoup son travail, si je prends un autre exemple et par exempleMarina Gadonneix, jusque où savons-nous que notre travail sera aimé des institutions je me dis ? Est-ce par ailleurs une question intéressante, je prends aussi bien entendu en exemple Marina Gadonneix puisque j'aime beaucoup son travail et que justement d'une certaine manière je ne vois pas l'interêt en ce qui la concerne de poser ce genre de question, et pareil avec Thibault Brunet,
mardi 20 juin 2023
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je ne me souviens plus si j'ai déjà parlé de cette brioche Japonaise, (là), la flemme de vérifier,
je ne sais toujours pas si cette vidéo là est proche de l'art contemporain ou non, c'est une sorte de dj-set, de transe absolue, on peut le voir aussi différemment, et presque comme une fiction même ,
Mala Ancient Memories là, lien vers son compte Bandcamp là , (via The bug), absolument sublime on se dit,
texte sur L'île du docteur Moreau là, la bande-annonce là ,
au moment d'acheter très cher le livre de Virilio Bunker archéologie, je le trouve en pdf sur mon disque Google drive,
Cette histoire sublime de calques chez Tristan Garcia, et photo de la note 1 du livre 1 de Nous:
trailer de Smooth talk là , un extrait là...
qu'est-ce qui fait que les photos de Juliette Agnel sont seulement hyper séduisantes mais d'une pauvreté intellectuelle absolue je me dis, pourquoi ne sont-elles que décoratives, pourquoi ça ne va pas plus loin qu’un poster? Pourquoi elles sont si vaines ses photos? Démonstratives de leur propre beauté démarcheuses presque d'elle-même? Contrairement à celles d'un type (ou d'une nana) que je ne connais absolument pas, même de nom, et dont je découvre le livre Bharat Sikka ? dont à chaque photo je me dis c'est exactement ce que je déteste et que j'aime là même pas ou presque malgré moi, puis je tombe plus tard dans la journée sur un article à propos de Man Ray et je me dis que c'est exactement le même genre de bidouillage, en gros, qu'il y a la même évidence, du coup je me dis qu'il faudrait que je regarde un peu plus les photos de Man Ray qui m'était jusqu'alors plus ou moins indifférent,
là et là à propos du moulin de Senlis, par rapport à des souvenirs Facebook qui sont re apparues ces jours-ci, j'y avais fait des photos il y a dix ans environ,
pour la copie d'écran ce n'est pas très loin mais à priori inatteignable pour différentes raisons, j'avais déjà essayé, c'est assez dommage car il y a une sorte de plage paradisiaque tout à coté, (en fait deux ou plus),
les photos sont ce qu'elles sont (des photos de presse pas très bonnes) mais il est assez rare de voir des prolos photographiés ne serait qu'avec un gramme disons de bienveillance, et encore plus rare de déceler chez eux une trace d'intelligence, ces photos sont pour illustrer un article du dernier numéro du Monde magazine,
dimanche 18 juin 2023
mercredi 14 juin 2023
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bande-annonce de The great wall, là, (je me méfies), et To the moon, là , (j'avais raison de me méfier),
Hier je me rends compte que le dernier Sokurov (et accessoirement un film sublime) était sorti au cinéma le mois dernier, je me fais la réflexion de n’avoir vu aucun article de presse en parler, je cherche et en trouve plusieurs,
en dessous post à venir ,
lundi 12 juin 2023
samedi 10 juin 2023
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un autre clip de Tricky là , probablement un des plus beaux clip qui soient, on est vraiment dans l'art contemporain on se dit, vite dit dans une sorte d'équivalence à Bill Violla,
ce que la bourgeoisie veut, (et le monde de la culture c'est la bourgeoisie ne l'oublions pas) c'est exactement ça, des prolos qui ressemblent à des mongoliens (que la bourgeoisie soit un état enviable économiquement etc n'entre pas en compte ici, je parle de la guerre de classe et culturelle que celle-ci mène en continu contre les prolos, il n'y a jamais de bienveillance à en attendre, il n'y a jamais de bienveillance en œuvre),
mercredi 7 juin 2023
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dans Phasmes ce que dit Didi-Huberman sur l'invention du mot photographie, j'y repense curieusement en regardant un extrait de concert de Tricky, là ... je n'arrive pas à vraiment comprendre pourquoi j'associe les deux, enfin je n'arrive pas à le formuler, le devenir parchemin peut-être (entre-autre) de Tricky, rajout,
question, est-ce que Didi-Huberman je me dis, suppose que le type devienne du papier, que le type devienne fabrique du photosensible avec son propre corps, (il faut que je relise le passage), que le type se fabrique lui-même photosensible, qu'il veuille devenir une feuille, le devenir feuille du gars, il n'a plus qu'un interlocuteur, le soleil, le devenir photosensible du mec, là question alors et Didi-Huberman y répond si je me souviens bien, qu’y a-t-il à photographier , et Huberman donc je crois de dire la mémoire de sa propre mort , un truc comme ça,
je crois assez sublime clip de Tricky là , je me dis qu'il aurait pu être réalisé par Pierre Alferi, la chanson originale est de Jefferson Airplane (là) , enfin pas clip de Tricky, l'album est la plupart du temps attribuée à Tricky mais est en réalité de la chanteuse Marta, le mimétisme est tel que bon,
"Pendant deux ans, Herman Ellis Dyal (@hermandyal) a photographié l'intérieur de l'église de San Antonio, au Texas, qui était le centre de la vie de sa famille depuis les années 1940. Les photographies qui en résultent montrent une grande partie du bâtiment aujourd'hui inutilisé et constituent sa première monographie, "The Things Not Seen Are Eternal" (Les choses que l'on ne voit pas sont éternelles).
En 2021, alors qu'il passe devant l'église Riverside de San Antonio, Herman remarque une porte ouverte et entre dans l'édifice, où il n'avait pas mis les pieds depuis 50 ans. De l'extérieur, l'église semblait hors d'usage. Accueilli par le pasteur de longue date, Herman a appris que la grande église, qui avait été l'une des plus grandes et des plus dynamiques de la ville avec une congrégation de plus de 1 000 fidèles, s'était réduite à une douzaine de personnes, pour la plupart des personnes âgées, membres de longue date. La congrégation se réunit désormais dans un petit espace et dans de nombreuses salles et espaces qui ne sont plus utilisés, sans électricité et qui se détériorent lentement. Dyal a commencé à revenir régulièrement - le dimanche pour apprendre à connaître les fidèles et passer du temps avec eux - et en semaine pour documenter les nombreux espaces qui ne sont plus utilisés".
je ne pense pas que le livre soit très intéressant, euphémisme, là , (et je rappelle que je ne suis pas croyant), (en même temps c'est con de se justifier),
un lien street view de San Antonio au hasard là et là juste quelques mètres en arrière ....
vidéo assez sublime pendant les 13 premières minutes ensuite c'est une interview, là , trouvée là , (rencontre avec Richie Hawtin),
journal, brouillon, l'autre jour je parlais d'un extrait du livre (de Philippe Bazin) je disais "je rajoute un autre extrait à mon retour, extrait aussi très juste sur les "témoins", toujours par rapport à ce mot "monument", et qui rejoint au fond ou c'est moi qui l'associe comme ça à ce que je disais des photos de mode ou publicitaires, que je les aimais parce que les gens n'y faisaient pas pitié etc, au fond je me dis en écrivant cela, c'est ce que faisait déjà August Sander" , en fait il s'agissait du mot témoignage, je lisais cela juste quelques minutes avant mon départ et avais mal interprété le machin, chose pas plus importante que ça néanmoins, j'avais eu la tentation de citer le nom de plusieurs photographes Africains à la suite de Sanders mais en me disant qu'eux n'avaient pas pensé à faire quelque chose avec cela à l'époque, enfin que ce n'était en tout cas pas conscient, je m'étais dit que leurs photos n'avaient pas été pensées comme monument(s) au moment de leur prise de vue, les photos étaient devenues autres au fil du temps, pas certain non plus de cela je me dis, existait déjà une sorte de hiératisme, la volonté que chaque personne soit dans la grandeur, j'y reviens
Philipppe Bazin écrivait: " Le documentaire critique implique aussi de repenser la question du témoignage. La photographie, dans cette perspective, ne produit pas des documents inertes, mais des monuments qui portent en eux leur propre capacité de pensées et de constructions signifiantes. Les photographes ne sont pas les témoins d'une réalité du monde, au sens journalistique ou policier, leurs photographies ne sont pas des preuves appuyant un discours qui viendrait de l'extérieur, ( ...), le documentaire critique par son exigence renvoie le spectateur à son intelligence et non à sa culpabilité" , à un moment, pour parler de la série Empêchements, je me suis dit exactement où presque cela, que cela ne devait pas être on va dire un témoignage journalistique, cela devait être autre chose je me disais, et en gros je décidais alors de photographier des paysages, je ne sais pas si je m'explique bien, d'enlever toute trace de militantisme, d'enlever le social ou la pédagogie, de ne garder qu'autre chose, je pourrais ajouter ne garder que le paysage et le crachat, ce n’est pas pour autant que j’ai réussi cela dit, (j'y reviendrai à l'occasion),
lundi 5 juin 2023
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un film (assez court) sur James Benning là ...
c'est Plastikman et c'est sublime là et là ,
Ce que je disais un peu plus bas (et que je ressasse sans cesse depuis des années) ce que je disais plus bas donc sur mon amour de la publicité, deux pubs qui étaient dans mon fil d’actualité, personne en France n’est capable de faire de telles photos, personne même n’a envie de faire cela, (et aussi parce que personne intellectuellement n’est capable d'imaginer cela), (et que 100% des photographes français sont soit totalement analphabètes ou mongoliens), (et alors que ces photos ne pas non plus extraordinaires), on le voit dans la nullité absolue de La grande commande photo, ou de l’expo Les vies qu’on mène, en France je me dis, il faut avoir un regard bovin dans les photos, ce n’est pas une condition mais un résultat …
Évidemment on retranchera Clarisse Hahn Laura Henno Christophe Bourguedieu Yohanne Lamoulère et Bruno Serralongue , qu’on les aime ou pas, moi je ne sais pas si je les aime entièrement ceux que j'aime, j'aime une photo de Yohanne Lamoulère, le reste est très mauvais, je ne crois pas aimer vraiment une seule photo de Christophe Bourguedieu, mais je puis reconnaître certaines choses, de Laura Henno j'aime plus ou moins son premier livre, et je trouve belles ou séduisantes certaines autres photos, mais bon dans l'ensemble ça fait plus penser à Rosa Bonheur qu'autre chose on se dit, son truc dans le désert est assez bidon je me dis, (et ce qu'elle a fait pour La grand commande photo de la pure escroquerie en tout point de vue) ( disons qu'elle s'est fait payer des vacances), de Clarisse Hahn il y a une photo que je déteste, Bruno Serralongue j'ai déjà parlé de lui, mais ces gens qu'on les aime ou pas sont les seuls, je parle de photographes "portraitistes" évidemment,
samedi 3 juin 2023
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journal, brouillon, bien évidemment Kandinsky ou la religion on s'en bat un peu les couilles pour parler vulgairement, j'aime bien l'idée qu'un seul mot soit à l'origine de l'abstraction, qu'un seul mot transforme radicalement la peinture etc, remplace l'image du christ etc, j'imagine que c'est beaucoup plus complexe que ça mais pour le coup on s'en fout, ce n'est pas très important, (et évidemment M L n'est pas loin dans mon esprit), au moment où j'écris ça une nana passant à côté de moi et qui dit dit à une autre "mais bon ça va ça va" ( avec la même intonation que M L), le Nous orthodoxe est pour ainsi dire l'abstraction même, je ne trouve pas le mot que je cherche, je dis donc pour l'instant, la peinture alors ne cherche plus à nous raconter une histoire, elle est quelque chose, une sorte de présent, et peut-être la dimension n'est plus la même, elle ne représente plus le pouvoir je me dis, elle s'éloigne de l'oracle ou de quelque chose comme ça, je me dis avec l'abstraction on ne te promet plus l'enfer,
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« Warhol peint une réalité d’où a été exclue toute notion d’identité. » pour cette phrase cela rejoint ce que je me disais par rapport au ro...