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samedi 24 juin 2023

(...)

Journal, je trouvais ça le principe ou l'idée intéressant(e), (),  lire ce qu'il en dit, (mais ne pas prêter attention à son style empoulé et un peu donneur de leçon ou maître à penser les marguerites), je trouve toujours cela intéressant, mais ça ne va pas, qu'est-ce qui ne va pas on se dit, vite dit l'imaginaire n'est pas le bon, je ne dis pas qu'il manque la terreur la poésie la peur ou la gravité mais je crois que c'est un ensemble qui n'y est pas, la complexité n'y est pas, il manque le doute, je ne dis pas qu'il n'y arrivera pas mais pour l'instant ça ne marche pas, ce coté  imaginaire majoritairement bande-dessinée, presque pour enfants ,  dans certains films de Cronenberg il y avait un moment de vertige où l'on n'était pas certain de ce que l'on avait vu, vite dit comme si l'image se pliait ou se plissait, chose que l'on voit aussi dans Total recall, je ne sais pas si c'est très clair ce que je dis, je note cela sans savoir si je me trompe ou pas, le sentiment que personne ne regarde l'image produite, (au sens qu'il manque quelque chose de la photo même) ( dans le sens si on dit par exemple qu'une icône nous regarde, ses photos sont aveugles en gros, elles ne regardent rien), je me dis aussi il n'arrive à rien parce que ses images sont données immédiatement comme fausses, je me dis il faudrait plutôt que son effort aille vers le plus de véracité possible, rendre ses images vraies, il n'y a pas de bascule [possible] je me dis parce qu'il n'y a aucune ambiguïté, autrement dit il fabrique juste des fausses images presque, pensant à Thibaut Brunet ou Cyprien Gaillard, il n'est pas assez architecte ou paysagiste on se dit, il ne regarde pas ses propres images, je me dis que pour l’instant nous ne sommes que dans l’illustration, ce qui est le comble pour quelque chose d’à priori aléatoire, disons il manque le bug ou l’erreur,  mème si ça peut paraître incompréhensible il y a la photo d’une installation de Ser Serpas, avec ce truc de la planche presque coupée en deux et qui pend et qui fait tout il me semble du machin, les dernières photos sont un peu plus intéressantes, (au moment où j'écris cela), (et depuis les mauvaises habitudes sont revenues)  le mot que je cherchais tout à l'heure est le mot trouble, aucune photo n'est troublante, ne trouble, je crois en en voyant une qui d'une certaine façon me plait, (), que c'est le truc même qui ne peut fonctionner, je crois que pour que quelque chose arrive, il faut obligatoirement on va dire la retouche, ou alors plus de mots clefs etc,  on se dit ça manque de parking(s) et de parasols sur les balcons) ( à moins que le coté science-fiction ne soit assumé) ( c'est à dire le côté décoratif) , celle-ci () est assez convaincante je crois, par ailleurs lire l'article du Monde () sur les logements hlm de Vienne aujourd'hui, ceux avec des piscines etc, et , où , regarder ce clip de Massiv Attack , ou un autre compte sur l'architecture ,  





je parle des photos en dessous,  journal, retrouvé ça en recherchant autre chose, (je ne me souvenais plus du nom d'une influenceuse mode que j'avais bien aimé à une époque, des photos Bressoniennes ), (puis c'est comme si elle avait changé de photographe et c'était devenu assez banal), bref ces photos du gars ça a été un des plus grands traumatisme qui soit ce truc, ( au delà de l'expo plus que catastrophique Les vies qu'on mène cette sorte d'affirmation de la haine poujadiste absolue et du peuple et du réel et de la photo et de l'intelligence) le mec (Jérôme Sessini)  a eu deux ans pour faire ou rendre ça, je veux dire il a eu une bourse sur deux ans (et une somme conséquente on imagine) et au bout de deux ans il a rendu ça, genre 5 mn de boulot (sur deux années hein) (au début j'avais cru une année pour apprendre que non, c'était deux années), le pire eux s'en servent pour faire leur communication, le pire à nouveau, pour La grande commande photo ils le reprennent aussitôt, (et hop à nouveau 22 000 euros dans les poches de l'escroc), et je crois qu'il est le seul (ou un des seuls) à n'avoir rien rendu, il faudrait vérifier s'il a rendu quelque chose maintenant, je ne suis pas allé sur leur site depuis plusieurs mois, (il y a 2000 photo et même pas 20 qui soient vaguement intéressantes), on cherche vainement le moindre investissement intellectuel dans les photos*, ça n'arrive jamais, le truc le plus intéressant est peut-être la série de Mathias Zwick  , on ne sait pas si c'est un complet foutage de gueule genre un truc totalement narcissique le mec qui se rêve en artiste, ou un truc genre critique machin de retourner la commande, comme on dit retourner une peau, genre peau de banane etc, et genre aussi c'est même pas le hors-champs de la  photo presque, non en fait j'avais été trop rapide, c'était les photos du journal de bord, plus bas il y a les 10 photos du contrat, pas intéressantes du tout par ailleurs, ça aurait été plus intéressant ses photos du journal de bord finalement, 

je n'aime pas les photos de Sarah Ritter ()  mais je peux reconnaître quelque chose, (et il y a une ou deux que je ne trouve pas si mauvaises) (mais bon photos disons Poivertiennes)... 

 exemple de la nullité absolue du machin de la grande commande, , lorsque tu arrives à ce point tu te dis que c'est sans retour, sur les 200 photographes, environ 190 sont de cet ordre esthétique...  ce n'est même plus de l'ordre de l'accident industriel comme avec Les vies qu'on mène, c'est de l'ordre d'une honte absolue, du suicide collectif, tu te dis lorsque tu arrives à ce point d'inculture, d'acculturation plutôt, (lorsque je parlais des photographes français comme des analphabètes ou des neu- neus, le stade critique est largement dépassé) je ne sais pas, (je mets réellement au défi quiconque de me trouver une seule bonne photo de la grande commande), c'est bien simple, on dirait un club photo de quartier, esthétiquement ça ne va pas plus loin...  

( pour Sessini) il a rendu ça ... disons deux jours de boulot tranquille ...  ( moi je dirai plutôt deux heures de promenade )…

* je ne me souviens réellement d’aucune photo où j’ai pu être surpris ou quoi que ce soit qui aurait à voir avec l’intelligence ou disons une quelconque création intellectuelle, il y a deux ou trois photos qui m’ont surpris comme celles de Sarah Riter, mais il me semble que ses photos doivent plus à une sorte de culture scolaire, quelque chose au fond de presque académique, c’est l’intérêt du livre de Poivert on se dit, est visible le nouvel académisme ou conformisme, il invente le conformisme même on se dit, ou le rassemble, ce  que tu ne voyais pas devient évident, (son dernier livre sur la nouvelle photo expérimentale), ("Contre culture dans la photographie") se demander par exemple si cette façon de faire, cette photographie expérimentale, contre-culturelle  ne date pas d'un siècle, qu'on aime ou pas les photos qui sont dans le livre, une "contre-culture" omniprésente par exemple dans les institutions, ( ce qui en fait un non sens), une contre-culture officielle quoi,  Poivert tu te dis invente la contre-culture institutionnelle, tu ne peux pas faire ou être de la contre-culture je me dis, et être en même temps aimé dorloté par les institutions, c'est un peu étrange, ce que je dis peut-être aussi très injuste et même peut-être totalement faux je me dis,  mais je me dis, ces photos, est-ce réellement de la contre-culture, est-ce du savoir, au sens savoir historique ou scolaire, au sens nous avons reçu un enseignement historique et intellectuel de qualité, nous produisons donc des photos en rapport avec ce savoir et cet enseignement, ces photos sont par ailleurs d'un bon goût absolu, (tu vois pas un poil de bite dépasser quoi), (je veux dire par là que tout est évacué et rien ne heurtera quiconque), se souvenir de la phrase totalement réac et malvenue de Xavier Veilhan sur la petite couture, et se demander jusque où ça n'est pas de la petite couture cet art officiel de la contre-culture, cette façon approbative de faire de la culture, jusque où un événement je me dis est-il institutionnalisé je pense (rapidement) au(x) repas de Michel Journiac, ou si je reprends le livre de Poivert, à la manifestation subventionnée par le Cnap de La manifestation des images de monsieur Prout, comment tu peux "manifester" et avoir demander une subvention pour cela on se dit,  (ce qui donne donc genre "sans subvention(s) je manifeste pas"), comment tous les travaux sur la photo ne sont pas la manifestation (au sens visibilité) du ministère de la culture, (au sens large), leur émanation, se demander y-a-t-il contre-culture ou est-ce une sorte de discours intégrée, plaquée, sagement cousue, est-ce qu'une seule des photo retenue par Poivert va-t-elle trop loin je me dis, (au-delà je parle pour moi de mon goût personnel), si je reprends l'exemple des photos pour la grande commande de Sarah Ritter, je peux dire que certaines photos me plaisent, mais ne semblent que séduisantes, et émaner directement d'un savoir universitaire ou scolaire, d'une sorte de conformisme Poivertient, elle reproduit quelque chose et ne va pas plus loin, ce sont par ailleurs des photos, un esthétisme omniprésent, je me dis tout le monde maintenant travaille sur les vieilles photos, tout le monde semble avoir appris la même façon de faire par ailleurs, je peux dire cela aussi parce qu'il ya beaucoup de gens que j'aime bien dans le livre de Poivert, je peux donc être injuste presque, (éventuellement), si je prends l'exemple de Thibault Brunet, dont je ne sais s'il est dans le livre de Poivert ou non, (je ne m'en souviens plus et je n'ai pas le livre avec moi chez moi), ne peut-on pas dire qu'au final ce n'est pas de la petite couture ? Et à partir de quand on y échappe alors ? Je prends en exemple Thibault Brunet parce que justement j'aime beaucoup son travail, si je prends un autre exemple et par exempleMarina Gadonneix, jusque où savons-nous que notre travail sera aimé des  institutions je me dis ? Est-ce par ailleurs une question intéressante, je prends aussi bien entendu en exemple Marina Gadonneix puisque j'aime beaucoup son travail et que justement d'une certaine manière je ne vois pas l'interêt en ce qui la concerne de poser ce genre de question, et pareil avec Thibault Brunet, 









mardi 20 juin 2023

(...)

je ne me souviens plus si j'ai déjà parlé de cette brioche Japonaise, (), la flemme de vérifier, 

je ne sais toujours pas si cette vidéo  est proche de l'art contemporain ou non, c'est une sorte de dj-set, de transe absolue, on peut le voir aussi différemment, et presque comme une fiction même , 

Mala Ancient Memories , lien vers son compte Bandcamp , (via The bug), absolument sublime on se dit, 

texte sur L'île du docteur Moreau , la bande-annonce

au moment d'acheter très cher le livre de Virilio Bunker archéologie, je le trouve en pdf sur mon disque Google drive, 

Cette histoire sublime de calques chez Tristan Garcia, et photo de la note 1 du livre 1 de Nous: 


extrait Wikipedia: "Le chapitre dix-huit, « Structure des relations de personne dans le verbe » (1946), évoque les personnes verbales, au nombre de trois (trois au singulier, trois au pluriel et parfois trois au duel). La forme de citation varie (troisième personne en Inde, première personne en Grèce). Se pose la question de l'existence d'un verbe sans personne (Benveniste analyse l'exemple du coréen). Il qualifie la troisième personne de non-personne, « l'absent » chez les grammairiens arabes. Sont aussi analysés les pluriels inclusifs et exclusifs (nous et vous). Pour Benveniste, nous n'est pas je multiplié, mais dilaté. La seule personne à admettre un véritable pluriel est la troisième, non-personne".

J’y ai repensé beaucoup (aux calques) lorsqu’il y a eu l’annonce pour Manouchian et en lisant ce matin un article stupide et bidon et révisionniste dans Le Figaro, (à propos de Louis 14), c'est à dire il tord l'intention de la Cité de l'immigration à propos de leur campagne de pub, leur faisant dire des choses que jamais ils n'ont même pensé, et j'observais que chez le type il s'agissait d'une histoire de sang, 



trailer de Smooth talk  , un extrait ...

qu'est-ce qui fait que les photos de Juliette Agnel sont seulement hyper séduisantes mais d'une pauvreté intellectuelle absolue je me dis, pourquoi ne sont-elles que décoratives, pourquoi ça ne va pas plus loin qu’un poster? Pourquoi elles sont si vaines ses photos? Démonstratives de leur propre beauté démarcheuses presque d'elle-même? Contrairement à celles d'un type (ou d'une nana)  que je ne connais absolument pas, même de nom, et dont je découvre le livre Bharat Sikka ? dont à chaque photo je me dis c'est exactement ce que je déteste et que j'aime là même pas ou presque malgré moi, puis je tombe plus tard dans la journée sur un article à propos de Man Ray et je me dis que c'est exactement le même genre de bidouillage, en gros, qu'il y a la même évidence, du coup je me dis qu'il faudrait que je regarde un peu plus les photos de Man Ray qui m'était jusqu'alors plus ou moins indifférent, 


  et  à propos du moulin de Senlis, par rapport à des souvenirs Facebook qui sont re apparues ces jours-ci, j'y avais fait des photos il y a dix ans environ,  

pour la copie d'écran ce n'est pas très loin mais à priori inatteignable pour différentes raisons, j'avais déjà essayé, c'est assez dommage car il y a une sorte de plage paradisiaque tout à coté,  (en fait deux ou plus), 




     -- 

les photos sont ce qu'elles sont (des photos de presse pas très bonnes)  mais il est assez rare de voir des prolos photographiés ne serait qu'avec un gramme disons de bienveillance, et encore plus rare de déceler chez eux une trace d'intelligence, ces photos sont pour illustrer un article du dernier numéro du Monde magazine, 



mercredi 14 juin 2023

(…)

Assez effrayantes leurs vidéos, (),  on se dirait dans une sorte de prison, dans une sorte de film de science fiction dans lequel ils rejouent la scène à l’infini, ce n’est même pas ça en fait, comme s’ils étaient prisonniers d’un bloc d’ambre, 
Spector books, ,  faire son marché, (commencé déjà), (pas extraordinaire non plus, j'avais déjà vu des livres de chez eux passer sans que j'en garde un grand souvenir), 


bande-annonce de The great wall, ,  (je me méfies), et To the moon, , (j'avais raison de me méfier), 
texte sur les Polaroïd de Walker Evans ...
hier soir je me suis fait pour la première fois du café Touba, , (assez sublime),  
Les photos sont ce qu’elles sont (qu’ils en prennent quand même de la graine les frenchies )






lorsque tu vois la série The days, tu pense obligatoirement à Thomas Demand, c'est absolument obligatoire (Control room) ...  je veux dire l'hypothèse base de la série, son origine n’est pas le tsunami mais les photos de Thomas Demand on se dit, les dernières 10 minutes du dernier épisode sont très belles dans cette sorte de pessimisme en voix off, 
Caroline Polachek , et sous un autre nom, (je ne sais pas quoi en penser à vrai dire), 
un film de Pierre Alferi , (Litany), c'est fou celui je ne le connaissais pas, et celui-ci Ne l'oublie pas, , est toujours on se dit sublimement hypnotique, Yodel
une interview rigolote de Léaud dans So film ...

Photo d’Edward Weston, 1939, ( par rapport à Lynne Cohen), 





 Hier je me rends compte que le dernier Sokurov (et accessoirement un film sublime) était sorti au cinéma le mois dernier, je me fais la réflexion de n’avoir vu aucun article de presse en parler, je cherche et en trouve plusieurs, 

en dessous post à venir , 



lundi 12 juin 2023

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 photo sublime qui vient d'apparaître dans mon fil d'actualités, (on aimerait presque Vasarely)...



samedi 10 juin 2023

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 un autre clip de Tricky , probablement un des plus beaux clip qui soient, on est vraiment dans l'art contemporain on se dit, vite dit dans une sorte d'équivalence à Bill Violla, 




ce que la bourgeoisie veut, (et le monde de la culture c'est la bourgeoisie ne l'oublions pas) c'est exactement ça, des prolos qui ressemblent à des mongoliens  (que la bourgeoisie soit un état enviable économiquement etc n'entre pas en compte ici, je parle de la guerre de classe et culturelle que celle-ci mène en continu contre les prolos, il n'y a jamais de bienveillance à en attendre, il n'y a jamais de bienveillance en œuvre), 




 

(...)

 


mercredi 7 juin 2023

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 dans Phasmes ce que dit Didi-Huberman sur l'invention du mot photographie, j'y repense curieusement en regardant un extrait de concert de Tricky,  ...  je n'arrive pas à vraiment comprendre pourquoi j'associe les deux, enfin je n'arrive pas à le formuler,  le devenir parchemin peut-être (entre-autre) de Tricky, rajout, 

question, est-ce que Didi-Huberman je me dis, suppose que le type devienne du papier, que le type devienne fabrique du photosensible avec son propre corps, (il faut que je relise le passage), que le type se fabrique lui-même photosensible, qu'il veuille devenir une feuille, le devenir feuille du gars, il n'a plus qu'un interlocuteur, le soleil, le devenir photosensible du mec, là question alors et Didi-Huberman y répond si je me souviens bien, qu’y a-t-il à photographier , et Huberman donc je crois de dire la mémoire de sa propre mort , un truc comme ça, 

je crois assez sublime clip de Tricky , je me dis qu'il aurait pu être réalisé par Pierre Alferi, la chanson originale est de Jefferson Airplane () ,  enfin pas clip de Tricky, l'album est la plupart du temps attribuée à Tricky mais est en réalité de la chanteuse Marta, le mimétisme est tel que bon, 

"Pendant deux ans, Herman Ellis Dyal (@hermandyal) a photographié l'intérieur de l'église de San Antonio, au Texas, qui était le centre de la vie de sa famille depuis les années 1940. Les photographies qui en résultent montrent une grande partie du bâtiment aujourd'hui inutilisé et constituent sa première monographie, "The Things Not Seen Are Eternal" (Les choses que l'on ne voit pas sont éternelles).

En 2021, alors qu'il passe devant l'église Riverside de San Antonio, Herman remarque une porte ouverte et entre dans l'édifice, où il n'avait pas mis les pieds depuis 50 ans. De l'extérieur, l'église semblait hors d'usage. Accueilli par le pasteur de longue date, Herman a appris que la grande église, qui avait été l'une des plus grandes et des plus dynamiques de la ville avec une congrégation de plus de 1 000 fidèles, s'était réduite à une douzaine de personnes, pour la plupart des personnes âgées, membres de longue date. La congrégation se réunit désormais dans un petit espace et dans de nombreuses salles et espaces qui ne sont plus utilisés, sans électricité et qui se détériorent lentement. Dyal a commencé à revenir régulièrement - le dimanche pour apprendre à connaître les fidèles et passer du temps avec eux - et en semaine pour documenter les nombreux espaces qui ne sont plus utilisés". 

je ne pense pas que le livre soit très intéressant, euphémisme,  , (et je rappelle que je ne suis pas croyant), (en même temps c'est con de se justifier), 

un lien street view de San Antonio au hasard  et juste quelques mètres en arrière ....

vidéo assez sublime pendant les 13 premières minutes ensuite c'est une interview,  , trouvée , (rencontre avec Richie Hawtin), 



en reprenant le livre de Philippe Bazin et en cherchant sur internet un texte de Martha Rosler, je tombe sur cet article  de Bazin 

journal, brouillon, l'autre jour je parlais d'un extrait du livre (de Philippe Bazin)  je disais "je rajoute un autre extrait à mon retour, extrait aussi très juste sur les "témoins", toujours par rapport à ce mot "monument", et qui rejoint au fond ou c'est moi qui l'associe comme ça à ce que je disais des photos de mode ou publicitaires, que je les aimais parce que les gens n'y faisaient pas pitié etc, au fond je me dis en écrivant cela, c'est ce que faisait déjà August Sander" , en fait il s'agissait du mot témoignage, je lisais cela juste quelques minutes avant mon départ et avais mal interprété le machin, chose pas plus importante que ça néanmoins, j'avais eu la tentation de citer le nom de plusieurs photographes Africains à la suite de Sanders mais en me disant qu'eux n'avaient pas pensé à faire quelque chose avec cela à l'époque, enfin que ce n'était en tout cas pas conscient, je m'étais dit que leurs photos n'avaient pas été pensées comme monument(s) au moment de leur prise de vue, les photos étaient devenues autres au fil du temps, pas certain non plus de cela je me dis, existait déjà une sorte de hiératisme, la volonté que chaque personne soit dans la grandeur, j'y reviens 

Philipppe Bazin écrivait: " Le documentaire critique implique aussi de repenser la question du témoignage. La photographie, dans cette perspective, ne produit pas des documents inertes, mais des monuments qui portent en eux leur propre capacité de pensées et de constructions signifiantes. Les photographes ne sont pas les témoins d'une réalité du monde, au sens journalistique ou policier, leurs photographies ne sont pas des preuves appuyant un discours qui viendrait de l'extérieur, ( ...),  le documentaire critique par son exigence renvoie le spectateur à son intelligence et non à sa culpabilité" , à un moment, pour parler de la série Empêchements, je me suis dit exactement où presque cela, que cela ne devait pas être on va dire un témoignage journalistique, cela devait être autre chose je me disais, et en gros je décidais alors de photographier des paysages, je ne sais pas si je m'explique bien, d'enlever toute trace de militantisme, d'enlever le social ou la pédagogie, de ne garder qu'autre chose, je pourrais ajouter ne garder que le paysage et le crachat,  ce n’est pas pour autant que j’ai réussi cela dit, (j'y reviendrai à l'occasion), 

lundi 5 juin 2023

(...)

un film (assez court) sur James Benning ...

c'est Plastikman et c'est sublime  et  , 

Ce que je disais un peu plus bas (et que je ressasse sans cesse depuis des années) ce que je disais plus bas donc sur mon amour de la publicité, deux pubs qui étaient dans mon fil d’actualité, personne en France n’est capable de faire de telles photos, personne même n’a envie de faire cela, (et aussi parce que personne intellectuellement n’est capable d'imaginer cela), (et que 100% des photographes français sont soit totalement analphabètes ou mongoliens), (et alors que ces photos ne pas non plus extraordinaires), on le voit dans la nullité absolue de La grande commande photo, ou de l’expo Les vies qu’on mène, en France je me dis, il faut avoir un regard bovin dans les photos, ce n’est pas une condition mais un résultat …

Évidemment on retranchera  Clarisse Hahn Laura Henno Christophe Bourguedieu Yohanne Lamoulère et Bruno Serralongue , qu’on les aime ou pas, moi je ne sais pas si je les aime entièrement ceux que j'aime, j'aime une photo de Yohanne Lamoulère, le reste est très mauvais,  je ne crois pas aimer vraiment une seule photo de Christophe Bourguedieu, mais je puis reconnaître certaines choses, de Laura Henno j'aime plus ou moins son premier livre, et  je trouve belles ou séduisantes certaines autres photos, mais bon dans l'ensemble ça fait plus penser à Rosa Bonheur qu'autre chose on se dit, son truc dans le désert est assez bidon je me dis, (et ce qu'elle a fait pour La grand commande photo de la pure escroquerie en tout point de vue) ( disons qu'elle s'est fait payer des vacances), de Clarisse Hahn il y a une photo que je déteste,  Bruno Serralongue j'ai déjà parlé de lui, mais ces gens qu'on les aime ou pas sont les seuls, je parle de photographes "portraitistes" évidemment, 



samedi 3 juin 2023

(...)

 journal, brouillon, bien évidemment Kandinsky ou la religion on s'en bat un peu les couilles pour parler vulgairement, j'aime bien l'idée qu'un seul mot soit à l'origine de l'abstraction, qu'un seul mot transforme radicalement la peinture etc, remplace l'image du christ etc, j'imagine que c'est beaucoup plus complexe que ça mais pour le coup on s'en fout, ce n'est pas très important, (et évidemment M L n'est pas loin dans mon esprit), au moment où j'écris ça une nana  passant à côté de moi et qui dit dit à une autre "mais bon ça va ça va" ( avec la même intonation que M L), le Nous orthodoxe est pour ainsi dire l'abstraction même, je ne trouve pas le mot que je cherche, je dis donc pour l'instant, la peinture alors ne cherche plus à nous raconter une histoire, elle est quelque chose, une sorte de présent, et peut-être la dimension n'est plus la même, elle ne représente plus le pouvoir je me dis, elle s'éloigne de l'oracle ou de quelque chose comme ça, je me dis avec l'abstraction on ne te promet plus l'enfer, 





mercredi 31 mai 2023

(...)

- " Le documentaire critique ne produit donc pas des documents, ce qui nous informe, mais des monuments, ce qui nous donne à penser", (Christiane Voltaire citée par Philippe Bazin dans son livre),  phrase que je trouve simple et sublime et exacte, et exactement l'inverse du reproche bidon fait par Artières à Didi-Huberman),  ("il y a urgence non à être esthète mais à se faire pédagogue"), je rajoute un autre extrait à mon retour, extrait aussi très juste sur les "témoins", toujours par rapport à ce mot "monument", et qui rejoint au fond ou c'est moi qui l'associe comme ça à ce que je disais des photos de mode ou publicitaires, que je les aimais parce que les gens n'y faisaient pas pitié etc, au fond je me dis en écrivant cela, c'est ce que faisait déjà August Sander, 

 >> et  relire et relire cet entretien à propos de la pédagogie, 

je n'aime pas beaucoup le livre de Bazin, style trop universitaire, deux références minimum par page, en gros je n'y comprend pas grand chose parce que cela ne m'intéresse pas, du coup je survole plus que je lis, je prends ce qui m'informe,  disons livre désagréable à la lecture ( mais je suis certain qu'il sera important pour moi), 

 Lauren Duffus , (et c'est sublime), et E Myers

sur les sphères mégalithiques du Costa Rica  


dimanche 28 mai 2023

(...)

Journal, brouillon, en commençant la lecture du livre de Philippe Bazin "Pour une photographie documentaire critique" (que j’ai acheté l'année dernière mais que je n’avais pas lu*), je remarque ce qu'il dit sur Arago, peut-on dire alors que la photo actuelle ( celle qui est importante)  est plus proche d'Arago que disons de Walker Evans ou August Sander,  intéressant aussi on se dit ce qu'il dit de la photographie expérimentale, comme si au fond l'on assistait à une sorte de reset**, un côté bon on reprend les choses, quelque chose qu'on remarque très bien avec Wolfgang Tilmans par exemple, tant ses photos doivent parfois aux années 20 etc, (en gros),  pour l’instant j’en suis à la lecture pas eu le temps d’approfondir ni d’y réfléchir plus que ça …

* j’avais acheté un autre livre de lui ( Un archipel de solidarité) et j’avais trouvé les photos pas très intéressantes à part une ou deux, ça m'avait enlevé l'envie d'aller plus loin … 

**  ça c’est moi qui le dit, sur ce qu’il dit lui j’y reviendrai plus tard probablement,

Le Kinski Paganini est quelque chose d'assez fou on se dit, c'est Sokurov ivre et complètement hystérique, dépassant les limites, sans aucune limites, et pour ainsi dire du jamais vu (sauf chez les Japonais), une fureur ou une rage hallucinante je me dis, (le correcteur orthographique me propose hallucinée, ça correspond aussi très bien je me dis), une version totalement dégénérée, réflexive et poétique de l'Amadeus de Forman; je ne suis pas certain qu'il y a une seule séquence dialoguée une seule séquence en champs-contre-champs je me dis, (un champs contrechamps chez lui ne veut rien dire de toute façon) je ne suis pas non plus certain qu'il y ait une seule seconde de bon goût, c'est comme si Zulawski avait pété un plomb je me dis … c’est comme si on disait  un film de Rossellini avec Ingrid Bergman, Stromboli ou Voyage en Italie, et Ingrid Bergman qui se branle face à la caméra, totalement nue et le sexe en gros plan, 

 - le pire étant que le film est sublime … (Kinski mon héros), 




- extrait d'un film de Werner Herzog que je ne connaissais pas Les cloches des profondeurs, ... (il est sur KG avec sous-titres français), 

- découverte d'une nouvelle revue, la revue Sève que j'ai failli acheter/commander pour finalement découvrir leur pub avec Yannick Haenel* du coup je repensais au texte de lui sur RR dans feu Independencia,  > >  et il y a un an j'y repensais aussi  "  Le texte sur RR de Benning dans lequel Yannick Haenel comparaît les trains de Benning à ceux de la seconde guerre mondiale, le mec qui ne comprenait rien à rien, alors que tout le film de Benning était basé sur la poésie etc, et les mecs d'indépendancia d'accord avec moi mais m'avouant qu'ils n'avaient pas osé lui faire la remarque ni donc [lui] demander de corriger son texte minable",

>> Haenel je me dis, c'est comme un virus …

>> remplacer le mot virus par le mot cancer éventuellement,

>> voir papillomavirus ,

- ("RR commence. Un train entre dans le paysage. C’est une suite de wagons scellés. C’est un train de marchandises. Je ne peux pas m’empêcher de penser à Shoah de Claude Lanzmann. Désormais l’image d’un train sans fenêtres connote nécessairement l’extermination des Juifs d’Europe"),

*dont le dernier Roman on se dit est plus proche de celui de Bruno Lemaire que de n'importe quel autre écrivain, (si tant est que Bruno Lemaire ait à voir avec la littérature), et on ne remerciera jamais assez cela dit, Lemaire d'avoir révélé Haenel ...


>> le texte de Haenel sur RR ...




Yannick Haenel (Ligne de risque c'est sa revue) qui par ailleurs semble être un pilier de Radio Courtoisie, je sais on pense que j'exagère :



vendredi 26 mai 2023

(...)

 recherche google-images sur John Ricardo Cunningham , sur Harald Stoffers   et sur Dwight Macintosh ...

c'est dans l'ordre des choses que j'aime ce que fait Marina Gadonneix je me dis puisque j'ai aimé immédiatement Bingo Show de Christelle Lheureux , (à l'époque elle faisait de si beaux films puis je ne sais pas ce qui s'est passé), 

l'idée sublime des calques (chez Tristan Garcia), 

dimanche 21 mai 2023

(...)

 à propos du livre sur l'élevage de la poussière de Duchamp

Magazine The greatest pas bon du tout, l’autre très bien… 

sur "Bliz-aart ball sale" de David Hammons,  , et l'épisode d'une émission d'Arte sur lui

se demander, c'est une lecture en cours qui me fait penser à elle, si les photos de Marina Gadonneix ne seraient pas (ne représenteraient pas) comme des artefacts, ou des sortes de doubles, presque au sens jumeaux, ( voir aussi la série Fringe, rajout), le double d'objets ayant existé ou existants, ou en quelque sorte leur ombre (ou ombres portées, rajout) ou leur souvenir ou trace, est-ce que l'on peut créer aussi je me dis des objets en attente, presque une histoire de myopie je me dis, ou de surplomb, des objets vus de haut presque, rajout , rajout encore, il me semblait bien qu'elle avait parlé de vide, et par rapport à ce qu'elle dit dans sa vidéo, est-ce que l'on ne peut pas dire que d'une certaine façon elle modélise et le vide et le silence, rajout, en quelque sorte rend cela palpable, 

ce sont aussi des surfaces froides pour la plupart je me dis, (au sens surfaces temporairement désactivées de leur fonction), 

c'est presque de l'ordre de la description on se dit, ce qui rejoint le roman que je lis, (L'accomplissement de l'amour de Musil), les premières pages, livre pas bon du tout sinon, 

et par exemple ses cubes bleus, (ou verts peut-être) n'est-ce pas au fond la formule mathématique de quelque chose, 

ou des sortes de cristaux, au sens pixels du monde presque, (rajout), 

ne pas oublier les cadres vides du Louvre dont elle parle dans une vidéo, rajout, la vidéo

Il est bien sûr impossible de décrire ou photographier ou imprimer le vide je me dis, le vide c’est le vide, il n’y a rien, on ne peut pas photographier un espace vide, il faut obligatoirement des contours, des limites,  il peut y avoir du vide au-dessus de quelque chose, ou entre plusieurs choses etc, on peut éventuellement enfermer du vide dans une bouteille ou un bocal, si tant est que fermer visser un couvercle etc, peut-être qu’on peut donner à voir le vide, mais dans le vide il n’y a rien, on peut enregistrer du bruit ou des sons,  on ne peut pas vraiment photographier un espace vide je me dis, il faut obligatoirement lui ajouter quelque chose, pour voir le vide il faut qu'il soit contenu ou souligné, 

je me dis, à chaque fois que l'on essaie de photographier, ou filmer le film, le résultat est toujours que n'apparaît ce qui le souligne, n'apparaît que ce qui le contient etc, le vide n'apparait jamais, on voit juste un espace, 

J’allais dire on peut photographier une couleur mais on ne peut pas puisqu’une couleur suppose une surface donc une limite, support ou socle donc, nous ne pouvons que photographier un objet en couleur je me dis,  on peut matérialiser une couleur, pas le vide, on peut définir ou encadrer sinon ordonner le vide, le contraindre, le limiter, lui donner des limites, ( s’il s’agit d’un vide disons familier), et  les monochromes de Tilmans, je ne sais pas, (enfin c’est sur un support), 

Si je reprends l’idée du cadre vide il ne s'agit pas réellement de vide je me dis, mais d’un manque ou d’une absence, le vide n’est pas une absence je me dis, le vrai vide n’a pas de passé, ( pas certain), 

des objets souvenirs, rajout, 

 >> (note, la question n'est pas si je raconte une connerie ou non, le truc c'est ce que je pense, je ne cherche pas à le vérifier plus que cela non plus, je ne cherche même pas si au fond je pensais réellement à MG ou si le souvenir de ses photos etc), je veux dire par là si je n'en ai pas une vision fantasmée, que j'en ai une vision fantasmée importe peu, je n'ai pas à vérifier cela, 

par rapport à une discussion sur Robbe-Grillet, je regarde à nouveau sa fiche Wikipédia, puis je consulte presque par hasard cette page , (et film téléchargé ce soir)  la discussion c'était sur aimer l'idée de Robbe-Grillet malgré son style vieillot des l'origine, je parle de ses livres, (le seul livre que j'aime vraiment de lui est son scénario de Marienbad), je décide tout de même de télécharger La jalousie et Dans le labyrinthe, je me dis que pour lire un de ses livres, pour voir certains de ses films, il faut pouvoir passer ou dépasser ce style vieillot comme si dans le même mouvement nous en faisions un remake, il faut re-écrire mentalement ses livres tout en les lisant, on ne peut pas les lire sans cela, 

(...)

 


>> ça rigolait pas dans les Cahiers à l'époque de Stéphane Delorme: 




jeudi 18 mai 2023

(...)

 sur l'art de la copie (l'expo seconde main en 2010) un article de Libé ...  

et la présentation de la même expo par le site du musée d'art moderne , ... 

la meilleure revue de photographie est Holiday magazine , il n'y a pas d'équivalent ni en france  ni ailleurs et que ça soit un magazine de mode etc n'est pas du tout important les photos sont sublimes, je l'ai découverte l'an dernier en trainant au Publicis, en fait en cherchant un autre magazine, j'ai acheté trois autres numéros puis je me suis dit qu'il me les fallait tous alors j'en ai acheté encore trois autres (cette semaine), comme tous les numéros sont quasi épuisés en cherchant un peu partout je découvre deux autre magazines The Greatest  et Sociotype Journal , je n'ai pas feuilleté les revues, j'ai aperçu quelques pages ici ou là, 

je hais la mode mais les seules photos que j'aime sont le plus souvent des photos de mode ou publicitaires, et ce sont les seules que j'accrochais, j'ai déjà dit pourquoi, parce que les gens n'y font pas pitié, qu'ils sont entre fierté et défi, 


Trouvé au Publicis justement, ( rajout du 19), 



l'entretien de Guillaume Massart avec LL de Mars, , tout cinéphile se doit de voir la vidéo en entier, (et pas parce qu'il parle de Kuhe évidemment), 

comme si elle avait peint l'intérieur de soit, au sens être, quelque chose comme ça: 


c'est de Constance Nouvel et c'est sublime, je n'ai pas parlé de son expo au centre Pompidou Metz ( jusqu’au 18 6) parce que disons je n'avais pas les mots pour pouvoir en parler et j'étais pour ainsi dire stupéfié et presque traumatisé et cela sans avoir vu l'expo juste les trucs sur internet, les vidéos par exemple,  >> il y a aussi une expo avec elle chez Immanence jusqu'au 3 juin, ( 21 avenue du Maine), une vidéo


de là il y a cette photo 

et celles-ci 



et ce tableau de Warhol que l'on est toujours content de revoir 


une autre chose que j'ai beaucoup aimé :



mercredi 17 mai 2023

(...)

 ce sont des vitraux de Pascal Convert, je viens de mettre le post en public, peut-être l'a t-il-été un moment, peut-être qu'il y a un autre post public, je ne sais pas,  je me souviens aussi qu'une de mes photos vers 2008 était inspirée de ces vitraux, je les avais aussi imprimés et accrochés sur un mur, dans mon souvenir ce sont des orphelins, je crois qu'il y a un article dans Libé, ( pas trouvé) , 

 >> "L'artiste a souhaité s'inspirer de la dédicace de Saint-Gildas, invoqué pour soigner la folie. Il s'est ainsi procuré, auprès des Archives nationales, des photos d'enfants tirées du livre Invention de l'hystérie, de Georges Didi-Huberman, ouvrage relatant les pratiques réalisées autour de l'hystérie à l'hôpital de la Salpêtrière du temps de Charcot. Les visages ont été modifiés afin de représenter les enfants les yeux clos, en situation de méditation. Ainsi sont nés les portraits figurant sur les vitraux. Les autres étapes de la réalisation ont été assurées par Claus Svelte pour les matrices, Olivier Juteau pour la réalisation des dalles en cristal et Jean-Dominique Fleury, maître verrier."

un autre lien ...

un lien () pris sur son site, article de Philippe Dagen , 


samedi 13 mai 2023

(...)

 J’oublie toujours de noter que le dernier Sokurov est absolument sublime … 

et évidemment The power ça part en couille, ça merdait dès le deuxième épisode, c'était d'abord du blah blah, ça devenait chiant, l'épisode 4 était sublime puis c'était de plus en plus n'importe quoi, les traumas qui s'accumulent, etc etc, c'est assez beau finalement la panique qui s'empare des scénaristes dans le dernier épisode on se dit, ce devenir série Z, 

sur le panorama Bâmiyân de Pascal Convert et  , 

marche de la faim à Washington en 1932  , 

cela a pour titre: " Bombed city of Cologne in Germany during world war",  il faut le regarder entièrement pour que cela devienne autre chose, là  , 

le drame des grandes plaines partie 3  ,

encore un truc de plagiat etc  ,

rencontre avec Artur Aristakisyan

découvre cette artiste Ser Serpas, , dont une pièce me troue le cul , 



ci-dessous  trailer du film Godspeed you black emperor de Mitsuo Yanagimachi , 




mercredi 10 mai 2023

(...)

 ( on dirait une photo de Walker Evans)…



Bien évidemment il ne s’agit pas de plagiat mais de l’imaginaire le plus profond et qui débouche sur /ou que traverse/ la fiction, quelque chose comme ça, 

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« Warhol peint une réalité d’où a été exclue toute notion d’identité. » pour cette phrase cela rejoint ce que je me disais par rapport au ro...