jeudi 30 mars 2023

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 pour moi Daryl c'est le type le plus touchant de The Walking dead, je me souviens de l'avoir pensé aussi a l'époque de sa première diffusion, je sais aussi que je regarde à nouveau la série en partie à cause de lui, 

phrase tirée du Nous de Tristan Garcia que je relis par rapport au livre de Mélanie Leblanc "La seule fin de nous c'est l'état suivant",

 le livre de Garcia parle plutôt de la question indicatif et identitaire ou revendicatif  du Nous, ce que veut dire Nous au sens politique, Nous chez lui est toujours ( vite dit) de l'ordre de la séparation, presque une ligne, ( ou un trait), c'est toujours ( vite dit ) quelque chose d'incomplet ou d’imparfait et donc en construction, quelque chose à venir,

mardi 28 mars 2023

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piqué ...

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sur  Hrair Sarkissian   où ... (je ne sais pas si j'aime, le sentiment de quelque chose un peu trop je ne sais pas quoi, une sorte de prêt à exposer ), 

sur Internet Archive un livre de Michael Snow : a survey, , (découvert sur Kg)... 

sur Bill Brandt ...

dimanche 26 mars 2023

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 c'est une piste de réflexion comme une autre, je repense à ce Nous de Mélanie Leblanc, un Nous dont je n'arrive pas à formuler clairement ce qu'il est, (un Nous qui se retourne sans cesse sur lui-même tel une sorte de module)  je dis signification ( j'avais d'abord écrit signification plus haut) mais je ne suis pas certain que ça soit ça, je ne suis pas non plus certain d'aimer son livre, plus exactement je l'aime de plus en plus, je n'aime en tous cas aucun des autres, ceux que j'ai pu parcourir dans plusieurs librairie depuis, je n'aime pas son dernier non plus, ( Encrer l'invisible), je n'aime pas les livres faits de pensées profondes. Curieusement je fais une recherche par rapport à une phrase "Nous ne regardons pas le visible mais l'invisible", phrase entendu dans un épisode de The Walking Dead lors d'un enterrement, c'est dans la lettre aux Corinthiens, (2 4 18) et dans cette lettre aux Corinthiens  il y a ce Nous ( qui est peut-être plus un Nous  version Tristan Garcia) qui apparaît continuellement, je parlais dans le post consacré au livre de ce Non de Oliveira et dans la lettre aux Corinthiens il y a : En effet, pour toutes les promesses de Dieu, c’est en lui que se trouve le « oui », évidemment j'imagine qu'elle ne connaît pas le film d'Oliveira, et surtout c'est moi qui avait pensé à ce Non, parce que je savais ou me disais que ce Nous était proche de ce "oui" d'Oliveira, ( la question n'est pas de savoir si quelqu'un d'autre que moi comprenne ce que je veux dire, il s'agit bien ici d'un post personnel, d'une interrogation personnelle), ( je rappelle aussi que je ne suis pas croyant du tout), je crois que chez elle ce Oui qui n'apparaît que sous la forme du Nous est bien le Oui à la vie ou quelque chose comme ça, une sorte de chant de Oui si l'on veut, même si mal dit là tout de suite, 

un Nous qui au fond est une sorte de principe, le US presque, ( au sens MU d'Ozu), ( pas littéral), ( au sens principe quoi), 

- tout de nous, (qui inclue donc des parties), 

- pas certain après réflexion que ce soit les US, plutôt un état, une essence, 

dimanche 19 mars 2023

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 dans l'épisode 14 saison 4 de The walking dead, la gosse qui refuse de tuer des rôdeurs et l'épisode autour de ça, et qui refuse de les considérer comme morts, je ne sais pas si on est proche de Bresson, dans l'épisode 12, cette sorte d'histoire d'amour, et cette séquence avec l'actrice un moment, qu'est-ce qui se passe, comme si en une demi-seconde une immense actrice apparaissait, 

>> l'exécution ... 

>> la séquence autour de la table juste après ... 

je ne sais pas s'il y a plus poignant épisode que celui-ci... 

vendredi 17 mars 2023

lundi 13 mars 2023

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 j'ai d'autre liens à mettre en ligne et je commence par celui  sur deux livres d'Alexander Kluge et Gerhard Richter, trop fatigué pour faire plus ce soir, 

un lien à propos de l'expo Les immatériaux que je ne connaissais pas ... 

" Superman return mettait en scène le retour de Superman sur Terre après avoir été porté disparu pendant cinq ans. La séquence d’ouverture originale durait cinq minutes et montrait le héros visitant ce qui restait de sa planète natale, Krypton. La scène, lente et contemplative mais visuellement époustouflante, a coûté environ 10 millions de dollars. Cependant, elle n’était pas grandiloquente et excitante, c’est peut-être pour cela qu’elle a été coupée par les producteurs", 

recherche Google images Henri Rivière ...

samedi 11 mars 2023

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 quelle saloperie Maîtres anciens adapté par Amalric je me dis, en faire quelque chose d'aussi narcissique et fun, alors que tout chez Thomas Bernhard pue l'associabilité et la rage, nous ne sommes plus dans la haine mais dans une sorte de voyeurisme chic et rigolo face à un type un peu farfelu et satisfait de lui qui s'écoute comme face à une sorte de miroir devant lequel il se rêve en associal alors que ce n’est que narcissisme tendance lycée, autosatisfaction béate, et du comédien, et du réalisateur, nous sommes dans une sorte de quelque chose de l'ordre de l'inversion revancharde je me dis, c'est à dire c'est le public lecteur spectateur qui tient enfin sa revanche, ridiculisant le narrateur c'est à dire Thomas Bernhard,  film aussi dégueulasse au fond que l'horrible Amant de lady Chaterlley de Ferran, le film de Ferran était de fait la version du mari, le film d'Almaric est la version des "victimes" de Bernhard, l'ignominie de la douceur des voix pff, (je revois des séquences deux jours après, je remarque alors que l'on s'attend à entendre des rires, qu'il ne manque que ça, nous sommes bien dans l'esthétique du one man show, mais du One man show pour public choisi bien entendu, vulgarité absolue et impardonnable, pour eux Thomas Bernhard est au fond leur Djamel ou leur Palmade, à chacun son Pierre Palmade on se dit), la musique, bref,  Thomas Bernhard devrait leur glacer le sang je me dis, mais ils arrivent à faire en sorte  à ce qu'ils ne suscite que le rire, rajout>> téléchargé trois film français encore, le Civeyrac, pathétique téléfilm qui se voudrait aussi ample qu'un film disons de Douglas Sirk et n'est même pas au niveau d'un téléfilm produit par M6 ou Rtl, film qui nous humilie à chaque seconde par sa prétention et sa nullité, plans larges et musique classique comme on dit il veut nous faire passer des vessies pour des lanternes, le Serra juste un peu mieux mais pas beaucoup, (au moins on est pas dans l'humiliation), le comique Saint-Omer, théâtre filmé façon Ortf, bref bref bref, comme on dit aussi Kill Kill Kill ...  

( et tout ça en une journée )...  ( mais pour regagner du ratio sur KG)... 

>> le film de Laurence Ferreira Barbossa J'ai horreur de l'amour, je crois, avec ce comédien si sublime dans le film, Jean-Quentin Châtelain...  

le 15 février j'écrivais ça: "note: il serait intéressant de voir ce qu'ils aiment ceux de la bourgeoisie cultivée lorsqu'ils citent Thomas Bernhard, aiment-ils La cave, Les mange-pas-cher ou aiment-ils justes certaines pièces de théâtre ?  ( déjà lire un roman de Bernhard leur réclamerait un effort), ils aiment l'aura de Bernhard, comme maintenant on aime les Straub, je me dis c'est la même chose que les gens qui "relisent" Proust " ...

et on se rend compte au fond que Thomas Bernhard c'est la version brutaliste de Marcel Proust je me dis, 

et qu'Almaric aurait mieux faire de regarder Voix Spirituelles de Sokourov avant de faire son film...


mercredi 8 mars 2023

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 c'est ce que c'est ( mignon quoi)  mais c'est de Mélanie Leblanc, ne suis pas certain cela dit qu'elle fasse un jour mieux que son livre dont j'ai parlé plus bas, tellement elle semble loin d'une certaine culture littéraire disons moderne, ( voir son compte Facebook pour comprendre), 



samedi 4 mars 2023

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 note pour plus tard, je n'arrête pas de me demander pourquoi je ne connais aucun écrivain étranger actuel, et pourquoi je ne connais aucun photographe étranger ou artiste étranger, (de moins de 50 ans), via Jon Jost je découvre une maison d'édition, , je ne parle pas des gens très connus, (j'ai bien vu aussi qui ils éditent),  je ne connais aucun photographe étranger intéressant, ni aucun écrivain étranger intéressant, je veux bien dire par là  que ceux que je ne connais pas ne traversent pas l'atlantique ou autre, qui connait un écrivain ou photographe ( et aussi cinéaste) Allemand pas exemple, je ne connais que les écrivains ou photographes que tout le monde connaît, évidemment j'en connais quelques uns non traduits, je sais aussi que le poème le plus célèbre ou l'un des poèmes les plus célèbres au monde n'a jamais été traduit en français, nous n'en connaissons qu'un vers ( a rose is a rose is a rose ), je me dis est-ce qu'en france le travail est vraiment fait, je ne sais pas, et je n'ai pas non plus le sentiment que les grandes institutions étrangères fassent [aussi] ce travail, je sais que tous les artistes étrangers que j'ai découvert, je les ai découvert réellement pas hasard, je veux dire par là que ce n'est jamais par le biais de la presse ou d'une institution, et j'exagère à peine, 

il y a bien sûr Kate Tempest, (mais je ne suis pas convaincu par ses livres), 

mercredi 1 mars 2023

(...),

 je n'ai pas terminé le post plus bas sur les avants-gardes etc, mais je me dis qu'on imagine bien un truc comme ça au Palais de Tokyo, enfin lorsque je dis on imagine, c'est justement l'inverse, on n'imagine pas du tout, le mot avant-garde n'est pas forcément le plus approprié, et ici et dans le post plus bas, c'est plus un mot valise pour dire que tout ce qui perturbe ou peut perturber semble disparu actuellement, 

ma grande découverte des derniers jours est ce livre "Le manifeste du nous" de Mélanie Leblanc, j'en reparlerai, ( au ton assez proche de Gertrude Stein, de son livre Ida qui vient d'être réimprimé, ( et qui n'est pas Ada)),  une sorte presque de langage insurrectionnel, de scansion naïve, une presque niaiserie, quelque  chose  de puéril, ( ne fais pas l'enfant dirait Gradgrind), une sorte d'oralité, je le dis mal, lus avant d'être écrits, insurrectionnel aussi parce que nous devons nous-mêmes aller vers une sorte d'innocence pour lire le texte, je ne parle pas de ce mot si beau dans le livre, ce Nous, ( qu'on pourrait presque comparer au Non d'Oliveira), ( je me comprends si),

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« Warhol peint une réalité d’où a été exclue toute notion d’identité. » pour cette phrase cela rejoint ce que je me disais par rapport au ro...