(...)

 je ne connaissais pas cette version, là, je peux dire comme ça que c'est une version surprenante, enfin plus que sublime,  là aussi... 

(...)

 

(...)

 sublime photo qui n'est par ailleurs peut-être pas une photo je ne sais comment le dire à visée esthétique ou artistique ou plasticienne, c'est dans le dernier Art-press, dans un article à propos du travail de Jeanne Vicerial, on aurait pu penser et je l'ai pensé un instant que c'était une photo de Tillmans, ( et cela tombe bien puisque mon prochain post lui sera sur une de ses photos justement par rapport à un truc de doute), la photo enregistre juste un processus de création technique, la légende indique "table mécatronique de tricotissage", je n'ai pas lu l'article, je n'ai rien lu ou vu de plus que ce qui est dans ce post, ce qui est beau dans la photo c'est qu'au fond c'est une demi-photo, (une photo en train de se faire, pas terminée,  enfin on peut voir ça comme ça, comme si la photo était coupée soit en deux, (...)  ou comme si le volet de l'appareil n'était pas encore rabaissé), je veux dire un processus est bien quelque chose en cours, est-ce qu'on enregistre donc du temps pur ou autre je me dis, à suivre après 

ou aussi comme si la l'objet de la photo était indépendante d'une certaine manière, indépendante de la   photo, je me dis le processus c'est quelque chose de complètement indépendant, 

on photographie quelque chose en train de se faire, et cette chose continue, et cela continue hors de la photo, indépendamment de celle-ci, mais pas je crois hors-champs, on a photographié un moment, mais pas forcément du temps, je ne sais pas, 

tout est là on se dit et en même temps il manque quelque chose, et ce quelque chose c'est le processus, c'est le temps, enfin il ne manque rien de cela, il manque quelque chose et il y a de ce fait quelque chose qui est la , et ce quelque chose qui en résulte est le processus et le temps, 

c'est à dire que nous n'avons pas la totalité de la finalité, nous ne voyons pas l'ensemble, 

nous ne voyons pas la photo finie et pourtant la photo est là...

on pourrait se demander comment serait la photo finie, ( puisque à priori c'est la création en gros d'un morceau de tissus un truc comme ça), je veux dire par là qu'il n'y a pas de possibilité de voir quelque chose de terminé, là beauté de la photo vient qu'il n'y a rien de tangible, (je ne suis pas certain du mot), 

après on pourrait se demander ce qu'est  une demi-photo, est-ce que ça existe, est-ce qu'on photographie quelque chose à moitié, et quelque chose qui n'existera jamais surtout, est-ce qu'on photographie la table, le processus, le tout, le truc en train de se faire, et lorsqu'on photographie le truc en train de se faire, et qu'on ne verra jamais le truc en totalité, et qui serait de plus à un autre endroit, 

la photo d'après sa légende représente une table, 

(...)

 

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 via les Sopranos là pour ce film de Barbara Streisand...  pas vu le film, 

(...)

 via un article de Libé, sur l'expo Le vent au Havre... là...  

et du coup là ... et  là ...

(...)

un film de James Benning que je n'avais jamais vu, là, ( enfin si je l'avais vu mais je n'en garde aucun souvenir), ( tout au moins téléchargé me dit KG), 

trouvé ce film là, là-bas aussi, regardé quelques images en diagonale, 

désolé pour toutes les vidéos pornos qui entourent les films mais on ne peux rien y faire, je ne connaissais pas ce site (mat6tube) l'avantage est d'y trouver des films très rares...  ça semble être un site majoritairement de vidéos pornos et des petits malins se sont peut-être dit que c'était l'endroit idéal pour passer inaperçus ... 

en cherchant sur le web je trouve ce lien là qui semble dire que le site est sécurisé...

clip sublime voix sublime etc là... il y a aussi cette vidéo là, on dirait des vidéos réalisées par des artistes plasticiens... 

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 Le jeu des perles de verre, d'Herman Hesse, n'en avais étrangement jamais entendu parler... là...

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 arrivé hier, me semble plus que sublime ... plus précisément (rajout) plus intéressant que sublime,  bref je n'ai pas aimé ... 

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 expo Michael Snow ! (là)...

rien à voir mais je me comprends, là...

 trouvé chez Claude Levêque, là...

là chez I R ...

et là je ne sais pas du tout...

là aussi ...

(...),

 je l'avais posté sur Facebook l'année dernière, c'est le dernier film que j'ai vu à Point ligne Plan, c'est surtout un film sublime...  

là, 

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 par rapport à un post (là)  de designingwriting là ...

sinon j'aime bien cette description et du coup j'ai commandé le livre, je ne dis pas que je ne connais pas Robert Coover mais je l'avais totalement oublié, je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas du tout non plus si j'ai déjà lu un livre de lui mais j'imagine que oui  >>  "Le recueil de nouvelles Demandez le programme ! (A Night at the Movies, 1987) contient You Must Remember This, récit à propos du film Casablanca, qui décrit de manière explicite ce que Rick et Ilsa font quand la caméra n'est pas sur eux"...

c'est apparu dans mon fil, là...

(...)

 sur la traduction Japonaise du livre de Perec La disparition là...

(...)

 

je poste juste cette copie d'écran mais j'aurais pu en poster 5 ou 6, bon, je n'ai aucune copie de la série, et je crois qu'on ne la trouve plus en ligne... pff ...  (la vie est dure)... 

(...)

 une certaine sorte de cinéphile là...

(...)

 

vu un extrait suis pas très certain mais...

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Sopranos S1E3...

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( Richard Long), 

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 The white lotus saison 2, saison ultra chiante on se dit et qu'on ne peut regarder bien souvent qu'en accéléré et pourtant une des plus belle séries qui soient, la saison 1 était très belle, la saison 2 est au delà du sublime, à partir de quand on s'en rend compte je ne sais pas mais assez vite, est-ce que l'on est dans quelque chose de Carverien, pour le côté maudit oui, ( sinon non), il faudrait s'entendre sur le côté maudit je me dis est maudit celui qui est en introspection, qui est conscient de quelque chose, qui est conscient que quelque chose ne va pas, chez Carver on est conscient de ses actes, ( si peut-être pas de soit-même etc)...  il faut évidement prendre le therme Carverien pour quelque chose de presque philosophique je me dis, 

est-ce leur introspection est quelque chose qui a à voir avec une idée de perfection personnelle on se dit, et à part la pute brune, chacun ne réfléchit au fond qu'à son propre confort, il faudrait peut-être parler de réflexion alors, la pute brune (Lucia) étant la seule à dire un moment, après donc une introspection presque subite, qu'elle ne veut pas devenir millionnaire, que ce qu'elle fait au fond ce n'est pas elle, (étrangement on retrouve ce même questionnement et antagonisme de pensée dans The wire avec les deux toxicos), puisque la seconde pute elle reste sur une certaine position, etc etc, chaque personnages doutent mais doutent effectivement par rapport à une sorte d'amour d'eux-mêmes ils doutent par égoïsme on se dit, ou s'introspectent par intérêt, ( 

maudit car conscient de vivre quelque chose en direct, quitte à ce que cela soit autrui qui le voit, ( autrui chez Carver étant vite dit Carver lui-même), 

étrangement par exemple dans l'épisode 4, on pense très fort à Avary,  

qu'est-ce qui me permet de dire que la série/la saison 2 est sublime, je pense à la phrase sur Bonjour tristesse de Sagan, (phrase lue ce matin dans le journal), est-ce que la série est une énorme réflexion sur la tristesse, ( mais chose pas suffisante pour en faire quelque chose de sublime), sur la désillusion  ou le vide existentiel ? la mise en scène on se dit est celle d'un film avec John Malkovitch, presque n'importe lequel, surtout au fond celui d'Oliveira... 

et presque de l'ordre du comte on se dit, 

le casting absolument sublime avec l'idée de prendre le neveu de Tony des Sopranos ( je ne connais pas son nom), je ne sais si cela apporte de la profondeur ou de la tragédie ou autre, ou de l'imprévisibilité, qui en fait quelqu'un de totalement désemparé, ( en provenance étrangement de chez les Coen et de chez Spike Lee), ( même si pas le même acteur),  presque une sorte d'opacité Mizoguchienne on se dit, 

désemparé ou dépassé mais tout le monde est dépassé, 

l'épisode final est bidon sinon mesquin...

(...)

 il faudra que je télécharge Une histoire du vent, mais je n'en ai pas un très grand souvenir, il y a ce film de lui aussi sur la pluie là, ou là, je pense que la version avec la guitare apporte quelque chose de plus que l'autre version qu'on l'aime ou pas, il y a aussi ce film là,