jeudi 27 avril 2023

(…)

 Sur « l’expo » de Cyprien Gaillard , et relire ce que j’avais dit il y a quelques mois sur son expo ainsi que sur celle de Marine Hugonnier, ( entre autre post du 12 nov)  deux expos à mettre en parallèle à une interview de machin et machine ... 

L’article n’est pas très bon, (rien à foutre de Guy Debord par exemple), ( écrivain devenu une sorte de place du Tertre à lui tout seul), 

En cherchant tout autre chose je découvre l’existence de Melvin Way, on peut consulter un catalogue ( et l’acheter ce que j’ai fait hier ou avant-hier ), 

Via Kg je découvre ce film de Nicolas Klotz dont je n’avais jamais entendu parler, film d’une certaine façon moins bien que la bande-annonce ou l’inverse, je ne sais pas, film radical mais dont on ne sait s’il il raté jusqu’à être un navet ou l’inverse aussi, il me fait penser au film Quatre dont j’ai parlé si souvent ( réalisé par je ne sais plus qui ( je regarderai à mon retour ce soir), 

Je me rends compte qu’il n’y a pas de fiche Wikipedia en français  sur Bill Owens, photographe 1000 fois plus intéressant que Robert Adams (dont je n’aime ( je parle du livre que j'ai entre les mains) qu’une photo), je ne sais pas si j’irai plus loin à propos des deux 

Ma dernière photo d’église qui je crois doit presque tout à un texte d’Arnaud Claass, ( je n’en parle que par rapport à ça, c’est ce qui la sauve d’ailleurs, le fait que j’ai lu son livre), peut-être ce texte à propos de la femme montant dans un bus, ( ou descendant), 

( photo mise en privée depuis), 

 p 129 du même livre  il manque un i …

est-ce moi qui ait inventé ( il y a environ deux ans à propos de ce film Égyptien)  l’expression qu’un film vous veut du mal ou l’expression venait d’encore plus loin sans que je ne m’en souvienne ? 

mercredi 26 avril 2023

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 dans Libé ce matin interview de Wissam Charraf: 


la question était 


qu'ils en prennent de la graine les franchies ...




dimanche 23 avril 2023

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j'ai de nouveau ajouté quelques films , et très curieusement un film de Benoit Jacquot mais que j'aime plutôt bien,  ( je dois aussi encore ajouter un film de Philippe Parreno), 

un très beau texte  de Judith Lou Lévy sur le confinement,  , 

sur L'Etabli de Robert Linhart ... 

un texte de Georges Didi-Huberman sur Chronique des sentiments d’Alexander Kluge , ( j'ai acheté le second tome samedi),  un entretien avec Kluge pour une revue et , revue que je ne connaissais pas mais dont je me méfie très fort: tombé immédiatement sur un texte du complotiste mehdi belhaj kacem et sur tout un dossier pro anti-vaccin etc ( je n'ai pas encore regardé les deux vidéos à cause de ça), et de manière générale style puant...

en cherchant autre chose je suis arrivé ,  (et du coup aussi)...

(je devrai aussi parler de ce film horrible d'Alain Fleischer mais j'ai un peu la flemme, on verra demain), on peut regarder le film de Valérie Jouve comme contrepoison  , puisque c'est le même principe au fond que pour le film de Fleischer, sauf que chez lui ça tourne à vide, que cette vanité produit quasi de l'obscénité, les plans sur la foufoune de la nana sont totalement prévisibles, ils le sont parce qu'il n'a pas le choix au fond, son film ne pouvant produire que cette obscénité, et l'obscénité étant de déshabiller une fille pour faire genre, et ne la faire exister que par ça, et on a envie de dire, ce qui n'aurait pas été obscène aurait été de filmer le sexe de la nana frontalement, de faire un gros plan, ce qu'il ne fait pas, c'est à dire qu'au fond il ne regarde même pas la fille, ou ne sait pas la regarder, 

Il filme le sexe de la fille comme il filme le château où a été tourné India Song, de trop loin et sans que ça fasse fiction ou quoi que ce soit, juste il essaie d’en capter l’aura ou le scandale,  mal dit, il ne rentre pas dedans ni ne s’en approche, ni ne s’en approche assez, on pourrait presque dire qu’il se promène devant quelque chose qui lui est fermé, ( psychanalyse de bazar), ( je referai le passage) ou qui lui est étranger, film sans fiction,  Duras pourrait dire il filme un sexe mais ne le pense pas, 

C’est important je me dis qu’il ne filme que l’extérieur du château, d’une parce qu’il ne s’agit évidemment pas de son film, ( au sens il filme quelque chose qui ne lui appartient en rien), de deux que revenir véritablement sur les lieux mêmes serait je me dis quelque chose qu’il ne peut envisager, il ne peut hanter quelque chose comme ça on se dit, il ne peut hanter le film de Duras, il ne peut et n’en a pas eu le courage ni la poésie, il ne filme que le signe, (en pensant que c’est suffisant pour en avoir une part), ( avoir une part du gâteau quoi)… ( du vampirisme quoi)…  il n'a pas su je me dis en faire un lieu fictif, (expression piquée chez Didi-Huberman dans Génie du non-lieu), 

assez impatient pour Tacita Dean sinon (bien évidemment) ... 


Ça me troue le cul là :





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samedi 22 avril 2023

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 par rapport à l'article de Camille Nevers dans Libé.. ( making off du film d'Akerman),  par rapport à un autre article de Libé je tombe sur cette chaîne , l'ensemble des lettres de Kafka à Felice Bauer, vidéo par vidéo, ce qui est beau c'est le manque d'effets, la nana bredouille, trébuche, se reprend, lit mal, et c'est sublime pour ça ... 





mardi 18 avril 2023

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 je ne pense pas aimer ce que fait Eric Rondepierre mais l'article est disons informatif ()...

par rapport à une phrase d'Arnaud Claass , et ...

pourquoi je n'aime pas les dernières photos de Lynne Cohen, celles en couleur, dans l'absolu parce que c'est de la photographie coloriste, presque anecdotique, c'est une photographie de clin d'œil, les portraits de Fayoum me donnent en partie la réponse, parce que l'humain n'y manque plus, il est toujours absent mais ne manque au fond plus, il n'y a plus d'absence, il n'y a plus ce sentiment de latence ou d'attente, la construction de la photo est entièrement autour du coloriage, ( il n'y a plus de pensée quoi), il n'y a plus de temporalité, l'espace n'y fait plus sens, on est au fond passé des Becher à Cartier-Bresson je me dis, au sens chasser le détail etc, alors que nous étions auparavant dans quelque chose proche de la sculpture, avec ses photos en couleur elle cherche à capter notre attention, 

si j'ai bien lu elle aurait fait plusieurs films, (pas trouvé sur KG), , 

Necesito de Dominique Bagouet , So Schnell , Désert d'amour ...

lundi 17 avril 2023

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Pas compris, on demande aux entreprises françaises de quitter la Russie et on y distribue des films ? Je me demande ce qui m’a échappé… 

et noter le nom du gars qui vient d'être condamné à 25 ans de prison, Vladimir Kara-Mourza... 

( j'ai retiré mon avis personnel sur le film)



et par exemple aujourd'hui 






vendredi 14 avril 2023

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journal, brouillon, 

portraits funéraires du Fayoum   et

 Que tout le monde en prenne de la graine

( il doit y avoir un lien YouTube pour la vidéo mais je suis avec seulement mon téléphone et).

Ça me fait revenir à là grand commande photo, la bibliothèque nationale a mis en ligne quasi l’ensemble des 2000 photos, , j’ai essayé d’être de bonne volonté mais je n’ai pas vu une seule photo intéressante, quelle  paresse on se dit, quelle nullité, ce n’est même plus de l’ordre de l’accident industriel on se dit mais de l’ordre de l’escroquerie en bande organisée*, 

on se dit aussi deux choses, ils pensent que la réussite technique d'une photo est une photo, ( bien éclairée quoi), seconde chose, ils pensent que la réussite esthétique d'une photo produit une photo documentaire, je parle de réussite esthétique au sens quasi publicitaire, (une composition esthétisante quoi), ( j'ai une photo bien précise à l'esprit),  pour bien se rendre compte il faudrait imaginer une commande identique pour le cinéma avec comme résultat un appel essentiellement aux publicitaires et aux directeurs de la photo, il s'agit bien avant tout, chez eux, de bien éclairer une photo, ce qui marque je me dis pour disons 195 photographes sur les 200, ( je ne sais pas qui seraient les 5 autres en fait) c'est la pauvreté intellectuelle on se dit, limite analphabétisme profond, leur imaginaire manquant, l'ambition introuvable,  personne ne réfléchit je me dis, personne n'a une idée de ce que devrait être une photo, personne ne rêve même de cela, et la finalité ce sont des photos dignes d'un journal municipal, (voir celles d'Aglaé  Bory), ( soit-disant une photographe avec une haute ambition esthétique ),  et je mets au défit quiconque de me trouver une seule photo dont on peut dire qu'il y a une pensée dedans, qui dégage la moindre pensée je me dis, j'ai déjà écrit tout ça je me dis, c'est fou que la photographie française ne provoque que de la redite et de l'ennui, on ne peut que répéter nul c'est nul comme c'est nul, c'est vraiment nul, ces gens sont nuls ... ces gens nous rabaissent on se dit, leur nullité nous rabaisse, leur nullité nous humilie...

disons l'expo Les vies qu'on mène c'était pour ainsi dire une mise en bouche, on est passé avec la grande commande photographique de la nullité française pour ainsi dire artisanale à la nullité française industrielle ...   Tendance floue a métastasé on se dit, avec la bibliothèque nationale, avec la grande commande photographique le cancer est généralisé...  on se dit Tendance floue (eux) a institutionnalisé la médiocrité, l'a fait pour ainsi dire entrer au musée, on se dit c'est comme si on parlait de la baguette française, ils ont fait entrer la médiocrité [photographique] nationale au patrimoine universel ... disons pour Tendance floue, la nullité ou la médiocrité est un art de vivre … 

un exemple () de quelque chose de pas terrible du tout mais même pas en rêve pour les 200 moins que rien, ( disons 195), 

l'écart entre lui et eux ...  ( il y a un diaporama en bas de page), 

de l'ensemble Sylvie Bonnot émerge, et Williams Daniels, ce qui ne veut pas dire que je sois fan non plus, je referai un par un peu à peu, (enfin peut-être), 

* tu as l'impression que la plupart ont refait le coup du facho Jérome Sessini et qu'ils sont partis avec la caisse, que l'argent a été utilisé pour refaire la cuisine ou pour les vacances qu'autre  chose tu te dis, (pour Sessini je remettrai peut-être les captures d'écran de son compte Twitter où l'on s'aperçoit qu'il est abonné à un max de comptes de l'extrême-droite Zemourrienne)...   ( le front national n'étant pas assez à l'extrême-droite pour lui on imagine),  (à noter que plusieurs semblent carrément ne pas avoir rendus de photos)... ( et deux ou trois autres avoir pioché dans leurs disques durs), (la question peut se poser par exemple pour d'Agata même si on peut se dire pourquoi pas), ( au sens pertinence), la question sans réponse étant est-ce une escroquerie ou pas, je sais que Sessini lui a escroqué les gens pour l'expo Les vies qu'on mène par exemple .... 



jeudi 13 avril 2023

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 après le Palais de Tokyo l’extrême-droite s'attaque au Jeu de Paume on dirait...







mercredi 12 avril 2023

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 expo sublime de Lynne Cohen à Beaubourg...








(à un moment je me suis dit que certaines photos étaient assez proche de Bertrand Lavier) :





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c'est fou tout-de-même l'importance qu'a eu Kuhe pour certaines personnes je me dis (par contre je ne sais pas pourquoi vous imaginez que je ne vous aime  pas Guillaume), et sinon la traduction c'est Vaches en demi-deuil et pas en demi-teinte, origine , (machin super intéressant par ailleurs et que tout cinéphile devrait regarder)...








mardi 11 avril 2023

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 pas pu m'empêcher de les mettre ensemble. Est-ce que j'ai envie de savoir ce que pense Stéphane Bouquet de la poésie?  ( Bouquet étant une des plus grosses merdes qui soit). Est-ce que l'on imagine que Pascale Cassagnau pense la moindre chose intéressante sur la poésie je ne sais pas, je ne sais d'ailleurs pas pourquoi une chef de bureau se retrouve interrogée sur la poésie, ni d'ailleurs plusieurs quasi analphabètes, (il y a des mecs dans la liste je suis absolument certain qu'ils n'ont pas lu dix livres dans leur vie) ... Nicolas Comment? non mais allô quoi. Pascal Beausse? ( autre chef de bureau)...   Je préfère me taire sur Massera... l’ai feuilletée dans une librairie, au delà du catastrophique est un euphémisme rajout du 21… 









(...)

 


samedi 8 avril 2023

(...),

 ce plan assez beau dans Deux moi de Cédric Klapisch, ( toute proportion gardée) ( le second est plutôt un plan de coupe) le ton benêt du film assez insupportable ...  mine de rien personne ne semble faire de plans ( disons documentaires) comme ces deux là dans le cinéma français, et en fait même les photographes français ne savent pas le faire, ou ne veulent pas, ( disons qu’ils sont dans l’incapacité intellectuelle de le faire même d'y penser ou de le vouloir), c’est d’ailleurs assez intéressant de regarder le compte Instagram de la grande commande photo, () , et observer que sur 2000 photos il n’y en a que trois ou quatre de vaguement intéressantes ou moins honteuses que les autres … ( et encore sans que cela soit volontaire on se dit), 


le budget décoration a dû être énorme on se dit ( plus important que la mise en scène) ... la fin est ce qu'il y a de mieux dans le film, ( film que l'on regarde en diagonale)  pas une fin ouverte, pas une fin qui nous laisse imaginer la suite mais une suite à écrire peut-être,  enfin si une fin ouverte, rajout, 







mercredi 5 avril 2023

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 Journal, brouillon, voir aussi    et ...  ( et aussi tiens)...



Penser à refaire le post (le choc face à ce livre fut tel que je ne suis pas allé jusque là encore, j’étais ( et suis toujours d'ailleurs) en face de quelque chose d'incompréhensible, en gros l’invention française d’une expression à la Whalt Whitman, c’est à dire l’invention presque d’une langue, une langue vidée enfin de sa charge ou mémoire pétainiste), 

d'une certaine façon le livre le plus proche de celui-ci pourrait être Le savon de Ponge, ou quelques autres textes de lui ... 

 ( le dernier livre d’Arnaud Claass est aussi de cet ordre, ( en cours de lecture et en pause aussi), ( livre qui m’épuise de façon identique, ( identique mais pas à la Whalt Whitman) , Claass est dans la précision, je n'aime pas ce que lui aime, je déteste même, mais presque toujours j’aimerai ce qu'il dira d'une photo, je suis assez d'accord avec ses dégoûts, ou avec ses définitions, ( ce que les choses doivent ou devraient être) Claass apporte une définition des choses ou des mots je me dis, on est déjà dans la description sensible ou poétique du monde, certaines descriptions de photos sont plus proches d’une définition conceptuelle de la photo, proche de Douglas Huebler ou Laurence Weiner on se dit, des photos reinterpretables, et par exemple Poivert lui est dans la hiérarchisation, mais une hiérarchisation institutionnelle, sans risques,  ( disons qu’ il se contente d’écrire des préfaces de catalogue d’expositions), je suis plus d'accord avec ses goûts qu’avec ceux d’Arnaud Claass mais il ne m'apporte rien, aucune ligne chez lui ne m'importe, aucun mot n'est important, il hiérarchise les choses je disais mais dans le réel on voit les merdes qu'il promeut, c'est au fond de l'ordre de la voix de son maître on se dit, le maître étant l'institution etc, (ce qui est acceptable et accepté pour les dimanches en famille on pourrait ajouter), mais chez lui nulle pensée par rapport à quoi que ce soit, (voir l'horrible livre de ou sur Valérie Jouve), ( une des choses les plus honteuses de l'année),

  Claass disons c’est une langue d’hypothèses, (rajout), 

 (par exemple, je reparle du livre de Claass je me souviens qu’à sa lecture le sens d’un mot que j’employais  que je m’apprêtais en employer à nouveau en fut changé, et je me souviens vaguement d’une impossibilité totale à l’employer ensuite pour un truc bien précis),   ( ce que j'aurai dû noter mais ne fis pas par fatigue etc), 

A l’instant en passant devant une vitrine, une gosse parle à une paire de chaussures, je me dis il s’agit bien de ça pour Mélanie Leblanc, non pas parler à une paire de chaussures évidemment, mais de revenir presque à un état initial de la langue, un état effectivement presque de l’enfance, (pas certain que ce soit le mot, c’est pourquoi initial est mieux), c’est pour ça que je parlais de Gradgring plus bas, elle parle elle-même de liberté, une langue pas encore touchée, ( alternative: non retouchée) ou indigène presque, 

mais de se donner le droit de parler à une paire de chaussures... 

Un état avant Gradgring,, 

Mais de toute façon je me dis, ce n’est pas ça, ou pas ça seulement, il ne s’agit pas seulement d’une sorte d’enfance de la langue, mais de paysage, de Whalt Whitman, 

Étrangement je pense toujours au mot paysage, 

Se demander si Guyotat ce n’est pas cela qu’il recherchait, 


le compte instagram d'Alain Bublex ...

aussi sur une radio Russe fantôme ...


(...)

« Warhol peint une réalité d’où a été exclue toute notion d’identité. » pour cette phrase cela rejoint ce que je me disais par rapport au ro...