- Khayal Gatha de Kumar Shahani, film plus que sublime, là, bande-annonce là d'un autre film que l'on ne trouve pas en ligne mais sur Kg,
films hallucinants de beauté, hypnotisants de beauté,
- Burning Spear là, - John wick 2 > ce film d'Orson Welles, ( je préfère John Wick, je n'aime pas Welles), - les romans-photos de Pierre Alferi là, - une interview de Dreyer là, - sur Une fille de pasteur d'Orwell là, livre sublime, (en cours de lecture), - sur "a Handful of Dust" de David Campagny là, livre sublime, (et acheté il y a quelques pas mal de temps),
Viennale-Trailer 2008: Une Catastrophe (by Jean-Luc Godard) là ,
Sur des photos sublimes d'Anselm Kiefer là, Le chien, le monologue intérieur si beau du chien dans l’épisode 3 de Lessons in chemistry, (la série est très mauvaise, même si quelque chose surnage de ça, le visage de l'actrice etc), "la verticale est infinie" (Didi-Huberman), je me demande s'il n'y a pas une erreur dans la série, les nymphéas sont au musée de L'orangerie, pas à Orsay non ? je me dis que l'omniprésence des graffitis doit probablement être dû à l'incompétence totale de l'équipe de décoration française, (genre on va mettre des graffitis partout ça fera fin du monde, ça fera Americain ils se sont dits (copyright Tati), ( ben oui t'as des zombies au cul mais tu t'arrêtes pour peindre les murs t'as que ça à faire) )>> l'absolue dévitalisation des acteurs français dans la série, la question pourquoi les acteurs français ne sont jamais crédibles, pourquoi on se dit ça rejoint la photographie, pourquoi on n'arrive pas à photographier la france, (un des seuls qui y arrive vaguement est Guiraudie dans ses films), ma réponse qui est ce qu'elle est, le pétainisme qui a infusé le pays entier, ou l'esprit du pétainisme, par exemple tu regardes les photos de la grande commande tu vois clairement que le fantasme (ou un autre mot) est le pétainisme, tu vois les photos de Bagarry et ses petits vieux et tu sais d'où ça vient et où ça ne peut et ne veut que venir, (chez elle c’est en guise d’imaginaire la France cassoulet tu te dis), tu vois que c'est ce qui a infusé, il n'y a pas de culture française, il n'y a que Pétain je me dis, il n'y a aucun paysage [photographié] qui ne pense à Pétain on se dit, l'imaginaire national entier est colonisé par ce type, les acteurs étant les plus représentatifs de ça, (quels sont les acteurs français les plus populaires), ( et aux USA), tu entends les voix des acteurs français dans la série, ce sont des gens vides, morts, creux, ils n'incarnent rien, (cette voix blanche sans intonation que tu retrouve un peu partout dans les films français , ils n'incarnent aucun imaginaire, la seule incarnation française est l'extrême-droite on se dit, enfin façon de parler, nous voyons les acteurs français et nous savons qu'en guise d'imaginaire ils ne votent que pour l'extrême-droite, même la série n'a pas réussi à dépasser et surmonter cela on se dit, l'esprit ou l'essence pétainisme des acteurs, on france on se dit, c'est devenu génétique, évidemment le pétainisme ne fut qu’une sorte de suite française on se dit, ce fut son acmé ou son moment le plus visible, autrement dit pourquoi on est toujours à une vision Depardesque des paysages français, une vision oui baguette et béret, >> à propos de la grande commande photo là, cette satisfaction béate, on se dit lorsqu'on entend Fannie Escoulen, (le machin fera date etc) est-elle vraiment dupe, croit-elle vraiment à ce qu'elle raconte, (ou est-elle vraiment conne), je veux dire je suis persuadé qu'elle sait très bien que la grande commande est un échec monstrueux, qu'il n'y a pas une photo digne de ce nom, (voir là par exemple pour se faire une idée), le truc on se dit c'est qu'il n'y a pas une institution, pas une personne pour dire non en fait on s'est planté c'est de la merde, (se souvenir de l'expo Marine Hugonnier au Jeu de paume),
la pluie de morts-vivants dans l'épisode 3 de The walking dead Daryl Dixon, Sambizanga de Sarah Maldoror extrait là, (je me souviens de deux titres sur trois, la première photo aucune idée),
je crois que j'avais déjà linkée ici cette page là, mais je crois aussi qu'elle avait été supprimée par Facebook, il n'y aura jamais de documentaires plus puissants que ces vidéos on se dit, (avec celle-ci là évidemment), bande-annonce du film Laura nue là, pour ceux que ça intéresserait le livre sur Raoul Hausmann est soldé à moitié prix au Jeu de paume, Mohamed Bourouissa, émission France-culture là, Texte sur Peguy et les femmes, là, je me suis demandé toute cette semaine s’il avait écrit quelque chose à propos de Bernadette Soubirous, je ne trouve rien, je pensais à elle (une nana assez incroyable en fait, et toute proportion gardée, une sorte de Bartleby) par rapport à une photo, j’ai pensé au film de Delannoy que je n’avais jamais vu, (là en ligne), film à l'esthétique quasi porno, dans le mauvais sens du terme, j’y reviens après comme je suis un peu con-con d'éducation catho, et que je me dis qu'il faut s'efforcer de tendre l'autre joue, j'ai viré enfin tout au moins commencé à virer (plus précisément à mettre les choses en privé) tout ce qui concerne monsieur Prout, c'est stupide je me dis, c'est stupide de tendre l'autre joue, mais d'une il ne s'agit pas d'ajouter de la merde à la merde, (mais de laisser tomber la merde), et il s'agit de garder un peu de chose(s) propre(s) en soit, ce n'est ni un oublie ni un pardon, c'est juste une histoire de tranquilité, après tout on se dit ce n'est pas trop grave et il faut laisser les gens entre-eux, (j'y reviendrai probablement), ai téléchargé aussi The wonder Way d'Emmanuelle Antille, fiche et bande-annonce sur le film là, fiche Wikipedia (là) sur le cinéaste Kumar Shahani que je ne connaissais pas il y a 10 mn, j'ai téléchargé un de ses films sur Kg pour une histoire de ratio, ça semble ce que j'en ai vu assez sublime, Amyl and the Sniffers, vidéo impressionnante, là, Un livre pour enfants, là qui semble sublime …nouvelle expo Thibault Brunet à la galerie Binôme à partir de ce soir (là), j'imagine que tout le monde connaît ce clip de Massive Attack, ( je crois moi l'avoir déjà vu une fois au moins), là, c'est de Eastel et c'est sublime, là, sur les polaroïds de Walker Evans, là, article de Libé sur cette série The hunt for a killer, là, série au final est assez mauvaise et très mal filmée, genre filmage amateur, le scénario est pas vraiment mieux on se dit,sur Masaru Konula dont je regarde Wife to be sacrified là, ai regardé de lui aussi l'immense A woman in the box, qu'on ne trouve hélas que floutée à priori, (j'y reviens après), je ne sais rien de cette chaîne Youtube, là,
je crois que j'avais déjà linkée ici cette page là, mais je crois aussi qu'elle avait été supprimée par Facebook, il n'y aura jamais de documentaires plus puissants que ces vidéos on se dit, (avec celle-ci là évidemment),
ce plan vide de une ou deux secondes lorsque Lincoln quitte la pièce pour aller au théâtre dans Une aventure de Buffalo Bill de Cecil b De Mille,
si on aime Pipilotti Rist, on aime cette vidéo sublime, là, et celle-ci là, pour les téléphones dans le champ,
une autre vidéo de train là, celle-ci aussi assez sublime (là),
je retrouve de ces trucs, (là)...
From Bakersfield to Mojave de James Benning là, (encore une fois plus proche de l'installation que d'un film), et du coup par ricochet, ce film absolument sublime là ...
dans Barbie, à un moment est-ce bien une référence à Godard? Evidemment que oui je me dis, les scénaristes Américains ont et cette mémoire et cette inclinaison, (remix des références),
un autre album d'Eastel là, on est dans quelque chose d'assez démentiel par moments je me dis, (j’ai déjà utilisé cette expression à propos d'un autre album), étrangement en le re écoutant ce midi, je pense à un film d'Ozu, film d'Ozu assez expérimental, dans sa construction des plans, une frontalité hallucinante, et raté, je ne me souviens plus du titre, (je pourrai le retrouver sur mon autre compte mais j'ai la flemme de chercher), probablement un des plus beaux films d'Ozu mais totalement raté ou irregardable, (comme l'est aussi Le goût du riz au thé vert), album d'Eastel d'une "noirceur" totale, qui expérimente à chaque seconde quelque chose, ce qui n'est pas peu, (puisque c'est déjà une musicienne totalement expérimentale), (écouter la piste 6 par exemple),
Que ta joie demeure, de Denis Coté là, et À propos de Mrs Fang là,
Faces, de James Benning là, (plus de l'ordre de l'installation qu'un film),
une photo d'Henri le Secq là,
A la sortie du métro Croix de Chavaux, le type qui vend des pizzas et des crêpes (juste à côté de Vesta immobilier ou de la galerie municipale ancien syndicat d’initiative) et qui en deux minutes arrive à m’épater, il souhaite d'abord bonne fête à un voisin qui passe (nouvel an juif etc) puis dans la foulée offre une paire de chaussures à un sdf, (colis enfin sac en plastique avec les chaussures qu’il avait préparé donc et avait attendu que le sdf passe) non pas en deux mn, juste en 15 secondes, ( il est sinon 19h30 ce lundi 18 septembre), moi je sortais juste du métro assez chargé (d’où le léger temps d’arrêt), le type c’était un genre Indien Pakistanais Indonésien, un truc comme ça, comme quoi je me dis je n’ai absolument pas une vision idéalisée des prolos et suis même en deçà, tu te dis, on se serait cru dans un film de Frank Capra genre "L'extravagant monsieur Deeds", même bonhommie du gars etc,
je l'ai déjà signalé, (enfin j'ai plutôt signalé l'album) ce morceau si sublime d'Eastel, là,
Sur certaines photos de Raoul Hausmann là là et là,
dans Edge of Tomorrow, un peu avant mais surtout lors de la séquence avec l'hélicoptère, " combien de fois somme-nous venus ici", ce moment très beau dans la séquence suivante il essaie de faire son deuil, (ou plutôt cette séquence si belle), c’est à dire une fiction par rapport à la fiction, mal dit,
toujours pas traduit mais toujours aussi sublime là,
en faisant une autre recherche je tombe sur ce site là, et sur celui-ci là,
à propos d'une expo (January 5 – 31, 1969) là, il semble que l'on puisse télécharger le catalogue en question là, et là pas mal de catalogues d'expos en ligne,
le plus que sublime Skin and bones d'Eastel là, et là aussi un autre morceau,
"L'être plus" de Stéphanie Solinas, la fiche de l'éditeur là,
Amyl and the sniffers à Rock en scène là,
Les proscrits de Victor Sjöström là, (à titre informatif lire les articles du Monde et de Libé ), les photos tirées du film et que l'on trouve sur internet sont très belles, il y a pas mal de films de lui sur Youtube ou autres, (la flemme de les poster), par contre on ne trouve Le vent que dans une qualité moindre, (et même la version sur KG ne semble pas extraordinaire),
"Ulrich Lebœuf a retrouvé Isabelle, Amandine, et Matthew pour documenter le quotidien de cette famille précaire de la somme", Grande commande photo, là pour le résultat, c'est toujours suspect lorsqu'on lit que quelqu'un a voulu documenter, s'interroger explorer etc, là pour le coup on se demande pourquoi il a voulu "documenter" le quotidien d'une famille précaire*, on voit le résultat, (des photos de merde, esthétiquement insignifiantes, esthétiquement de merde, des photos à vomir en tout point de vue), on voit le résultat je disais plus haut et ils font pitié, ce sont juste des victimes, ( photographiées comme des cas sociaux et comme au zoo), enfin ils ne font même pas pitié, ils dégoûtent** plutôt, (et lui a été payé 22 000 euros pour les humilier)... la pédagogie est toujours essentiellement du flicage et du voyeurisme >> aller voir son site à titre informatif... bien entendu si l’on regarde le contenu du compte Instagram de La grande commande, tout est comme ça, La grande Immonde photo c’est 2000 photos 2000 cacas je me dis … ( le mot « Immonde » vient de la correction orthographique du téléphone (que j’ai décidé de garder), comme quoi même mon téléphone fait une analogie)… Ce qui manque à la photo française on se dit c’est l’idée de la grandeur et de la beauté de l’homme, c’est peut-être pompeux dit ainsi mais c’est ce qui me semble le plus exact pour définir les choses, les photographes français rabaissent systématiquement les gens qu’ils photographient, ( à part Yohann Lamoulère mais c’est hélas une mauvaise photographe), (et elle on se dit, ce n'est pas seulement de l'empathie, elle a aussi décidé que les gens étaient un cadeau pour elle),
* ce mot « précaire » qui est déjà et d'emblée une définition administrative, (et de surplomb),
lisant ce matin dans Le figaro un article stupide à propos de littérature, de fil en aiguille j'ai repensé à Georges Bush et ses peintures, oui, je les trouve très belles, (j'avais d'abord écrit sublimes), aussi incroyable que ça soit, c'est bien un peintre moderne...
je ne vais pas dire pourquoi j'ai eu l'idée de regarder ce film (Nos amis les flics), la bande-annonce là est assez sublime, le film un peu chiant, mais il y a une réelle esthétique du navet français, disons cette sorte d'agitation, d'esthétique agitée,
(je n'ai jamais compris en quoi Traum Smith (là), était de quelque manière intéressant, esthétique fluo que l'on retrouve par exemple en 1968 sur la pochette d'un album de Jimi Hendrix, (là), esthétique que l'on retrouve aussi chez Ryan McGinley, (là), (désaturation des couleurs et nullité absolue des photos comprise), (là par exemple), enfin à une époque lointaine McGinley fit de belles photos, (maintenant elles sont justes vulgaires), je remarque par ailleurs qu'une boîte de production qui se nomme en hommage ou référence à Kuhe a produit son film, (enfin deux), je ne te félicite pas Cédric... Qu'il soit aimé par Léa Bismuth et compagnie n'a rien d'étonnant on se dit, mais en fait si, je ne comprends pas, ça me fait penser que l'expo photo à Beaubourg Corps à corps est une horreur absolue, un cauchemar esthétique inimaginable, et évidemment il fait partie de l'expo, comme il est présent dans l'expo de Léa Bismuth à La banque, et qu'il était présent il y a peu au Cpif, etc etc)... photographie expressionniste de merde on se dit ...
Our kind of people de Bill Owens, là, sublime évidemment, (commandé déjà),
c'est comme c'est, (pas très bon), mais qu'ils en prennent de la graine les frenchies), Perfect day de Txema Salvans là, il y a quand même quelques photos assez incroyables,
"Adaptant la Bête dans la jungle de Henry James, Bonello bâtit une grande cathédrale à la gloire des larmes de Léa Seydoux, qui traverse les époques – de la crue parisienne de 1910 à un futur proche où l’on se nettoie des émotions pour vivre en heureuses machines – à la recherche d’un traumatisme enfoui, un événement plus grand qu’elle qui donnera un sens à son errance métaphysique. Piochant chez Lynch (une dernière scène dans une red roomparisienne) et chez Cronenberg (toute la partie à Los Angeles, dans une immense baraque de verre), Bonello donne l’impression de courir après la modernité, au four et au moulin d’un film inutilement compliqué, pour trouver la façon juste de parler de notre époque. Tout a l’air de faire sens, mais rien n’est réellement nécessaire. Tout est parfait (la direction artistique, la musique, pas de fashion faux pas), mais la cérémonie manque de panache, d’un peu de désordre ou de panique". Libération, Laura Thuillier,
bande-annonce de Planète interdite là, j'y reviens après
la carte de La chasse au snark de Lewis Carroll là ...
une liste de films érotiques Japonais dits roman porno, là, un historique là,
A Place on Earth - 2001 - Artur Aristakisyan