à propos du livre sur l'élevage de la poussière de Duchamp là,
Magazine The greatest pas bon du tout, l’autre très bien…
sur "Bliz-aart ball sale" de David Hammons, là , et l'épisode d'une émission d'Arte sur lui là ,
se demander, c'est une lecture en cours qui me fait penser à elle, si les photos de Marina Gadonneix ne seraient pas (ne représenteraient pas) comme des artefacts, ou des sortes de doubles, presque au sens jumeaux, ( voir aussi la série Fringe, rajout), le double d'objets ayant existé ou existants, ou en quelque sorte leur ombre (ou ombres portées, rajout) ou leur souvenir ou trace, est-ce que l'on peut créer aussi je me dis des objets en attente, presque une histoire de myopie je me dis, ou de surplomb, des objets vus de haut presque, rajout , rajout encore, il me semblait bien qu'elle avait parlé de vide, et par rapport à ce qu'elle dit dans sa vidéo, est-ce que l'on ne peut pas dire que d'une certaine façon elle modélise et le vide et le silence, rajout, en quelque sorte rend cela palpable,
ce sont aussi des surfaces froides pour la plupart je me dis, (au sens surfaces temporairement désactivées de leur fonction),
c'est presque de l'ordre de la description on se dit, ce qui rejoint le roman que je lis, (L'accomplissement de l'amour de Musil), les premières pages, livre pas bon du tout sinon,
et par exemple ses cubes bleus, (ou verts peut-être) n'est-ce pas au fond la formule mathématique de quelque chose,
ou des sortes de cristaux, au sens pixels du monde presque, (rajout),
ne pas oublier les cadres vides du Louvre dont elle parle dans une vidéo, rajout, la vidéo là ,
Il est bien sûr impossible de décrire ou photographier ou imprimer le vide je me dis, le vide c’est le vide, il n’y a rien, on ne peut pas photographier un espace vide, il faut obligatoirement des contours, des limites, il peut y avoir du vide au-dessus de quelque chose, ou entre plusieurs choses etc, on peut éventuellement enfermer du vide dans une bouteille ou un bocal, si tant est que fermer visser un couvercle etc, peut-être qu’on peut donner à voir le vide, mais dans le vide il n’y a rien, on peut enregistrer du bruit ou des sons, on ne peut pas vraiment photographier un espace vide je me dis, il faut obligatoirement lui ajouter quelque chose, pour voir le vide il faut qu'il soit contenu ou souligné,
je me dis, à chaque fois que l'on essaie de photographier, ou filmer le film, le résultat est toujours que n'apparaît ce qui le souligne, n'apparaît que ce qui le contient etc, le vide n'apparait jamais, on voit juste un espace,
J’allais dire on peut photographier une couleur mais on ne peut pas puisqu’une couleur suppose une surface donc une limite, support ou socle donc, nous ne pouvons que photographier un objet en couleur je me dis, on peut matérialiser une couleur, pas le vide, on peut définir ou encadrer sinon ordonner le vide, le contraindre, le limiter, lui donner des limites, ( s’il s’agit d’un vide disons familier), et les monochromes de Tilmans, je ne sais pas, (enfin c’est sur un support),
Si je reprends l’idée du cadre vide il ne s'agit pas réellement de vide je me dis, mais d’un manque ou d’une absence, le vide n’est pas une absence je me dis, le vrai vide n’a pas de passé, ( pas certain),
des objets souvenirs, rajout,
>> (note, la question n'est pas si je raconte une connerie ou non, le truc c'est ce que je pense, je ne cherche pas à le vérifier plus que cela non plus, je ne cherche même pas si au fond je pensais réellement à MG ou si le souvenir de ses photos etc), je veux dire par là si je n'en ai pas une vision fantasmée, que j'en ai une vision fantasmée importe peu, je n'ai pas à vérifier cela,
par rapport à une discussion sur Robbe-Grillet, je regarde à nouveau sa fiche Wikipédia, puis je consulte presque par hasard cette page là , (et film téléchargé ce soir) la discussion c'était sur aimer l'idée de Robbe-Grillet malgré son style vieillot des l'origine, je parle de ses livres, (le seul livre que j'aime vraiment de lui est son scénario de Marienbad), je décide tout de même de télécharger La jalousie et Dans le labyrinthe, je me dis que pour lire un de ses livres, pour voir certains de ses films, il faut pouvoir passer ou dépasser ce style vieillot comme si dans le même mouvement nous en faisions un remake, il faut re-écrire mentalement ses livres tout en les lisant, on ne peut pas les lire sans cela,