dimanche 27 août 2023

(...)

Silent voices de Roger Fritz (via Frank Beauvais),
deux films d'Avi Mograbi que j'aime beaucoup, et
Sur des photos sublimes d'Anselm Kiefer
Le chien, le monologue intérieur si beau du chien dans l’épisode 3 de Lessons in chemistry, (la série est très mauvaise, même si quelque chose surnage de ça, le visage de l'actrice etc), 
"la verticale est infinie" (Didi-Huberman), 
je me demande s'il n'y a pas une erreur dans la série, les nymphéas sont au musée de L'orangerie, pas à Orsay non ? 
je me dis que l'omniprésence des graffitis doit probablement être dû à l'incompétence totale de l'équipe de décoration française, (genre on va mettre des graffitis partout ça fera fin du monde, ça fera Americain ils se sont dits (copyright Tati), ( ben oui t'as des zombies au cul mais tu t'arrêtes pour peindre les murs t'as que ça à faire) )
>> l'absolue dévitalisation des acteurs français dans la série, la question pourquoi les acteurs français ne sont jamais crédibles, pourquoi on se dit ça rejoint la photographie, pourquoi on n'arrive pas à photographier la france, (un des seuls qui y arrive vaguement est Guiraudie dans ses films), ma réponse qui est ce qu'elle est, le pétainisme qui a infusé le pays entier, ou l'esprit du pétainisme, par exemple tu regardes les photos de la grande commande tu vois clairement que le fantasme (ou un autre mot) est le pétainisme, tu vois les photos de Bagarry et ses petits vieux et tu sais d'où ça vient et où ça ne peut et ne veut que venir, (chez elle c’est en guise d’imaginaire la France cassoulet tu te dis),  tu vois que c'est ce qui a infusé, il n'y a pas de culture française, il n'y a que Pétain je me dis, il n'y a aucun paysage [photographié]  qui ne pense à Pétain on se dit, l'imaginaire national entier est colonisé par ce type, les acteurs étant les plus représentatifs de ça, (quels sont les acteurs français les plus populaires), ( et aux USA), tu entends les voix des acteurs français dans la série, ce sont des gens vides, morts, creux, ils n'incarnent rien, (cette voix blanche sans intonation que tu retrouve un peu partout dans les films français , ils n'incarnent aucun imaginaire, la seule incarnation française est l'extrême-droite on se dit, enfin façon de parler, nous voyons les acteurs français et nous savons qu'en guise d'imaginaire ils ne votent que pour l'extrême-droite, même la série n'a pas réussi à dépasser et surmonter cela on se dit, l'esprit ou l'essence pétainisme des acteurs,  on france on se dit, c'est devenu génétique, évidemment le pétainisme ne fut qu’une sorte de suite française on se dit, ce fut son acmé ou son moment le plus visible, 
autrement dit pourquoi on est toujours à une vision Depardesque des paysages français, une vision oui baguette et béret, 
>> à propos de la grande commande photo , cette satisfaction béate, on se dit lorsqu'on entend Fannie Escoulen, (le machin fera date etc) est-elle vraiment dupe, croit-elle vraiment à ce qu'elle raconte, (ou est-elle vraiment conne), je veux dire je suis persuadé qu'elle sait très bien que la grande commande est un échec monstrueux, qu'il n'y a pas une photo digne de ce nom, (voir par exemple pour se faire une idée), le truc on se dit c'est qu'il n'y a pas une institution, pas une personne pour dire non en fait on s'est planté c'est de la merde, (se souvenir de l'expo Marine Hugonnier au Jeu de paume), 

la pluie de morts-vivants dans l'épisode 3 de The walking dead Daryl Dixon, 
Sambizanga de Sarah Maldoror extrait
(je me souviens de deux titres sur trois, la première photo aucune idée), 



je crois que j'avais déjà linkée ici cette page , mais je crois aussi qu'elle avait été supprimée par Facebook, il n'y aura jamais de documentaires plus puissants que ces vidéos on se dit, (avec celle-ci  évidemment), 
bande-annonce du film Laura nue
pour ceux que ça intéresserait le livre sur Raoul Hausmann est soldé à moitié prix au Jeu de paume, 
Mohamed Bourouissa, émission France-culture ,  
Texte sur Peguy et les femmes, , je me suis demandé toute cette semaine s’il avait écrit quelque chose à propos de Bernadette Soubirous, je ne trouve rien, je pensais à elle (une nana assez incroyable en fait, et toute proportion gardée, une sorte de Bartleby) par rapport à une photo, j’ai pensé au film de Delannoy que je n’avais jamais vu, (là en ligne), film à l'esthétique quasi porno, dans le mauvais sens du terme, j’y reviens après 
Tracks Arte spécial Sleaford mods , France -culture
comme je suis un peu con-con d'éducation catho, et que je me dis qu'il faut s'efforcer de tendre l'autre joue, j'ai viré enfin tout au moins commencé à virer (plus précisément à mettre les choses en privé) tout ce qui concerne monsieur Prout, c'est stupide je me dis, c'est stupide de tendre l'autre joue, mais d'une il ne s'agit pas d'ajouter de la merde à la merde, (mais de laisser tomber la merde), et il s'agit de garder un peu de chose(s) propre(s) en soit, ce n'est ni un oublie ni un pardon, c'est juste une histoire de tranquilité, après tout on se dit ce n'est pas trop grave et il faut laisser les gens entre-eux, (j'y reviendrai probablement), 
ai téléchargé aussi The wonder Way d'Emmanuelle Antille, fiche et bande-annonce sur le film
fiche Wikipedia () sur le cinéaste Kumar Shahani que je ne connaissais pas il y a 10 mn, j'ai téléchargé un de ses films sur Kg pour une histoire de ratio, ça semble ce que j'en ai vu assez sublime, 
Amyl and the Sniffers, vidéo impressionnante, 
Un livre pour enfants,  qui semble sublime …
nouvelle expo Thibault Brunet à la galerie Binôme à partir de ce soir (), 
j'imagine que tout le monde connaît ce clip de Massive Attack, ( je crois moi l'avoir déjà vu une fois au moins),
c'est de Eastel et c'est sublime, 
sur les polaroïds de Walker Evans, 
article de Libé sur cette série The hunt for a killer, , série au final est assez mauvaise et très mal filmée, genre filmage amateur, le scénario est pas vraiment mieux on se dit,
sur Masaru Konula dont je regarde Wife to be sacrified , ai regardé de lui aussi l'immense  A woman in the box, qu'on ne trouve hélas que floutée à priori, (j'y reviens après), 
Visions in meditation de Stan Brakhage , (les 4 parties), Burial Path , The wonder ring
je ne sais rien de cette chaîne Youtube,

ce plan vide de une ou deux secondes lorsque Lincoln quitte la pièce pour aller au théâtre dans Une aventure de Buffalo Bill de Cecil b De Mille, 

si on aime Pipilotti Rist, on aime cette vidéo sublime, , et celle-ci , pour les téléphones dans le champ, 

une autre vidéo de train , celle-ci aussi assez sublime (), 

je retrouve de ces trucs, ()...

From Bakersfield to Mojave de James Benning , (encore une fois plus proche de l'installation que d'un film), et du coup par ricochet, ce film absolument sublime   ...

dans Barbie, à un moment est-ce bien une référence à Godard? Evidemment que oui je me dis, les scénaristes Américains ont et cette mémoire et cette inclinaison, (remix des références), 

un autre album d'Eastel , on est dans quelque chose d'assez démentiel par moments je me dis, (j’ai déjà utilisé cette expression à propos d'un autre album), étrangement en le re écoutant ce midi, je pense à un film d'Ozu, film d'Ozu assez expérimental, dans sa construction des plans, une frontalité hallucinante, et raté, je ne me souviens plus du titre, (je pourrai le retrouver sur mon autre compte mais j'ai la flemme de chercher), probablement un des plus beaux films d'Ozu mais totalement raté ou irregardable, (comme l'est aussi Le goût du riz au thé vert), album d'Eastel d'une "noirceur" totale, qui expérimente à chaque seconde quelque chose, ce qui n'est pas peu, (puisque c'est déjà une musicienne totalement expérimentale), (écouter la piste 6 par exemple),  

Que ta joie demeure, de Denis Coté , et À propos de Mrs Fang

Faces, de James Benning , (plus de l'ordre de l'installation qu'un film), 

une photo d'Henri le Secq

A la sortie du métro Croix de Chavaux, le type qui vend des pizzas et des crêpes  (juste à côté de Vesta immobilier ou de la galerie municipale ancien syndicat d’initiative) et qui en deux minutes arrive à m’épater, il souhaite d'abord bonne fête à un voisin qui passe (nouvel an juif etc) puis dans la foulée offre une paire de chaussures à un sdf, (colis enfin sac en plastique avec les chaussures qu’il avait préparé donc et avait attendu que le sdf passe) non pas en deux mn, juste en 15 secondes, ( il est sinon 19h30 ce lundi 18 septembre), moi je sortais juste du métro assez chargé (d’où le léger temps d’arrêt), le type c’était un genre Indien Pakistanais Indonésien, un truc comme ça, comme quoi je me dis je n’ai absolument pas une vision idéalisée des prolos et suis même en deçà, tu te dis, on se serait cru dans un film de Frank Capra genre "L'extravagant monsieur Deeds", même bonhommie du gars etc, 

je l'ai déjà signalé, (enfin j'ai plutôt signalé l'album) ce morceau si sublime d'Eastel, 

Sur certaines photos de Raoul Hausmann   et

dans Edge of Tomorrow, un peu avant mais surtout lors de la séquence avec l'hélicoptère, " combien de fois somme-nous venus ici", ce moment très beau dans la séquence suivante il essaie de faire son deuil, (ou plutôt cette séquence si belle), c’est à dire une fiction par rapport à la fiction, mal dit, 

toujours pas traduit mais toujours aussi sublime

en faisant une autre recherche je tombe sur ce site , et sur celui-ci

à propos d'une expo (January 5 – 31, 1969, il semble que l'on puisse télécharger le catalogue en question , et pas mal de catalogues d'expos en ligne, 

le plus que sublime Skin and bones d'Eastel , et aussi un autre morceau, 

"L'être plus" de Stéphanie Solinas, la fiche de l'éditeur

Amyl and the sniffers  à Rock en scène

Les proscrits de Victor Sjöström , (à titre informatif lire les articles du Monde et de Libé ), les photos tirées du film et que l'on trouve sur internet sont très belles, il y a pas mal de films de lui sur Youtube ou autres, (la flemme de les poster),  par contre on ne trouve Le vent que dans une qualité moindre, (et même la version sur KG ne semble pas extraordinaire), 

  "Ulrich Lebœuf a retrouvé Isabelle, Amandine, et Matthew pour documenter le quotidien de cette famille précaire de la somme",  Grande commande photo, pour le résultat, c'est toujours suspect lorsqu'on lit que quelqu'un a voulu documenter, s'interroger explorer etc, là pour le coup on se demande pourquoi il a voulu "documenter" le quotidien d'une famille précaire*, on voit le résultat, (des photos de merde, esthétiquement insignifiantes, esthétiquement de merde, des photos à vomir en tout point de vue), on voit le résultat je disais plus haut et ils font pitié, ce sont juste des victimes, ( photographiées comme des cas sociaux et comme au zoo), enfin ils ne font même pas pitié, ils dégoûtent** plutôt, (et lui a été payé 22 000 euros pour les humilier)...  la pédagogie est toujours essentiellement du flicage et du voyeurisme   >>  aller voir son site à titre informatif...  bien entendu si l’on regarde le contenu du compte Instagram de La grande commande, tout est comme ça, La grande Immonde photo c’est 2000 photos 2000 cacas je me dis …  ( le mot « Immonde » vient de la correction orthographique du téléphone (que j’ai décidé de garder), comme quoi même mon téléphone fait une analogie)…   Ce qui manque à la photo française on se dit c’est l’idée de la grandeur et de la beauté de l’homme, c’est peut-être pompeux dit ainsi mais c’est ce qui me semble le plus exact pour définir les choses, les photographes français rabaissent systématiquement les gens qu’ils photographient, ( à part Yohann Lamoulère mais c’est hélas une mauvaise photographe), (et elle on se dit, ce n'est pas seulement de l'empathie, elle a aussi décidé que les gens étaient un cadeau pour elle), 

>> comparaison rapide ... 

 * ce mot « précaire » qui est déjà et d'emblée une définition administrative, (et de surplomb), 

** une sorte de fausse commisération pleine de mépris ....

lisant ce matin dans Le figaro un article stupide à propos de littérature, de fil en aiguille j'ai repensé à Georges Bush et ses peintures, oui, je les trouve très belles, (j'avais d'abord écrit sublimes), aussi incroyable que ça soit, c'est bien un peintre moderne...  

je ne vais pas dire pourquoi j'ai eu l'idée de regarder ce film (Nos amis les flics), la bande-annonce est assez sublime, le film un peu chiant, mais il y a une réelle esthétique du navet français, disons cette sorte d'agitation, d'esthétique agitée,

 (je n'ai jamais compris en quoi Traum Smith (), était de quelque manière intéressant, esthétique fluo que l'on retrouve par exemple en 1968 sur la pochette d'un album de Jimi Hendrix, (), esthétique que l'on retrouve aussi chez Ryan McGinley, (), (désaturation des couleurs et nullité absolue des photos comprise), ( par exemple),  enfin à une époque lointaine McGinley fit de belles photos, (maintenant elles sont justes vulgaires), je remarque par ailleurs qu'une boîte de production qui se nomme en hommage ou référence à Kuhe a produit son film, (enfin deux), je ne te félicite pas Cédric... Qu'il soit aimé par Léa Bismuth et compagnie n'a rien d'étonnant on se dit, mais en fait si, je ne comprends pas, ça me fait penser que l'expo photo à Beaubourg Corps à corps est une horreur absolue, un cauchemar esthétique inimaginable, et évidemment il fait partie de l'expo, comme il est présent dans l'expo de Léa Bismuth à La banque, et qu'il était présent il y a peu au Cpif, etc etc)... photographie expressionniste de merde on se dit ... 

Our kind of people de Bill Owens, , sublime évidemment, (commandé déjà), 

c'est comme c'est, (pas très bon), mais qu'ils en prennent de la graine les frenchies),  Perfect day de Txema Salvans , il y a quand même quelques photos assez incroyables, 

"Adaptant la Bête dans la jungle de Henry James, Bonello bâtit une grande cathédrale à la gloire des larmes de Léa Seydoux, qui traverse les époques – de la crue parisienne de 1910 à un futur proche où l’on se nettoie des émotions pour vivre en heureuses machines – à la recherche d’un traumatisme enfoui, un événement plus grand qu’elle qui donnera un sens à son errance métaphysique. Piochant chez Lynch (une dernière scène dans une red roomparisienne) et chez Cronenberg (toute la partie à Los Angeles, dans une immense baraque de verre), Bonello donne l’impression de courir après la modernité, au four et au moulin d’un film inutilement compliqué, pour trouver la façon juste de parler de notre époque. Tout a l’air de faire sens, mais rien n’est réellement nécessaire. Tout est parfait (la direction artistique, la musique, pas de fashion faux pas), mais la cérémonie manque de panache, d’un peu de désordre ou de panique".  Libération, Laura Thuillier, 

bande-annonce de Planète interdite , j'y reviens après 


c'est évident que cette photo , (qui est ce qu'elle est, une photo de repérages), je ne l'aurais pas faite si je n'avais pas suivi le machin de Tabucchi autour de l'intelligence artificielle, c'est à dire que la photo vient de là, l'endroit ensuite est incroyable, une vielle chapelle (ou petite église) qu'on ne trouve que dans des films, un terrain à l'arrière énorme, avec des anciens terrains de sport plus ou moins à l'abandon, deux autres bâtiments, etc etc, ça devait être à une époque une sorte de patronage, les bâtiments semblent encore utilisés, post très provisoire en fait, (je n'ai pas à parler je crois de mes photos), 

panique esthétique et refus ou incapacité du documentaire, tout le monde les photographes français  « solarise » leurs photos, (en gros), la "contre-culture" Poivertienne c'est ça, la solarisation du réel je me dis, je ne sais si je le dis bien, esthétique des années 20 quasi, un siècle donc, c'est ce post , de Philippe Durand qui m'y fait repenser, la question n'est pas de savoir si je suis injuste ou pas, si ce que je dis est exact ou pas, c'est juste le post découvert ou lu par hasard qui m'y a fait repenser, (il y a un texte sous les photos), et c'est juste ce que je pense, je pourrais citer des noms, je pourrais citer des noms amis, enfin des noms de gens que j'aime, la question est est-ce qu'à chaque fois il faut solariser, est-ce que solariser les choses etc, est-ce que ce n'est pas juste une couche d'art, quasi un commentaire, une intention, j'ai toujours à l'esprit ce texte de Graham qui disait que le marché ne voulait pas de gens comme lui, qu'il devait être plus "artiste" pour vendre, d'où sa couche blanche sur ses photos, le texte est je crois dans American suburb X, je me dis plus personne ne veut être photographe, tout le monde veut être artiste ou artiste visuel, tous les photographes se mettent à dessiner ou solariser, (etc), je précise que je trouve assez belle la photo de P Durand, (enfin la série, il y en a plusieurs),  je pourrais presque en dire c’est comme la lumière des étoiles mortes, un truc comme ça, 
disons le réel n'est pas assez chicos pour les photographes français, pas assez bien, 

Sur Voyage au lac d’Emmanuelle Demoris , (pas lu), 


je me rends compte que "Un film parlé" d'Oliveira est la version originale d'Agent Stone, disons qu'Agent stone n'est philosophiquement pas Un film parlé, ce qu'il aurait pourtant dû être..

bande-annonce de The peripheral , ou , (série qui est ce qu'elle est on s'en fout de ça),  (j'avoue que même en diagonal l'épisode 1 m'a fait chier), 




la carte de La chasse au snark de Lewis Carroll ...

une liste de films érotiques Japonais dits roman porno, un historique

A Place on Earth - 2001 - Artur Aristakisyan



vendredi 14 juillet 2023

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bande-annonce de Kairo de Kiyoshi Kurosawa,

En fait je me dis, les cinéastes français ne sont bons qu’en une chose, les plans de coupe, (ci-dessous copie d’écran du film de Sophie Letourneur Les voyages en Italie, (film au delà de la nullité)), il y avait un plan intéressant aussi dans le film de Christine Dory que je n’ai pas vu (mais que je vais peut-être télécharger aujourd’hui), ce plan qui reprend une photo de Walker Evans, sans que l’on sache le degré de conscience de la cinéaste ou si c’est bien elle à l’origine du plan, et il y avait aussi ce plan  dans le film de Cédric Klapish dont je ne me souviens plus du titre , on se dit qu’à travers les plans de coupe ce sont les seuls eux et pas les photographes français qui sont capables de réfléchir sur les paysages, et de les photographier, eux ou leurs techniciens, enfin les seuls à photographier quelque chose, de toute façon on se dit, la question du paysage n’intéresse pas les photographes français, 




le type qui dans The wire jouait Frank Sobotka, et qui meurt à la fin, jouait aussi je crois dans le film de Leone, Il était une fois en Amérique, (Joe), non en fait après vérification, mais je crois que Frank Sobotka doit tout à Joe, il est  pour parler vulgairement sa déclinaison, c'est la même personne, 

entretien avec Jeff Wall ...

lorsque j'écoute ça d'Eastel, je n'en reviens pas, par exemple vers (ou à partir de) 24/25/26 mn, peu à peu on est dans quelque chose de démentiel je me dis (vers 30 par exemple), dès le début on est dans le sublime évidemment…... 

dans la tête d'Ange Leccia, ou c'est quoi un rêve d'Ange Leccia, ...

je n'avais pas remarqué la référence à Il était une fois en Amérique du film de Spielberg La guerre des mondes, évidemment pas au sens trauma etc, 

le meilleur extrait d'un concert depuis combien de temps ? Et du coup  le groupe d'Amy Taylor, (et  un autre groupe), 

Hier en feuilletant vite fait le livre de Maurice Coindreau, il y a cette expression « les écrivains polis » je me dis oui et je pense tout de suite à Haenel (&) je me dis c’est une définition très juste, et par extension je me dis en France il s’agit de photographes polis, tout le monde est poli, il s'agit de photographie polie, (j’y reviendrai probablement encore et encore et encore), 

ai retrouvé l'extrait du concert français des Sleaford mods  , dont je disais que le public branché, simulait un moment punk, (il y a une autre vidéo qui apparaît ), probablement la chose la plus honteuse depuis cette soirée Straub à la cinémathèque, en fait je me dis, ils savent que c’est quelque chose qui ne leur échappe et ne leur appartient pas, c’est leur façon à eux de tenter en pissant sur les murs, [de marquer leurs territoires] parce qu’en fait c’est de ça qu’il s’agit, ils marquent, enfin essayent de marquer leur territoire, ce n’est pas seulement de la simulation, c’est aussi d’essayer de piquer quelque chose, c’est aussi une façon de dire, puisque vous ne nous appartenez pas, puisque vous refusez notre "amitié", on va vous saloper votre concert, ce n’était même pas une simulation d’un moment punk je me dis, enfin pas seulement, (ils y croyaient), (le punk tranquillou quoi), c’était surtout un moment réactionnaire, 

Plus bas cette phrase de Melville « il cessa de la savoir » oui mais le « il » disparaît, (puisque le « il » disparaît), ça aurait peut-être dû être qu’il ne cessa pas de le savoir mais qu’il ne le sût pas, plus haut et assez loin dans le roman il me semble, il dit néanmoins qu’on ne connaîtrait jamais la réalité ultime,  en fait je me dis qu'il ne s'agit pas du même "il", (en fait à la relecture il n'y en a qu'un), disons le "on" plus haut définit quelque chose, (nous en général mais)  et le "il" quelque chose d'extérieur, c'est le narrateur qui parle, un truc comme ça, Martin lui est mort, et ne peut donc pas le penser, et ne peut donc rien penser, donc oui "il cessa de le savoir", au sens aussi [qu'] il ne connut pas la réalité ultime, sa vie cessa avant la connaissance, en même temps Melville écrit bien qu'on ne connaîtra pas la réalité ultime, ce qui me gêne c'est qu'il cesse, et si l'on cesse quelque chose je me dis, c'est qu'on a commencé justement quelque chose, 

deux clips qui sont apparus chez moi en cherchant autre chose, on s'en fout de la musique et , ce sentiment pour le premier de presque voyage immobile, (on dirait presque ce film des Gianikian), (je ne pense pas que ce soit un clip original de Moby), le second tellement sublime d'une certaine façon, 

C’est drôle que lorsque ça devenait un peu complexe et un peu intéressant il nique tout au profit d’une petite branlette molle sur son enfance les jeux etc, (), du coup au vaguement intéressant et complexe on passe à nouveau à l’insignifiant, bon ça ne m’étonne pas de Tabucchi je me dis et ça prouve bien la minabilité des photographes français, il y a quelques jours j’avais écris quelques lignes sur une de ses photos puis les avais supprimés, (par haine ou rejet de ces gens etc), disons plus exactement que je ne veux pas être dans la même bulle ou île,  bref j’avais écris ça : « C'est intéressant cette photo de Tabucchi une sorte de photo à l'envers, et c'est justement parce qu'elle a été générée par IA que c'est intéressant je me dis, parce que c'est vraiment l'arrière de la photo, une prise de vue réelle aurait été assez banale, c'est comme si la photo avait été comme pelée », par rapport à cette photo , …  Mais Tabucchi je me dis, au fond, c’est une espèce de clown, il a son public (ce qui est le comble de la vulgarité pour un photographe) et pense devoir sortir une blague toutes les 5 mn, seul le second degré compte pour lui, le clin d’œil, pas de gravité, pas de poésie, rien de sensible, rien, à tout ça il préfère se marrer, à la pensée il préfère la blague, (la pub au fond), ( au fond il a un esprit publicitaire et son travail est publicitaire), pire, je crois que le début de complexité dont je parle était involontaire, le comble étant que par exemple cette photo , est assez belle, (sans oublier celles-ci ou  ), ce qui était ou est intéressant dans la série, pour moi qui suis par exemple abonné à un tas de comptes sur l'architecture, c'était le côté presque en deçà de la réalité, (genre où ),  je me disais c’est une histoire aussi de croyance du coup, jusque ou tu peux aller pour que ça ne soit plus vrai ou l’inverse, un truc comme ça, par exemple aussi tu sais que c’est vrai, mais c’est tellement extra-ordinaire et du coup l’image est presque fausse, (et la vérité de l’image est que nous savons qu’elle est vraie), mais celle-ci () par exemple, est-elle vraie ? Bon,  après lorsqu'il a continué avec ses trucs d'alphabet je me suis dit que vraiment il ne comprenait rien, (en gros il illustre à la place du trouble ou du doute), j’y reviendrai à l’occasion… 

dans Libé du jour, " un énième navet produit par Warhol", c'est signé Ovidie et contrairement au texte infâme de Philippe Artières sur Didi-Huberman, celui-ci est plutôt pas mal, mais Warhol n'a jamais ni produit ni réalisé le moindre navet ... 

en retournant voir l'expo Lynne Cohen/Marina Gadonneix je m'aperçois du nouvel accrochage assez beau au musée, (surtout au cinquième étage), la dernière fois je m'étais juré de ne plus y mettre un pied tant c'était déprimant, (de je ne sais pas si on peut dire de nullité), sentiment tout de même d'une sortie des réserves pour les touristes,  l'accrochage des photos d'August Sanders semble aussi plein de rancoeur rentrée, mettre à côté des siennes en alternance celles de photographes français comme pour indiquer qu'il n'y a pas qu'August Sander, le problème de Beaubourg et de beaucoup d'autres musées français on se dit est le nationalisme, trop de français dedans, dans le sens où c'est la nationalité qui justifie la présence... Mais il y avait plein de belles choses, la fleur d'Yves Klein, la salle des NFT, etc etc, 

>> Pierre Alferi est un gros gros gros connard ! Quelques films de lui  et  et  et celui-là , un entretien , et  ça,  bises mon Pierre … 

article sur Le plus grand lavomatic du Monde, , le film n'est pas dispo à la demande comme indiqué mais en consultation libre, 






Tu vois ça () d'ange Leccia tu te dis quand même quoi, (c'est au-delà  du sublime), 

le compte SoundCloud d'Helena Hauff, ... (suis un peu déçu depuis), 

Rabbit in your headlights, d'Unkle, 

" Chaque endroit du globe est squatté en décor ciné-touristique à envahir de sa fiction totale, dans une sorte de "jump-flux" gigantesque", Camille Nevers in Libé,  ...

(2/2) et ça me fait penser d’ailleurs, à ce post avorté, par rapport à la médiocrité profonde de la commissaire d’exposition et critique Léa Bismuth, je ne ferai pas le post je me dis (je ne le ferai pas par paresse). J’ai toujours été ébahi par sa fadeur intellectuelle je me dis, jamais je n’ai trouvé chez elle (ou lu) ne serait-ce qu’une idée ou phrase intelligente, (un truc qui te donne à réfléchir quoi), j’ai toujours été dans l’attente de quelque chose alors qu'il n'y a évidemment rien à en attendre. Il y eut ces derniers mois son post pathétique sur la revue pathétique Cockpit, (je met au défi quiconque de me trouver là aussi dans cette revue plus que minable une ligne intéressante, la moindre phrase digne d’intérêt ), ces dernières semaines il y avait donc son post célébrant le dernier numéro spécial poésie, je cherche la revue quelques jours sur Paris, la trouve, la feuillette et j’ai honte d’avoir espéré quelque chose, puis il y a quelques jours cet autre post à propos de ce soit disant photographe Nicolas Giraud, la nana tellement fière d'avoir écrit un texte sur l'expo du gars, oser une telle médiocrité, post qui m’a comment dire plus que traumatisé, je me dis que tout cela mériterait quelques lignes, qu’il faudrait expliquer en quoi ce mec est insignifiant, (que ses photos (son travail en général) sont nulles et réellement sans intérêt) qu’il faudrait expliquer en quoi Léa Bismuth est essentiellement nocive, qu’elle ne promeut que des gens médiocres, (pour ne pas dire essentiellement des bouffons)  etc, ce matin de fil en aiguilles et me souvenant des arbres de Valérie Jouve dans son livre qui laissaient Poivert beat d’admiration, je m’étais dit qu’il faudrait parler de mandarinat pour ces gens, système de mandarins on se dit, il faudrait expliquer en quoi ces gens sont nocifs et totalement insignifiants, qu’ils nous font détester la photo, je pensais aussi à cet article sur Garnel dans Libé ce matin (second article de merde en une semaine sur la photo du chef de la section culture de Libé Gilles Renault,) article bien évidemment nauséeux intellectuellement, du livre de Jouve je m’étais dit que c’était un livre révisionniste, (qui table sur l'inculture) (et livre qui n’est en fait qu’autoritaire), cette façon d’encenser des photos ignoblement nulles, le mandarinat je me dit c’est (entre-autre) ça, affirmer que la médiocrité est la seule chose, que ce qui est médiocre vous n’avez rien compris vous ne comprenez rien [mais] c’est sublime, enfin que: cela nous plait à nous, et qu'il nous plait d'aimer cela; et qu'il faut vous y conformer, je ne ferai pas le post je me dis, c’est assez dommage mais je n’ai pas assez de temps pour ça, je me dis c’est tout de même horrible cette façon qu’on tous les photographes français de s’humilier dans les like, le suçage de bites en fait, tout ces gens qui sucent Poivert et Giraud à longueur de temps, et likant leur moindre prout, Giraud s’imaginant photographe parce que prof et dirigeant une revue, oui je me dis c’est dommage toute cette médiocrité, on a envie de leur cracher à la gueule et on a tout simplement même pas le temps ou l'énergie pour ça, je me dis le renvoi d’ascenseur dans la photographie française est tel qu’il n’existe plus qu’un système de profs et de journalistes etc, (dans les musées français il n'y a plus que des profs et des journalistes qui exposent, il n'y a plus que ceux qui seront utiles à quelque chose, ceux qui exposent doivent d'abord être utiles à quelque chose d'autre), je me dis il n’y a aucune raison par exemple que Giraud se retrouve avec deux expos en trois mois dans des musées français, la seule raison est bien entendu sa position dite sociale et pas la qualité de ses photos, il n’y a aucune raison on se dit que Léa Bismuth écrive un texte à son sujet, ou alors un goût de toute façon certain pour la médiocrité*, peut-être on se dit qu'elle aime réellement ce type, peut-être qu'elle est sincère dans son amour pour son travail,  (et comme disait Libé à propos de la chanson de Sardou "ce qu'ils croient être le peuple"), ( ces gens se pensent photographes critiques d'art etc) ( et pensent que nous les aimons), (Giraud je me dis n’est pas photographe ni artiste il utilise un dispositif  **qui se pense on ne sait quoi***, ce sont des images prétextes, et le pire est qu'il le revendique), (je me dis ils (ces gens) connaissent par cœur leur petit Farocki illustré) et donc la raison principale du texte de Léa Bismuth est bien entendu la position disons sociale de l'autre, (on les retrouve par ailleurs tous les deux dans un repas tout aussi révisionniste, se servant du cadavre de Journiac etc, (qui est en fait une sorte de miroir de ce qu’est la photographie pour certains), (se servir des signes du passé etc comme ralliement intellectuel etc) **** ,  (post à venir si je retrouve une vidéo de concert qui n’a rien à voir mais qu’il est intéressant de mettre en miroir)), quelques lignes écrites depuis mon IPhone, ces gens nous apportent le cancer je me dis, à chaque like on ne comprend pas que l’on se rapproche du cancer, à chaque phrase lue d’eux on se rapproche du cancer, à chaque photo d'eux que l'on regarde on se rapproche du cancer, ces gens sont des toxines je me dis, je me dis aussi toute la photographie française, son enseignement, les articles dans les journaux sont basés sur le mensonge, la malhonnêteté absolue et l'inculture béate, (voir par exemple les derniers articles de Libé qui sont ahurissants de vulgarité inculte),  je me dis les gens comme Léa Bismuth ou Poivert etc sont des joueurs de flûte, pas plus, la "déconstruction" chez Giraud je me dis ne sert qu'une chose, (enfin le semblant de déconstruction) la position sociale, son seul effort concernant la photo c'est ça, l'acquisition d'une position sociale, 

le concert en question deux concerts du même groupe un en france où ce sont des gens branchés qui dansent sur scène en simulant un moment punk, alors qu'ils ne font que la fête, et simulent ce moment punk, et un autre concert en Angleterre avec un vrai public de prolos, pour ce dernier, (pas certain que ça soit le bon extrait mais bon), 

* voir son amour de Yannick Haenel ou Cogitore etc, 

** (vulgairement ça lui donne l'air intelligent), dispositif narcissique qui me fait penser à ce film et cette citation de Fabrice à Waterloo avec son écharpe, un truc comme ça, 

*** dispositif qui n'est en fait là aussi qu'une sorte de truc d'autorité, (et aveu de faiblesse ou d'impuissance intellectuelle au fond), (il n'y a plus que les généralités), 

**** Giraud ses photos font vaguement signe, elles clignotent, ( je parle des signes de ralliement), (rien d’autre ne clignote ou n’illumine, mot trop fort pour ce type par ailleurs, même employé ainsi),  elles ne sont que ça (au mieux), parce que bon c’est juste la nullité la plus absolue par exemple, ( j’ai aussi  arrêté de suivre sur Instagram tous les gens (les amis Instagram quoi), que j’admirais  et qui ont liké cette photo (ou d'autres tout aussi ignobles)), (du même coup j'ai aussi viré tous ceux qui n'utilisaient Instagram que pour leur promotion), 



(1/2) : toujours extrêmement jouissif  (la note du stagiaire à propos des Straub)... enfin jouissif n’est peut-être pas le mot, mais une telle auto-satisfaction béate de sa propre médiocrité, oui c’est jouissif d’une certaine façon d’assister à ça … 

-

- retrouvé il s'agit d'Isabelle Levenez , un premier lien , son compte Instagram , un article de Slash , une vidéo à propos d'elle , et les liens vidéos de Google

je cherche le nom de cette peintre française qui s'est suicidée il y a 3 ou 4 ans, j'ai son nom sur le bout de la langue mais pas moyen de m'en souvenir, c'était très beau ce qu'elle faisait je me souviens, (et je ne comprends pas comment j’ai pu l’oublier à ce point), je remarque aussi  qu'elle n'était pas dans l'exposition "vitalité de la peinture française" à Montpellier au Moco, j'ai vérifié deux fois ... 

Asphalt rundown de Robert Smithson recherche Google

je n'ai encore rien écouté, je ne sais donc pas si c'est bien, (),  (pas certain qu'il y ait grand chose d'intéressant), normalement il y a deux trucs de Heastel, (que j'écoute et réécoute sans cesse, (elle est je crois le summum de la modernité actuelle) ), son truc surtout pour l'instant, sur Youtube , qu'il est bien d'écouter au casque sans regarder la vidéo,  

Donc   en prévision d’un probable post sur l’avant-garde etc, où je me demandais ce qu’est l’art etc, en me souvenant de cet article horrible de la probable pire critique d’art au monde, ( et c’est aussi elle je crois à l’origine de l’expression « travailleurs de l’art ») (en tout cas d’un article minable à ce propos)  (ce n’est pas le seul qu’elle a commis hein) je ne comprenais pas je me dis  où est l’art là dedans, (je parle de la cabane de l'article), je repensais alors à nouveau à cette phrase mémorable de l’horrible Philippe Artieres, « moins d’esthétique plus de pédagogie », qui est au fond le slogan en fronton par exemple du Palais de Tokyo, (ou même du Cpif), ( voir l’expo La vallée des médiocres Giraud Stofphlef) non le cpif c’est la question de l’avant-garde etc, bref j’y reviens 

via via via Mechanism of the heavens  ...




images sublimes () on s'en fout un peu de la musique, 

 bloqué depuis plusieurs jours sur une phrase/page, la phrase est le début du blocage, suit deux pages sublimes, (la seconde je n'arrive pas à la lire réellement) je comprends chaque mot et c'est comme si que je ne comprenais rien, sentiment que chaque ligne me demande des heures sinon des jours entiers, je comprends et je n'arrive pas à aller plus loin, j'ai déjà lu ce livre pourtant, peut-être est-ce la troisième fois, le plus simple serait de dire que c'est comme s'il manquait un paragraphe,  ou j'essaie de comprendre à partir de quand débute le passage, 

Dans un livre trouvé hier , (la copie d'écran me fait penser par ailleurs et par association merdique à la photographie françoise genre N G (sympa de ne mettre que les initiales je trouve) et ses titres en Anglais etc, (le mec qui déconstruit machin tout ça, mais ne fait de toute façon que du Thierry Girard)), le livre c’est Aperçus de la littérature Américaine de Maurice Coindreau, (...),  c’est toujours suspect par ailleurs ceux qui n’aiment que la littérature française ou le cinéma français ou qui détestent l’architecture Américaine, bref …  (alors qu’on ne peut que détester, avoir en horreur tout ce qui est français), j’ai juste ouvert le livre au hasard, il était encore au garage avec les affaires d’hier, il faudra que je parle plus longuement des photos de N G en tant que représentant de "l'école francaise" mais flemme, manque de temps, fatigue et migraine persistante, 



émission très belle avec Claude Levêque sur Radiofrance , lien trouvé en cherchant sa photo "Prêts à crever?".  La photographie française je me dis c'est l'équivalent de la photo/pièce de Levêque, (voir par exemple la grande commande etc), intellectuellement nous sommes dans le prêt à crever, , 



(...)  mais l'amour français de la médiocrité c'est quand même quelque chose, ça me fait toujours penser à ces deux séries, je vais en parler vite fait parce que bon, Fauda, une série plus ou moins burnée, donc une série à priori que j'aime, enfin c'est ce genre là, et Le bureau des légendes, au début des deux séries il y a une séquence on va dire identique, dans Fauda ils arrivent avec un fourgon Wolkswagen, tout de suite tu sais que tu es dans un imaginaire, comme les critiques de cinéma disent tout de suite tu sais qu'il y a un certain imaginaire convoqué à travers ce fourgon, dans Le bureau des légendes ils arrivent avec cette espèce de fourgonnette d'artisan, et tu sais que leur truc c'était d'être le plus médiocre possible, de remettre le béret, de supprimer la moindre référence, il fallait être passe-partout, etc, ne pas se faire remarquer par le moindre imaginaire, et parlant d'imaginaire pour cette série, un moment tu as Kassovitz en costard, pas un costard classe ou bien coupé, non un costard bien ringard à la Daniel Auteuil ou à la Sarkozy, l'imaginaire est là, (l'imaginaire béret baguette Sautet quoi) dans la france beauf, intellectuellement ils pensent être crédible, ils mettent leur crédibilité à cet endroit, le pire étant que Fauda est beaucoup moins bien écrite ou même intelligente que le bureau des légendes, disons moins bien écrite puisque on ne peut pas lui faire crédit d'une éventuelle intelligence à la série française, Fauda est à peine scénarisée mais il y a un imaginaire on se dit, un imaginaire poétique, en france cela n'existe pas, le seul imaginaire national est la médiocrité ou le poujadisme, disons les Américains sont dans le mythe et  la poésie, les français dans la nostalgie de la france profonde, leur imaginaire s'arrête à Sautet, dans le sens où c'est le seul horizon qu'ils se donnent, 

essai ... 

Quatre murs de Johan Van Der Keuken , à priori Dailymotion va le retirer d'ici 24h, ( je tenterai de le remettre en ligne plus tard sous un autre titre sans me faire d'illusion*),  (l'idéal serait s'ouvrir un compte sur une plateforme étrangère en fait, comme cette plateforme de films majoritairement pornos où j'avais trouvé des docs intéressants mais j'ai un peu la flemme), je crois me souvenir que j'avais ouvert un compte comme ça à une époque mais je ne sais plus où ...  celui-là peut-être ...

* je me suis fait supprimer une vidéo sur La nouvelle objectivité Allemande avant sa mise en ligne, j'ai retenté avec un autre titre pensant à de la malchance mais non, ce sont bien les algorithmes, pour le Van der Keuken c'est peut-être différent, 

- "Le héros est surnommé "le colibri", ce petit oiseau qui met une énergie folle à faire du surplace et tel est le film, qui semble ne jamais débuter vraiment. (...) l'impression agaçante est qu'il est toujours sur le point de se terminer, que le moment, toujours prégnant, va se dénouer dans la minute qui suit en retentissement final". dans la critique d'un film aujourd'hui par Camille Nevers quelques phrases qui me refont penser à l'art déceptif, je n'ai jamais rien lu de convaincant à ce sujet, je n'ai je crois jamais vu réellement quelque chose de convaincant, à part la série de Bret Easton Ellis et ses livres, je me souviens d'un texte dans un vieux Art press, les titres en gras mieux que le texte sans intérêt même pas réellement informatif, mais c'est aussi à partir de là que j'ai toujours fantasmé dessus, la question serait est-ce que concernant l'art déceptif, ça déjout, ça déçoit? et aussi, par exemple par rapport à cette pièce d'Ange Leccia ( La vie ne m'apprend rien), est-ce de la sculpture, une expérience du vide ? est-ce de l'art déceptif? Je me dis non, la question étant bien entendu de comprendre ce qui est de l'ordre du déceptif. Est-ce la phrase lue dans les Cahiers du cinéma à propos du film de Godart Détective, qui ne serait qu'un long générique. Si l'on rentre dans une pièce et qu'il n'y a rien, (une pièce vide), est-ce de l'art déceptif ? Est-ce de remettre quelque chose à plus tard, de ne rien proposer du tout, de mettre en scène une déception ou une attente, de décevoir immédiatement ? Et même si les deux ne sont pas concernées par cela, et alors que leurs photos soient parfois assez proches, pourquoi les photos de Lynne Cohen sont plus déceptives que celles de Candida Hofer ? 

Et par rapport à un film de Ang Lee que j'avais vu, son western, (Chevauchée avec le diable),  est-ce de l'art déceptif ou est-ce vraiment mauvais, est-ce déceptif par accident, 

Et cette peinture noire de Marine Hugonnier ? Est-ce une peinture qui cherche à déjouer quelque chose ou en gros est-ce qu’elle cherche seulement ce que l’on ne la voit pas? ( qu’on ne s’occupe pas d’elle non plus), 

Est-ce que l’art déceptif serait proche d’un effet Konjac je me dis ?  Quelque chose de neutre, plat, peut-être fade volontairement, 

le compte soundcloud d'Eastel  , en ce moment je n'écoute plus qu'elle, (elle est quand même au-delà du sublime), 

liste d'albums aimés par Kevin Martin / The bug , ses albums préférés ...

ça aurait été quoi la suite de Freaks and geeks ? ...

bande-annonce du film Le jour où la terre s'arrêta, version 1951

ai téléchargé Pickpocket mais je n'aime pas Bresson rien à faire ...

ai téléchargé ce film Japonais, Le vase de sable, par rapport à une vidéo qui est apparue dans mon fil d'actualité et qui m'a fait penser à ce livre de photos Japonais avec deux détectives, 

regarde à nouveau Freaks ans geeks, 

acheté ( sur Rakuten) le dvd de Et toi t'es sur qui de Lola Doillon, (pas moyen de le trouver autrement), 

Underwater love de Smoke city ,  (je crois que je n'aime pas vraiment ou plutôt je ne sais pas si je l'aime beaucoup, c'est le coté musique Brésilienne qui me gêne, ça variétise les choses ), 

expo Jacobus Vrel sublime, 

pour mémoire, vidéos de l'île de Rhodes  et ... où pour une recherche Google rapide, et Palerme ...

 Eva Jospin in Le monde: «Aujourd’hui, en art contemporain, on est sorti de l’idée d’avant-garde. Nous sommes dans un moment d’éclectisme. J’espère qu’il va durer un peu. » tu m'étonnes ...  ça me fait toujours penser au dernier livre de Poivert qui érige le petit bricolage artistique en contre-culture alors que ce n’est que conformisme familial, le truc on se dit n'est pas la modernité ou l'avant-garde à tout prix évidemment, d'autant plus on se dit  que ce sont eux (comme on dit les tenants de l'ordre ou les forces de l'ordre) qui ne désirent et ne sont que modernité et contre-culture, au sens contrefaçon évidemment, je parle de l'avant-garde Poivertienne de sa contre-culture, Garrel disait que la droite ne reconnaissait la modernité que 50 ans après sa fin, chez Poivert il s'agit en fait plutôt  d'un siècle, du double donc,  disons Poivert c'est la contre-culture dominante, la contre-culture omniprésente, la gentille, la sans-ambition, la contre-culture institutionnelle, 

une vidéo de Larryph walking ...

je ne sais pas s'il y avait le générique au début, ce qui est beau est qu'il apparaît au bout de 40 minutes du film, (Drive my car), je n'aime aucun des films du gars, celui-ci compris, plus proche de Suwa qu'autre chose on se dit, c’est à dire singeant la modernité, (en en reprenant les codes distinctifs),  en reprendre les traits c’est juste de la culture on se dit, et on voit bien qu’au fond on est plus dans un téléfilm qu’autre chose, 

>>  L'américaine et l'amour de Jack Arnold, film plus que sublime et assez rare, sur Francomac... 

post Facebook du 15 juillet 2022: 

"Deux sublimes photos, post à venir, on pourrait parler de voyeurisme mais on peut aussi penser qu’il s’agissait de revenir à la peau, je le dis mal, ce qui est important dans ces deux photos c’est l’absence du corps, et de l’autre, de la redéfinition recomposition mentale,

La peau au sens surface, enveloppe, limite ou contour,
Chez Tichi il n’y a que la solitude, la distance entre lui et le monde est tellement grande qu’elle se transforme en voyeurisme on se dit, en quelque chose de sexuel, alors que que peut-être il ne s’agit que de solitude, une solitude tellement énorme qu’il ne peut plus qu’imaginer l’autre,
Plus sexuel qu’érotisme peut-être, ( ça dépend /ou il faut voir au / du sens qu’on met à ces deux mots)
Il n’a accès qu’à des parties du corps, >> de l’autre il n’a accès qu’à des parties, ( voir une des photos en commentaires par exemple),
Idée de la poupée en terre qu’il fabrique,
Étrangement je me dis la femme pour lui, chez lui c’est [de l’ordre] de la parole, c’est lourd mais je me dis exact probablement, c’est la formulation,
Pour la seconde photo toujours, c’est comme si on en avait du monde retiré jusqu’à l’oxygène, quelque chose d’apocalyptique, il n’y a plus rien, plus que du vide on se dit,
L’idée de remodelage, ( et pour le coup remodelage mental),
Une sorte de moulage ou de moule,
Étrangement il faut y réfléchir, du fait de la piètre qualité technique il photographie plus l’intérieur que la surface, plus le volume ( presque indistinct) que la surface, ou l’essence que la surface, ( la première photo par exemple), il photographie une forme, mais il n’en photographie pas les traits, il n’arrive à photographier que l’idée du corps, je ne suis pas certain qu´il arrive à en photographier l'enveloppe, ce qui est beau je me dis dans ses photos est qu'il faut se mettre d'accord sur le sens des mots qu'on emploie, si je dis enveloppe je me comprends, mais est-ce le bon terme par exemple, le volume n'est pas l'enveloppe, l'enveloppe est un état disons défini, d' où justement qu'il doivent recrayonner certaines photos, entre-autre raisons",







sur la laitue de Giovanni Anselmo ... 

Photo sublime...  

(...)

« Warhol peint une réalité d’où a été exclue toute notion d’identité. » pour cette phrase cela rejoint ce que je me disais par rapport au ro...